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♦ âge du perso : 24,5 year old ♦ fonction : Chirurgienne interne section plastique - mère de Caelan. ♦ situation amoureuse : En procédure de divorce avec Connor - contre son gré -
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Sujet: • Aphrodisia&Kellyan ▬ « Cap ou pas cap... » Mer 16 Juin - 19:45
RETOUR A LA REALITE… ___________________
LE RETOUR A LA REAITE PEUT ETRE BRUTALE, OU BLESSANT. ALORS LAISSE TOI ALLER CAR SEUL LE JEU EN VAUT LA CHANDELLE.
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Cap ou pas cap ? Qui ne connait pas ce jeu, aussi célèbre qu’est la tour Eiffel en France ? Vous savez ce jeu, vous poussant a faire des choses, que même vous aurez été surpris de les remplir, par simple fierté ou orgueil. Un jeu. Un simple jeu, qui blessera votre orgueil ou votre fierté, si vous ne remporter pas la mise. Comme tout jeux qui se respectent, il existe des gagnants mais aussi des perdants. Mais, n’avouez jamais aimer jouer a ce jeu, juste pour vous prouvez quelque chose ? Ce jeu, que les adolescent et étudiants aiment, et cela depuis la nuit des temps. Un peu, qui peut vous poussez a faire une chose qui vous répugnent mais n’est-ce pas la raison de votre acceptation au jeu ? Il existe tellement de jeux, que les adolescents aiment jouer et jouent encore même si leur âge est dépasser. Un jeu, que même les grands adultes jouent, voulant se rappeler de leur jeunesse ou tout simplement, se surpasser et montrer qu’on n’a jamais changer, malgré les rides qui apparaissent sur votre visage. Car après-tout, ce n’est qu’un jeu où vous être maitre d’arrêter de jouer quand vous voulez. Et c’est surement pour cette raison, que le jeu en vaut la chandelle, car même si on ne gagne rien de congres au final, on gagne une confiance en soi qu’on n’a jamais connu jusqu’à la. Et l’occasion de vous moquer de vos amis et ennemi aussi.
Chacun garde sa part d’adolescence en soi, et ce n’est pas Aphrodisia Jeckins qui vous dira le contraire, ayant l’habitude depuis peu, de reprendre des aspects de son adolescence, pour montrer au monde que tout allait bien pour elle - alors qu’intérieurement, son monde s’écroulait peu a peu -. Mais fierté oblige ne disait rien, préférant souffrir que voir les personnes qu’elle aimait souffrir. C’est ainsi, qu’A eu la surprise de revoir un de ses anciens amis avec qui, elle passait son temps a jouer, a ce fameux jeu « cap et pas cap . » Jeu qu’elle avait l’intention de reprendre, même si les enjeux du jeu allait être mimine, car même si elle était en période de divorce, elle n’allait pas tromper - comme elle avait dit à Connor, pour rompre - avec quelqu’un. C’est avec un sourire, qu’elle se promit d’envoyer un sms, le lendemain à Kellyan Marquez, son adversaire depuis des années, la seule personne qui ne prenait aucun partit sur son divorce. Fermant les yeux, elle eut une infime pensée comme quoi, elle avait eu de la chance, d’être tombé sur Kellyan, un soir où ce dernier été ivre et elle-même défoncé par une quelconque drogue.
MANOIR JECKINS » 7h29 du matin
Avez-eu déjà eu la pensée, que la journée qui s’annonçait n’allait pas être banal ? Pour beaucoup, leur journée ne se ressemblait pas, tellement elle était imprévisible, et pourtant, certaines personnes aimaient leur habitudes. Prenez le cas d’Aphrodisia Jeckins, elle aimait ses habitudes et elle savait, que si l’une d’elle n’y était pas, sa journée n’allait pas être calme. C’est ainsi qu’elle se leva, dix minutes avant la sonnerie de son réveil, ayant cette nouvelle habitude de se lever en avance, faisant des cauchemars. Après l’avoir éteint, ne supportant pas le bruit de cet objet, A était partit dans sa salle de bain. Rien ne pouvait montrer que sa journée n’était pas banale, n’ayant eu a faire qu’a ses habitudes. Et cela, se déroula jusqu’à la cuisine, avec sa fille dont elle l’avait lever, comme tout les jours de la semaine. Elle avait but tranquillement son café au lait, car c’était prouvé que si Aphrodisia Jeckins ne buvait pas son café, elle serait d’une humeur noire. Humeur qui se calma quand le breuvage chaud descendit le long de son œsophage et que sa fille lui souriait. Pas loin d’un quart d’heure de petit déjeuné, elle avait eu l’intention de quitter la pièce, ne voulant pas se disputer de si bon matin avec Connor. Habitude qu’ils avaient tous appliqué et qu’elle s’apprêtait de faire. S’apprêtait car elle n’eut pas le temps de faire un pas sur le côté, qu’elle sentit une main lui agripper sa robe lui faisant clairement dire, que son habitude était jeté à la poubelle comme un vulgaire déchet, par sa fille qui voulait lui demander quelque chose, savant très bien, que son père allait venir dans les secondes qui vinrent l’échange.
CAELAN — Maman, attend. Une main sur sa robe, une voix teinté d’innocence, ses iris s’encrèrent dans ceux de sa famille, alors qu’A avait eu l’intention de sortir de la cuisine, ne voulant pas se disputer avec son mari. Mari qui ne tarda pas a venir, alors que la jeune femme était toujours dans la cuisine, où une petite fille de sept ans, la retenait. APHRODISIA — Oui ma chérie ? Elle ne put que faire cela car même si la fuite était la meilleure méthode, elle ne pouvait pas faire cela quand Caelan l’a regardait. Après avoir jeter un coup d’œil à Connor qui partit en direction du frigidaire, son attention se retourna sur sa fille, quand elle eut vain de sa requête. CAELAN — Tu viens me chercher à l‘école ? Pour une fois, Aphrodisia ne sut quoi répondre car si il y a bien une chose qu’elle savait, c’était que c’était au tour de Connor d’allez chercher leur fille à l’école et non. Ce fut surement pour cette raison, que la voix de son futur ex-mari se fit entendre dans la cuisine, ayant pour l’habitude de ne pas l’attendre avant l’après-midi. CONNOR — Elle viendra te chercher, si tu veux. Un coup d‘œil en sa direction, lui fit dire qu‘elle n‘avait pas le choix. Souriant a sa fille, elle lui promit qu‘elle viendra la chercher ou après avoir déposer un baiser sur le front de cette dernière, elle partit de la cuisine, le cœur mitigé.
Remettant en place l’une de ses mèches châtain derrière son oreille droite, ses pas l’emmenèrent directement vers les escaliers qui lui permettait d’allez dans sa chambre. Arriver dans sa chambre, elle porta à son cou, une fine écharpe cachant par là un collier, et après avoir trouver son sac et sa veste, la jeune femme descendit. Il ne lui fallut que cinq minutes pour tout prendre et partir de chez elle, où A eu la pensée que sa journée allait être mouvementé.
HOPITAL » 11h45
Le matin se passa à merveille, même si Aphrodisia sentait que sa matinée n’allait pas être si calme. Après être partit de chez elle, elle avait redoublé d’attention car c’était dans ses jours là, qu’elle tombait sur Daemon Taylor, personne qu’elle détestait et à sa plus grande honte, peur. Alors, le trajet entre chez elle et l’hôpital a été court, malgré la circulation qu’il y avait sur la route. Entrant d’un pas certain à l’hôpital, elle n’eut pas le temps de mettre sa blouse, qu’une infermière l’appela. Être l’une des plus vielles chirurgienne interne n’ayant rien d’avantageux dans ses moments là, où elle maudit les autres chirurgien de son âge de n’être pas arriver à leur lieu de travail. Partant d’un pas rapide, blouse qu’elle enfila presque en courant, sa matinée continua. Patient, patient, des personnes qui pleurent, d’autre qui doutent de leur choix, voici l’un des plus banal cliché de ses journées de travail où elle savait y faire, avec un calme olympien. Les journées d’Aphrodisia se passait comme ca, même si quelque personnes bouleversait son emploi du temps, de temps en temps, rendant sa matinée rapide et fatiguant. Et même si, ca la privait de beaucoup d’énergie, Aphrodisia aimait son travail, même si aucun dans sa famille acceptait son choix - qu’elle envoya d’ailleurs balader, pour sa plus grande joie-.
Il était 11h45. L’heure où le travail se finissait pour elle, comme toute les jours de la semaine. Ouvrant sa blouse ayant l’intention de l’enlever et de rejoindre son meilleur ami au restaurant du coin, elle n’eut même pas le temps de cligner des yeux, qu’un des chirurgien entrait au vestiaire pour lui dire, qu’ils avaient une urgence. Urgence qui signifiait une chose : elle n’allait pas sortir d’ici avant une bonne demi-heure. Soupirant contre le destin qui était contre elle ce matin, elle indiqua à son collègue qu’elle arrivait dans cinq minutes avant de sortir son portable de sa poche pour composer ensuite le numéro de son meilleur ami. Meilleur ami qui décrocha à la deuxième sonnerie, alors qu’elle refermait sa blouse blanche sur ses vêtements.
APHRODISIA — Oui, c‘est moi. Je ne pourrais pas venir diner avec toi, aujourd‘hui. Replaçant une mèche derrière son oreille, elle répondit à son interlocuteur. Non, une urgence. Se regardant dans la glace, elle se dit qu’elle était encore plus blanche qu’elle l’était hier, où avec un soupire résigner, elle continua sur sa lancée. T’as pas besoin de m’attendre, autant que tu mange et on remettra ca demain. s‘aspergeant d‘eau, un rire sortit de sa gorge, faisant ainsi dire à Noah, qu‘il s‘était tromper sur son compte. Se passant la main sur son visage, quelque chose attira son attention, alors qu‘elle entendit les mots sortit de sa bouche. T’inquiète pas pour ca. Ce quelque chose était sa bague de mariage. Bague qui était encore là pour quelque temps, avant que le divorce sera fini. Fermant les yeux et chassant ses pensées, elle conclu la conversation qu’elle avait son meilleur ami. A demain. Fermant son portable, elle le jeta dans son sac et après un dernier coup d‘œil à la place, A partit là où on avait besoin d‘elle.
Arrivée au bloc pour se laver les mains et permettant aux assistants de la recouvrir de ce qui lui était nécessaire pour ne pas contaminé le patient, Aphrodisia eut la vague pensée, que si sa journée continuait comme ca, elle aurait vraiment besoin d’un verre. Et pas qu’un seul.
ECOLE PRIMAIRE » 16h25
Avez-vous déjà trouver votre journée longue, fatigante et tout les adjectifs qui reviennent à l’essentiel : vous avez besoin d’un verre ? Tout le monde a connu ses journées terribles, qu’on aurait préférer rester dans son lit et non se lever. Et cela, Aphrodisia le comprit tout le long de la journée, quand elle comprit que son calvaire continuait. Après avoir aider le chirurgien plastique, elle s‘était dit que rien ne pouvait être pire que cela. Elle était partit manger pour revenir sept minutes tard, quand son bipper lui annonça une autre urgence. Urgence qui se trouva être aux pluriels tant les ambulances affluait l‘hôpital. Tout habitant de Charleston s‘étaient passer le mot où Aphrodisia avait presque maudit la personne qui lui avait dit que être chirurgienne s‘était bien - avant de se rappeler, que c‘était son choix et non celui de ses parents -. Ce fut qu‘a quinze heures, qu‘elle eut vain du pourquoi et du comment, les patients étaient en grand nombre : un accident sur l‘autoroute, autoroute qui avait un point d’accès à Charleston. Et tout naturellement, le premier hôpital c’était là où elle travaillait. Pratiquant urgence sur urgence, donnant des ordres aux personnes dont elle devait se charger pour quelque mois - sans les tuer au préalable -, donnant réconfort et remerciant ses parents - une première - pour lui avait donner sa patience et son calme, la chirurgienne interne eut sa vrai pause qu’a seulement quatre heure. Heure qui lui fit penser qu’elle devait allez chercher sa fille et qu’elle n’avait qu’une demi-heure pour faire le trajet hôpital-école primaire. Donnant ses derniers ordres et donnant la responsabilité a quelqu’un d’autre, A était partit en quatrième vitesse vers le vestiaire pour y ressortir seulement cinq minutes plus tard - un réel exploit, elle qui lui fallut au moins dix minutes pour se préparer -, avant de sortir de l’hôpital. Aphrodisia sut d’avance qu’elle devait revenir plus tard, quand elle aperçut d’autre ambulances qui venaient en sa direction. Cherchant sa voiture des yeux, elle quitta le parking de l’hôpital pour se mettre sur la route qui l’emmenait à l’école de sa fille.
L’adulte ne sut comment, mais elle arriva cinq minutes a l’avance à l’école primaire de Charleston - peut être est-ce dut a la rapidité de sa voiture ou la non circulation - à sa plus grande joie. Se garant, elle partit vers l’entrée où quelque parents affluaient, entendant leur enfants après une journée calme - qu’elle n’avait pas eu le droit -. Jetant un coup d’œil à sa montre, elle se permit de partir vers l’un des banc de la cour - endroit où sa fille savait où elle était - avant de chercher son téléphone dans son sac. Téléphone qui fut sortit où tapant sur les touches, elle inscrivit son message tout en gardant un œil vers la porte de l’école primaire, attendant a tout moment, à voir sa petite princesse, comme elle appelait tant.
Hello toi, Tu dois surement te demander pourquoi je te contacte - vu que ce n‘est pas aujourd‘hui qu‘on devait se voir - et la réponse est simple. « Cap ou pas cap, de rejoindre au bar à 21h55 ? . » Montre moi que le courage que tu avais, autrefois, est toujours présent Kellyan‘. A ce soir x)
Fermant son portable, un sourire narquois s’installa sur son visage car elle savait une chose sur Kellyan : quand on le provoquait comme elle avait fait, il viendra au rendez-vous. Chassant son sourire sur son visage, un vrai sourire s’installa sur son visage quand elle vit la chevelure châtain, caractéristique de sa famille, dépassé la porte d’entrée lui signalant que sa fille avait finit ses cours. Et il ne fallut qu’une poignée de seconde, pour voir Caelan à ses côtés, portant dans ses bras, quelque chose qu’elle avait confectionner avec ses mains. Finalement, malgré sa journée épuisante, elle était ravie de la faire, car le sourire qu’elle lui adressa - le sourire de Connor - rendu sa journée, la meilleure des journées qu’elle avait passer jusqu’à là
DRINK’ TOUR » 21h39
Comme elle avait supposer, Aphrodisia n’eut pas le temps de parler que son téléphona sonna, lui confirmant ses doutes : le boulot reprenait. Grimaçant, elle n’eut pourquoi rien a faire, quand sa fille décida qu’elle allait avec elle, à son lieu de travail et que son père ira la chercher. Lui adressant un sourire, elle dévia sa trajectoire vers l’hôpital, pour dévier encore une fois sa trajectoire. Arrivé aux portes de secours, elles sortirent car même si sa fille venait à son boulot, elle faisait tout, pour que Caelan ne voit pas les malheurs que pouvaient causé la vie, car c’était encore une fille fragile à ses yeux. Fille qui lui expliquait sa journée, tout en posant les portes de secours, ayant l’habitude de passer par là, quand un grand nombre d’ambulances étaient poser devant l’entrée. Elles partirent ensuite vers le vestiaire, portable à l’oreille disant à Connor de venir chercher Caelan à l’hôpital - encore une chose qu’elle n’avait pas prévu de faire, parler à son mari -. La déposant dans son bureau, et mettant sa blouse, elle resta avec elle jusqu’au moment où son mari entra dans son bureau. Un seul coup d’œil suffit à dire bonjour à l’autre, avant qu’elle parte travailler. Sa journée continua ainsi, où elle ne vit pas l’heure arrivée.
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Un soupire se fit entendre quand elle poussa les portes, d’un des bars de Charleston. Un seul regard lui fit comprendre que Kallyan n’était pas arrivée, ce qui n’était pas du nouveau n’étant jamais arrivé à l’avance, lors de leur rendez-vous. S’installant sur un tabouret, elle se permit quelque secondes de répit avant que le barman n’arrive vers elle, pour lui demander sa commande. Commande qui fut toute simple.
APHRODISIA — Une tequila de préférence pure, s’il vous plait. Tequila pure qui arriva quelque secondes plus tard, où elle remerciait par un simple sourire.
Sa journée n’avait pas été si terrible qu’elle avait penser, malgré la vague de travail qu’elle avait eu. Mais malgré cela, rien n’avait changer sa vie où elle savait qu’un instant au l’autre, tout allait être finis. Tournant sa tequila dans son verre, un sourire franchit ses lèvres quand le tabouret a côté d’elle racla, lui faisant dire la première chose qui lui passait par la tête.
APHRODISIA — Cap ou pas cap, de boire ton verre cul sec, Kellyan. Elle ressentit plus qu‘elle ne vit, le sourire qui avait dessiner les lèvres de son ami, quand celui-ci avait entendu ses paroles après avoir commander son premier verre d‘alcool.
La ou tout avait commencer. Et la, où tout recommençait.
Kellyan M. Marquez
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