Age ; 21 ans Groupe ; Whisky coca. Métier ; Assistante de la styliste Atheyna Carlton. Qualités - défauts ; passionnée - rêveuse - optimiste - douce - sensible - accorde difficilement sa confiance - ne parle pas beaucoup d'elle - rancunière - imaginative - créative - ponctuelle - rigoureuse - responsable - drôle - cultivée - fidèle - coeur d'artichaud - un brin naïve - sarcastique... Hobbies ; la guitare, le chant, le dessin, la photographie. Situation familiale ; célibataire. Orientation sexuelle; hétérosexuelle. Avatar ; Dianna Agron, la sublime.
C'est tout moi ça ...
Tu sais quoi ? Je dors tout le temps avec mon doudou, même si c’est démodé. Ouai, c’est mon vilain secret, j’en ai pas honte… Mais et toi, t’as bien un secret, non ? T’inquiète pas, je le repérerais à personne. Ta réponse : Je dors aussi avec un doudou. Mais ce n'est pas un secret. Mon unique secret est certainement celui que je partage avec cet inconnu. Une nuit passée à se confier nos vies et des cris qui nous interrompent. Nous courrons voir ce qu'il se passe. Un homme est passé à tabac par une dizaine de jeunes. Nous n'intervenons pas. Nous avons peur. Et j'apprends dans les journaux que cet homme est mort. Non assistance à personne en danger, tu connais ? Crois-moi, dormir avec un doudou, ce n'est rien.
Tu ne devinera jamais, qui est mon super-héros ? Batman ? Nah. Winnie ? Mais t’es nul. Dis dis, tu veux le savoir ? Et ben enfaite, tu vois, le super-héros que je vénère c’est… Mickael Jackson. Quoi, c’est pas un super-héro ? Bien sur que si - c’est le roi de la pop, je te signale -. Pff, t’es vraiment naze mec’. Si tu ose te croire plus intelligent que moi, éclaire moi ma lanterne, et dis-moi, qui a toujours été ton modèle * pff, m’en fiche, le mien est le plus redoutable, de tous * Ta réponse : J'aurais tendance à répondre mon père. Mais c'est tellement basique. C'est vrai qu'il a longtemps été mon héros. Cependant, si je dois répondre quelqu'un de célèbre, je dirais Peter Doherty. Quoi, tu penses que ce n'est qu'un drogué qui braille dans un micro. Lis ses textes avec attention, ils valent tous les Baudelaire du monde.
J’ai toujours été le modèle de tout le monde. Si si, je t’assure - ne sois pas jaloux, ca ne te va pas bien -, quoique. J’ai toujours été entouré de gens cool, aussi intelligent et sportif que moi. On étais toujours invité aux fêtes - montrant par là, qu’on était des gens cool - et on buvais, buvais beaucoup de l’alcool. Tu veux savoir quel alcool, je consommais ? Le cidre… QUOI ? Bien sur, que si y a beaucoup d’alcool dedans… a ouai ? Dis-moi quel genre de personne que tu es et quel boisson alcoolisé que tu raffole, si tu l’ose * pff, comme si, le cidre n’avait pas d’alcool dedans * Ta réponse : Je ne bois que très rarement jusqu'à la déraison mais j'avoue que mon alcool préféré est la vodka. J'adore son goût d'alcool à brûler, une bonne vodka russe cul sec vous lave de l'intérieur, croyez-moi, bande de poules mouillées !
Mon vrai visage ...
Prénom , pseudo ; Penny.Lane Age ; 21 ans. Où avez-vous connu le forum ; sur PRD. Remarques ; OMG, j'adore le design, le contexte, tout Niveau activité et rp ; 5/7 & le niveau RP, ça dépend, je me fixe sur la personne qui est en face de moi :) Code du règlement ; {le génie existe}
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Dernière édition par Poppy L. Milsworth le Dim 13 Juin - 23:18, édité 6 fois
Le vent froid caressait ses longs cheveux blonds. Les larmes coulant sur ses joues auraient pu se transformer en glaçons. Elle avait ce regard de fureur que peu de filles de 13 ans ont. Elle regardait le prêtre comme si elle s'apprêtait à lui sauter dessus, comme si elle s'apprêtait à le tuer. Elle sentait la main de son frère sur son épaule et elle entendait sa mère renifler dans son mouchoir vichy. Et elle, elle était là, entre les deux, et elle voulait mourir. Elle voulait que ce soit elle dans ce trou, pas son père. Poppy Milsworth avait 13 ans, elle avait toute la vie devant elle, mais en ce jour d'hiver où son père fut enterré, elle aurait voulu l'être aussi. Enfermée dans ce cercueil, ne plus avoir à penser, juste mourir, partir loin.
Ce jour-là, Poppy avait cessé de croire au destin. Le destin ? Laissez-moi rire ! Quel destin l'aurait séparé de son père ? Un homme si bon, si honorable ? Comment le destin pouvait-il nous rendre malheureux ? Ce n'était pas normal d'être destiné à être malheureux, d'être destiné à mourir à l'âge de 40 ans à peine. Non, tout cela était injuste et ce ne pouvait pas être l'oeuvre du destin. Alors, Poppy s'était rendue à l'évidence. Il n'y avait pas de destin, juste des personnes tentant de survivre dans ce monde superficiel. Et même si en ce jour, elle avait envie de s'enterrer avec son père, elle se lèverait le lendemain matin, affronterait ses yeux rougis dans le miroir et elle prendrait un nouveau départ. Parce qu'à 13 ans, elle était déjà d'une maturité étonnante, que la plupart de ses professeurs la voyait avoir une carrière exceptionnelle. Que sa longue chevelure blonde lui donnait l'apparence d'un ange, que les gens lui donnait le bon dieu sans confessions, qu'ils lui mangeaient dans la main. Elle aurait pu devenir capricieuse. Elle aurait pu devenir hautaine et avoir un égo sur-dimensionné. Mais non, en aucun cas elle n'était devenue une peste, malgré tous ces gens qui ne cessaient de lui faire des compliments à longueur de journée. « Tu iras loin, Poppy. » lui répétait-on. Elle aurait pu prendre la grosse tête. Mais sûrement avait-elle été trop bien éduquée pour cela. Elle se souvenait encore de la tête de son père lorsqu'elle faisait une bêtise. Il avait ce regard furieux et pourtant un petit sourire en coin laissait à croire qu'il était attendrit par les bêtises de sa fille. Pourtant, il ne laissait rien passer. Elle avait été punie, privée de dessert. Et elle ne s'en portait pas plus mal. Uné éducation autoritaire marche, elle en était le résultat.
A 13 ans, Poppy venait donc de perdre son père, mais elle venait aussi de perdre la personne avec laquelle elle était le plus complice. C'était à lui qu'elle racontait tous ses secrets. C'était à lui qu'elle parlait de ses débâcles amoureuses. Elle était aussi proche de sa mère, mais ce n'était pas du tout la même relation de confiance et de complicité qu'avec son père. Alors Poppy venait de perdre son ami. Et elle se rendait compte qu'elle n'était pas si mature qu'on avait voulu lui faire croire. Elle était encore une petite fille qui avait besoin des bras de son père. Mais le destin lui avait enlevé cela. Ou plutôt cet alcoolique qu'elle haïrait jusqu'à la fin de ses jours. Cet homme qui avait pris le volant alors qu'il était saoul, qui avait oublié de céder le passage, qui avait foncé dans la voiture de son père et qui l'avait tué sur le coup. La rancoeur que Poppy avait envers cet homme était sans pareille. Parce qu'il avait osé lui ôter son père. Elle aurait pu le tuer de ses mains si elle l'avait eu en face de lui. Cet homme allait passer du temps en prison, pour homicide involontaire, mais ce n'était pas ce qui allait lui rendre son père. Ca non. Personne ne lui rendrait son père, personne ne lui permettrait de passer des moments avec son complice et de vivre une vie de famille normale.
« Papa est mort. Je suis vivante. Alors je vais vivre. » se disait-elle devant le miroir. Elle tentait de sourire, mais ses yeux marrons-verts étaient marqués par la tristesse. Il fallait qu'elle trouve un moyen de redevenir la petite fille optimiste qu'elle était. L'adolescente joyeuse qui faisait rêver les garçons. La jeune femme responsable et rigoureuse qui obtenait les meilleures notes. Elle voulait continuer à être la meilleure. Pour son père. Elle ne voulait pas que sa vie tourne autour de son père qui était décédé. Et pourtant, dans chacun de ses pas, dans chacune de ses réussites, le fantôme de son père la suivrait. Elle en était persuadée.
Suite à la mort de son père, Poppy s'était beaucoup rapprochée de son grand frère de deux ans son aîné. Il la protégeait comme peu de frères protégeaient leur soeur. Elle était fière, extrêmement fière d'être sa soeur. En plus d'être magnifiquement beau, il était d'une intelligence rare et il ne craquait jamais. Poppy ne l'avait jamais vu pleurer, pas même à l'enterrement de leur père. Elle savait bien qu'il se contrôlait et qu'une fois seul, il versait toutes les larmes de son corps. Ensemble, ils partageait l'amour de la musique et ils ne cessaient de chanter jusqu'à pas d'heure ce qui agaçait profondément leur mère. Pourtant, elle adorait les voir heureux lorsqu'ils chantaient. Mais elle était parfois obligé de les stopper si elle voulait dormir. Et les années passèrent vite. Poppy enchaîna les réussites scolaires, les petits amis sans importance... Elle était l'une des filles les plus populaires du lycée avec un parcours scolaire brillant. Et ce n'est qu'à l'université qu'elle tomba pour la première fois amoureuse. C'était il y a trois ans. Elle entrait dans sa formation de gestion-comptabilité. Dans sa classe, il n'y avait quasiment que des filles, sauf Andreas & Logan, les deux rescapés masculins. Poppy avait toujours été plus proches des garçons que des filles, les filles la jalousant sans raison. Alors c'est naturellement qu'elle avait été vers ces deux garçons assis au fond de la classe. « Moi c'est Poppy, et vous ? » avait-elle dit avec un grand sourire. C'était Andreas qui lui avait répondu le premier. Il avait des yeux malicieux que Poppy ne pouvait s'empêcher de fixer. Il était grand, peut-être trop, il avait un sourire ravageur et pourtant, il semblait d'une timidité quasi-maladive. Logan, lui, était bien moins réservé et ne se gênait pas pour la reluquer sous toutes les coutures. Il paraissait bien sûr de lui, affalé dans sa chaise, mâchant indécemment son chewing-gum. Mais Poppy ne prêtait pas attention à Logan. C'était Andreas qui semblait l'avoir hypnotisée. Elle se souvient s'être installée à leurs côtés, avoir partagés quelques mots, puis elle s'était concentrée sur le cours, tentant de résister & ne pas regarder le dit Andreas. Rapidement, tous trois devinrent amis. Logan draguait ouvertement Poppy, mais celle-ci entrait dans son jeu et prenait cela pour de la rigolade. Jusqu'au jour où Andreas vint la voir et avait dit, les yeux baissés : « Ecoute Poppy, j'en peux plus de vous voir copuler verbalement avec Logan. » Il avait dit cela rapidement et Poppy se sentait blessée au fond d'elle même. Elle qui pensait qu'Andreas ne ressentait rien pour elle, c'était bel et bien une crise de jalousie qu'il était entrain de lui faire. « Andy', je m'amuse avec lui, il sait bien qu'il n'a aucune chance avec moi. » « N'en sois pas si sûre. S'il s'est mis en tête de sortir avec toi, il le fera, il a toutes les filles qu'il veut. » « Tu me fais quoi, là, Andy ? Couramment on appelle ça une crise de jalousie. Tu as peur qu'on te laisse tomber si on venait à sortir ensemble, Logan et moi ? Ca n'arrivera pas. De 1, parce que je ne sortirais jamais avec lui, de 2, parce que je tiens trop à toi. » C'était sorti. Les joues de la belle blonde s'étaient empourprées et Andy avait levé les yeux, l'air aussi gêné qu'elle. « Que ce soit Logan ou un autre, il y aura un jour où tu m'abandonnera là comme un vulgaire déchet. » Et Poppy s'était rapprochée de lui, instantanément. Elle avait passé une main sur la joue d'Andy, délicatement, et lui il avait posé la sienne sur celle de Poppy. Elle avait frémi à ce doux contact, puis elle s'était encore plus rapprochée et avait blotti sa tête sur le torse d'une jeune homme. Une main maladroite était venue lui caresser les cheveux. Puis elle avait timidement levé les yeux vers lui. « Andy, je... Logan n'est qu'un ami pour moi. » contrairement à toi. C'est ce qu'elle voulait ajouter, mais elle n'en eut pas le courage. Pourtant, Andreas sembla comprendre et vint déposer un doux baiser sur ses lèvres. Le début d'une véritable histoire d'amour, la redécouverte de la définition du mot embrasser, une renaissance. Dans les bras d'Andy, elle renaissait.
Le plus dur avait été d'annoncer la nouvelle à Logan. Et bien entendu, il s'était énervé, avait estimé être trahi et il les avait abandonné pour les laisser tous les deux au fond de la classe. Jusqu'à la fin de l'année, il ne leur avait plus adressé la parole, se sentant honteux. Cela attristait Poppy. Bien sûr Logan était le garçon de 19 ans le plus immature qu'elle connaissait, mais elle l'appréciait énormément. Et voir son ami loin d'elle, ça lui faisait mal. Pourtant, cela faisait des années qu'elle n'avait été aussi heureuse. Andreas la comblait de bonheur. Parce qu'il était son premier amour. Mais vous le savez, les premiers amours finissent rarement bien. Et ce fut le cas. « Je change de fac, Poppy. Je... » Poppy crut qu'il allait se mettre à pleurer tellement sa voix était faible. La jeune femme, quant à elle, ne put retenir quelques larmes face à cette nouvelle : « Tu ne peux pas me laisser, Andreas. Tu ne peux pas. Pourquoi ? » Et cette question resterait sans réponse. Il était incapable d'y répondre et il laisserait Poppy dans ses interrogations. Poppy ne réussit pas à le faire changer d'avis. Lui & ses parents déménagèrent, et elle se retrouva seule. Encore une fois, elle était seule. Parce que pour venir à la fac, elle avait déménagé, elle s'était éloignée de sa famille. Elle était restée prostrée dans le silence durant deux longues semaines. Logan était revenu vers elle, avait bien tenté de la consoler. Mais c'était trop tard. Lui aussi avait décidé de l'abandonner quand elle était sortie avec Andy, il ne pouvait pas revenir, comme ça, juste parce qu'elle était malheureuse. Les vrais amis sont là lorsque vous êtes heureux ET lorsque vous êtes malheureux.
Finalement, sa formation s'était terminée et Charleston lui manquait. Énormément. Alors elle était revenue. 21 ans, pas de boulot. Mais au moins, elle retrouvait sa ville natale, son frère, sa mère. Et son chemin croisa celui d'Atheyna Carlton, une styliste que Poppy vénérait. Elle ne sait même plus comment, mais elle a été embauchée en tant qu'assistance. Atheyna est adorable avec elle et au delà de la relation patron/assistant, elles sont devenues d'excellentes amies. Mais Poppy aspire à d'autres projets. Elle rêve elle-même de dessiner des collections. Tout cela, c'est une autre histoire. Suite au prochain épisode, dit-on.
Dernière édition par Poppy L. Milsworth le Lun 14 Juin - 11:30, édité 9 fois
S. Aphrodisia Jeckins
admin' ♠ ▬ « Et le lion s'éprit de l'agneau … »
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Sujet: Re: POPPY ♣ don't stop believing. Dim 13 Juin - 20:41
Bienvenue a toi =) Merci de t'etre inscrite Bon jeu & Bonne continuation pour la suite de ta fiche ;
Grace C. Martins
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