Sujet: « Il y a des jours avec, d'autres sans. » [PV] Jeu 17 Juin - 22:43
Le réveil fut difficile, la moquette sur laquelle était allongé Daemon n'était pas bien confortable, mais l'état dans lequel il s'était endormi la veille l'avait amené à n'apporter aucune importance à l'endroit dans lequel il se reposait. La gueule de bois s'amenait petit à petit, et le jeune homme se redressa avec difficulté, essayant de reconnaitre l'endroit dans lequel il se trouvait. Quelques bouteilles de vodkas jonchaient le sol çà et là, d'autres personnes, qui arboraient un état pire que celui de Taylor, profitaient d'un profond sommeil - à moins que ce ne fut un coma éthylique? -. Le jeune homme se releva difficilement, sortit une cigarette du paquet rangé dans sa poche droite et l'alluma à l'aide de son briquet. Se remplissant les poumons de la fumée toxique, il observa les dégâts, tout en essayant vainement de rassembler quelques souvenirs de la veille. Il y avait eu de l'alcool et des drogues en quantité importantes, bien entendu, mais les détails étaient inexistants, ou presque. Daemon se souvenait d'une fille, une blonde, à moins qu'elle ne fut brune? Non, impossible de s'en rappeler, elle ne devait pas être bien importante pour ne pas l'avoir marqué, et puis, s'il avait passé la nuit par terre sur la moquette de cette chambre, cela devait sans doute vouloir dire qu'elle n'avait pas terminé la soirée en sa compagnie, et rien que pour ce détail, elle ne méritait pas d'être dans ses souvenirs.
Trop d'alcool, il faut que j'arrête de boire. Trop de drogues, je ferais mieux de stopper les abus avant d'y laisser ma peau. Je me suis condamné, et à chaque soirée, je ne fais que me rapprocher de cette heure fatidique où la faucheuse viendra me prendre au creux de ses bras. Je l'attends, je n'ai pas peur, et même si les portes des enfers me sont grandes ouvertes, je trouverai un moyen de leur échapper. Je trouve toujours un moyen de m'en sortir. Cela me rappelle d'ailleurs ce rêve étrange que j'ai encore fait cette nuit. Un homme entièrement habillé de noir et dont le visage est masqué s'approche de moi, et vient me dire que mon temps est compté, qu'IL m'attend avec impatience, qu'IL veut mon âme afin de me faire subir des tourments qu'aucun autre n'a connu. Puis il me dit qu'il n'y a aucun échappatoire, que je ne pourrais jamais racheter mes fautes et que mes péchés resteront à jamais impardonnables. Foutu subconscient. A moins que ce ne soit la coke, toujours est-il que ce n'est pas la première fois que je fais ce rêve, et qu'il ne fait qu'augmenter mon mal de crâne, à m'amener toutes ces questions. Oui, j'ai péché, j'ai osé mentir, voler, me venger, j'ai détruit l'âme d'innocents, leur ai volé de précieux sentiments qu'ils gardaient enfoui au plus profond de leur être, j'ai manipulé afin d'atteindre mes objectifs les plus sombres, mais croyez-vous réellement que je veux racheter mes fautes ? Non, je n'en ai pas l'intention, mais si je dois aller en enfer, ce sera pour y régner en seul et unique maitre.
Daemon écrasa sa cigarette dans un cendrier de fortune posé sur l'accoudoir d'un fauteuil, le renversant au passage et répandant les cendres sur les affaires d’une personne. Pas de chance, mauvais endroit, mauvais moment. Le jeune homme se dirigea ensuite, en titubant légèrement, vers une table sur laquelle étaient disposées de nombreux gobelets dont certains étaient encore à moitié plein. Laissant agir le hasard, il en choisit un en présumant à sa couleur que c'était un simple jus d'orange, puis il l'avala cul sec. Vodka orange. Pas de chance, de nouveau. Vu son état, cela ne pouvait de toute façon pas faire empirer les choses. Taylor observa les alentours, et finit par reconnaitre sa veste noir malgré sa vue légèrement trouble. Il l'enfila, décidant qu'aller faire un tour dehors ne pouvait que lui faire le plus grand bien par cette fraiche matinée de mai, puis sortit de la pièce, fier d'avoir été le premier à se lever. Il n’était qu’un fêtard accro aux abus et qui se détruit jour après jour. Pourtant l'image que l'on donne de soi est très importante, nous sommes tous des publicités ambulantes de nos propres vies, il y a une époque il était hors de question de donner l'image de junkie sans avenir qu'il était progressivement devenu. Il voulait montrer qu’il était quelqu’un de respectable et non pas celui qui était allongé sur le sol, toujours ivre de la soirée de la veille. Le jeune homme descendit les marches lentement, l'une après l'autre, prenant son temps, perdu dans ses réflexions.
Supposons qu'il existe un paradis et un enfer, et que nos pensées, nos attitudes, nos comportements et nos actes soient les seuls juges de notre existence après cette vie, alors cela veut-il forcément dire que je suis condamné à finir en enfer? Et si tout au fond de moi, je ressentais des regrets concernant mes actes, s'ils me hantaient chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde, cela me donnerait-il une possibilité de me racheter, ou faut-il obligatoirement que je demande le pardon à la personne que j'ai blessée, ou à un de ces stupides représentants divins ? La religion me pourrit l'esprit, elle me fait convoiter un paradis que je ne veux pas connaitre, mais me force à vouloir l'atteindre pour éviter de connaitre des tourments éternels. Et s'il n'y avait rien après la mort, si tout s'arrêtait ? Ou encore pire, si nous nous réincarnions ? Alors notre passage n'aurait servi à rien, à part peut-être préparer le suivant. Il faut vraiment être stupide pour se poser toutes ces questions, ou être rongé par la culpabilité. Saloperie de culpabilité, fout-moi la paix. Je ne veux rien regretter, je veux continuer à être ce salopard cruel et détestable. On ne gagne jamais rien en étant sympathique et serviable, je l'ai bien vu, je refuse de me conformer aux attentes des autres, je veux être la propre maitre de mon destin, ainsi que celui du destin des autres.
Trop de questions tournaient dans l'esprit embrumé du jeune homme, des interrogations qu'il n'aurait jamais dû se poser à son âge, mais la prise de drogues ouvrait son esprit, un peu trop parfois, et l'amenaient à de profondes réflexions. Le jeune homme sortit enfin de la maison, ressentant un vent frais s'engouffrer dans son manteau, et qui le fit immédiatement frissonner. La fraicheur aurait sans doute le mérite de le réveiller, et peut-être même de faire baisser son taux d'alcool dans le sang, qui sait ? Toujours était-il qu'il avait besoin de marcher, de se dégourdir les jambes, de se réveiller également, et d'un endroit apaisant, qu'il pourrait trouver au parc. Il n'y allait que rarement, trouvant l'endroit parfait pour les couples niais, et pas assez pour les esprits aiguisés comme le sien, mais de si bon matin, il y avait peu de chances qu'il y croise de jeunes gens perdus dans leurs amourettes adolescentes. Cependant, la découverte qu'il y fit le surprit. Daemon remarqua immédiatement le corps frêle d'une jeune femme assise sur un banc. Il la reconnut sur le coup.
Daemon – « Toujours défoncée à cette heure-ci? Tu deviens pire que moi, Silver. »
Silver. Silver. Silver. Il la détestait tout autant que Connor. Eux et leur bonheur qui ne tenait qu’à un fil. Bientôt, ils plongeront. Et Silver se blesserait. On n’empêchait pas Daemon de vivre sa vie comme il l’entendait. Et ce bientôt était proche. Il ne rêvait qu’une seule chose : que cette garce se brise les ailes. Et plus, si possible.
Daemon - « Silver » Il prit place à coter d’elle. « Tu fais bien de passer ta journée ici. Ton teint cadavérique en ferait presque peur. Remédies-y au plus vite sinon tu peux dire au revoir à Coonor. »
S. Aphrodisia Jeckins
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Sujet: Re: « Il y a des jours avec, d'autres sans. » [PV] Dim 20 Juin - 16:54
NOTRE PASSE CAUSERA NOTRE MORT. ___________________
LE PASSE NOUS RATTRAPPE TOUJOURS QUELQUE SOIT NOS FUITES, QUELQUE SOIT NOTRE DETERMINATION A FAIRE FUIR NOTRE PASSE, IL NOUS RATTRAPPE TOUJOURS. LA QUESTION QU’ON DOIT SE POSER EST / PEUT-ON « MOURIR » A CAUSE DE CELUI-CI OU DEVRONT NOUS VIVRE EN HARMONIE AVEC ?
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La vie, un procédé étrange qui se formait en trop temps. Le passé était une de ses partie de la vie, qu’on oublia ou qu’on gardait pour soi, laissant place au présent. Le présent lui, nous faisait vivre, comme si le lendemain n’existait pas. Par contraire, le futur quand a lui, est un évènement que personne ne puisse prévoir les évènements. Personne connaissait ce que lui réservait la vie, vivant de jour en jour, souffrant pour certain, de leur passé douloureux. Le passé, aussi étrange fut-il, certaines personnes le chassait dans leur esprit, car pour pas mal de monde, ils en avaient honte. Aphrodisia Jeckins faisait partie de ce groupe, ayant honte de son passé, au point de se faire passer pour une personne très mystérieuse. Elle l’était et cela, lui donna un certain charme que pas mal de monde, aurait donner leur vie et leur argent, pour savoir comment était le passé de cette fille d’aristocrate. Mais personne ne savait mieux qu’elle, et le plus étrange dans tout cela, même son mari Connor, ne savait pas du tout de son passé. Ce fut surement la plus grande surprise de tout le temps, car si il y avait une personne sur Terre qui pouvait connaître son passé, ce fut bien Connor Jeckins, et pourtant il connaissait que peu de chose. Oui, Aphrodisia avait honte de son passé, malgré la confiance qui régna entre elle et son futur ex époux. Pourquoi n’avait-elle rien dit ? Aussi étrange fut cela A avait peur qu’il réagisse mal et qu’il ne l’aime plus. Son passé était noire et personne ne l’aurait aimer, si quelqu’un savait dans quoi elle avait été embarquer et pourquoi elle était venu à Charleston. Oui, personne ne savait son passé, sauf une seule et une personne : la cause de son passé. Cause qui se résumait en deux mots : Daemon Taylor. Taylor qui était connu pour être un bonne personne et populaire dans la gastronomie auprès des habitants de la ville, jouant d’eux. Car si il avait bien une personne qui n’était pas un ange dans cette ville, c’était bien lui et malheureusement pour la chirurgienne, elle le connaissait que trop bien.
Ouvrant les yeux, la première chose qu’elle vit, fut le plafond, plafond qu’elle connaissait que trop bien. Alors qu’elle allait se lever, un poids léger lui fit comprendre une chose : elle n’était pas seule dans sa chambre. Et vu qu’elle ne dormait plus avec Connor depuis l’annonce de leur divorce, une seule personne aurait put venir dans son lit : Caelan. Un simple regard à la chevelure aubrun de sa fille, lui fit comprendre qu’elle avait raison. Son regard s’attarda sur sa fille, remarquant au passage une trace de larme qui n’avait pas disparu du visage de sa fille. Elle se rappela pourquoi sa fille avait dormit avec elle, où elle remit son bras dans un geste protecteur autour de sa fille. Fille qui avait fait un cauchemar et qu’elle lui avait demander si elle pouvait dormir avec elle. Bien sur, Aphrodisia avait accepter et lui avait dit, que son père travaillait quand C lui avait demander pourquoi elle ne dormait pas avec Connor. Même si Caelan étant enfant, elle savait que ses parents était en procédure de divorce, mais les deux parents ne faisaient comme si de rien n’était quand Caelan était présent. Mais malgré cela, Aphrodisia aurait jurer que sa fille, construisait un plan pour les remettre ensemble, car depuis quelque jours, Caelan avait exiger plusieurs sorties où aucun des deux parents ne pouvait s’échapper, pouvant prendre des jours de congés avec le nombre d’heure supplémentaires qu’ils avaient fait. Fermant les yeux, elle sourit et se laissa bercer par la respiration régulière de sa fille, pour se rendormir, dans un sommeil sans rêve. Ce fut dans cette position là, que les trouva Connor sans qu’elle le sache.
Les minutes avait défiler pour devenir des heures où après être réveiller, elle s’était préparer. L’envie d’aller au parc arriva dans son esprit, alors qu’elle prenait son petit déjeuné en compagnie de sa fille. Le parc était l’un de ses endroits préférés, où elle y passait toujours en revenant du travail, voulant trouver le courage nécessaire pour ne rien dévoiler à son mari qu’elle avait été victime de chantage. C’est dans ce même esprit, qu’A partit dans le salon, suivant Caelan qui voulait lui montrer quelque chose. Quelconque qui fut un dessin, où elle remarqua vite le don de sa fille. Caelan avait toujours été dans l’art et la musique, et rare les fois où elle était surprise. Un sourire naquit sur ses lèvres alors que sa fille partit rejoindre son père qui était installer sur l’un des fauteuils du salon, tapant sur son ordinateur. La pensée que son mari écrivait un autre roman arriva dans son esprit, où une douleur sans nom lui compressa le cœur. Ce fut pour cette raison, qu’elle leur avait dit qu’elle partait au parc où elle ne put pas faire un geste vers la sortie, car Caelan avait décider de l’accompagné. Ce fut seulement cinq minutes plus tard, que la porte du Manoir Jeckins se ferma, et que la voiture d’A rejoignais la route pour allez en direction du parc laissant sa fille, mettre sa musique favorite.
PARC » 10h50
Le parc. Voici l’un des endroits préféré d’Aphrodisia depuis que l’annonce de son divorce avec Connor, s’était rependu sur la ville. Ici, elle pouvait laisser libre à ses pensées, a ses émotions, sans que personne ne puissent le voir. Le parc était un bon endroit, étant seul ou accompagné. Beaucoup de personne y allaient en famille, pique niquant sur l’herbe fraiche laissant le soleil leur bruler la peau. Seul un petit vent de fraicheur y régnait, défiant la chaleur du soleil, en ce bon matin. Elle aimait donc s’y rendre, même si la vue de la joie des couples étendu sur l’herbe s’embrassant, où la vision de deux parents avec leur enfant, lui offrait. Ici même, elle se souvenait les fois où elle y allait avec Connor et Caelan, car cette dernière l’avait voulu, voulant ses parents pour ce jour, laissant ainsi de côté leur travail. Il existait bon nombre de joyeux souvenir, a chaque endroit de ce parc, endroit qui était neutre pour elle car même si il lui donnait de bon souvenir, il lui donnait aussi des souvenirs douloureux, sans la juger. C’était pour cela, qu’elle aimait se rendre dans cet endroit, offrant sa vision au parc qui ne la jugerait jamais, contrairement aux habitants de Charleston qui la jugeait depuis son arrivé dans cette ville. Elle avait toujours été juger, par son physique gracieux, et par son nom mais surtout par la vision qu’elle pouvait leur donner. Oui, quiconque était la depuis des années, auraient dit qu’Aphrodisia était un mystère a deux pieds, car personne savait son passé, qu’elle gardait secrète. Les rumeurs les plus folles lui étaient arrivé aux oreilles, où elle avait toujours souri, aurait préférant leur rumeur qu’a la véritable raison de sa venue à Charleston. Sa véritable raison de sa venue à Charleston était simple : la ville n’était pas loin d’un célèbre centre de desintox où ses parents avait cru bon de l’envoyer pour suivre une cure, quand elle avait, faillit mourir suite à une overdose causé par la drogue. Drogue qui était partit de sa vie, et qu’elle haïssait a présent où elle se prenait un malin plaisir, a donner la morale à des jeunes qui venait dans son hôpital ayant trop abusé de la drogue ou de l’alcool. Ils étaient des êtres innocent ne savant pas l’étendu que pourrait leur risquer ses produits illicites, où c’est peut être pour cette raison, que tout Charleston savait qu’elle haïssait la drogue, sans savoir qu’elle en avait consommer dans son passé au point d’y être accro. Oui, elle avait été accro où elle avait honte à présent. Honte qui lui rappela pourquoi, elle avait prit où elle maudit ses parents car c’était a cause d’eux qu’elle en avait consommer : elle voulait les faire honte.
Un soupire franchit ses lèvres alors qu’elle posa un pied au parc, alors que la fraicheur de la main de sa fille se faisait sentir. Un sourire se dessina sur ses lèvres quand sa fille lui avait demander si elle pouvait l’accompagné. Elle avait accepté avec joie, même si elle avait vu dans le regard de son époux - futur ex époux - qu’il aurait préférer garder Caelan, ce matin. Mais Caelan avait choisit, et c’était pour cette raison, que les deux Jeckins se trouvait à l’entrée du parc. Elles marchèrent, parlant de chose et d’autre avant que la petite fille de sept ans, partit d’un pas précipiter après avoir demander son autorisation, en direction de l’aire de jeux, où se trouvait déjà des enfants de son âge. Enfant qui devait être dans son école, vu le sourire qui était apparut sur le visage de son visage, quand elle les avait vu. Un sourire heureux se dessina sur ses lèvres alors qu’elle se posa sur un banc éloigné de l’aire de jeux, gardant un œil vers sa fille, voulant réfléchir à sa vie. Malheureusement, réfléchir à sa vie était quelque peu impossible, pour les raisons suivante : sa vie commençait a tomber, chaque seconde qu’elle passait à vivre. Mais surtout pour la raison suivante : le parc la replongeait dans ses pensées, malgré elle. L’adulte se souvenait de tout, créant ainsi une apparence fragile, car quiconque l’aurait vu, vous aurait dit, qu’elle avait peu dormit de la nuit, victime de cauchemar. Mais personne n’aurait imaginer, qu’elle perdait du poids, même si elle faisait bonne figure. Ses iris chocolat se posèrent sur un endroit, où elle se souvenait exactement, que cet endroit là, avait été l’un de ses souvenirs du lycée. Elle se revoyait, jeune, assise dos contre le torse de Connor, lui-même assit contre un arbre. Il l’avait prise dans ses bras, où beaucoup avait été surprit, car ce n’était pas un geste qu’un Dom Juan faisait normalement. Personne aurait su - et même elle - que le soir même, il lui avoua qu’il l’aimait alors qu’elle lui avait dit quelque jours plus tôt. Elle se rappelait aussi, d’un pique nique improvisé par ses amis, alors que le lendemain, la remise des diplômes les attendaient de pied ferme. Elle se souvenait aussi, des sortie avec Connor et Caelan, elle lisait un livre créer par son mari, et lui jouant avec Caelan, formant ainsi une image de couple parfait, et heureux. Un autre endroit lui donna une peine au cœur, quand elle se souvenait, que Connor et elle, avait eu une violente dispute dut a leur jalousie, alors qu’ils était question d’emménager la veille. Mais le souvenir qui lui brisa radicalement le cœur, fut quand elle avait revu Daemon, à l’extrémité des arbres et qu’il s’était penché vers son oreille, pour lui dire, qu’il avait lui faire connaître l’enfer.
Enfer qu’elle connaissait car sa première chute en enfer, vu quand elle l’avait rencontrer. Elle se rappelait exactement de leur premier rencontre, où il ne fallut qu’un mois, pour être en couple avec Daemon et pratiquer les mêmes chose qu’il faisait. Elle était encore une enfant qui entrait dans l’adolescence, ayant une mini cour royale, cachant sa naïveté et sa nature a être influençable. Elle n’était qu’en quatrième quand elle avait vu entrer Daemon dans la cour, avec une ordre de groupies à ses trousses, ayant quelque minutes plus tôt jeter une cigarette et faire pleurer deux filles. Elle avait tout de suite été attiré par son allure bad boy où sa cour lui avait dit, qu’il en était vraiment un. Il était en troisième mais ce ne fut pas cela, qui l’empêcha d’allez lui parler, car elle était déterminé a faire honte à sa mère. Ils avaient donc parler, et un mois plus tard, ils couchèrent ensemble, lui donnant ainsi sa virginité. Après cela, ils étaient connu pour former un couple, au point que la méchante Silver - tout le monde la connaissait par ce prénom - se transforma peu a peu, en une rebelle qui fumait, buvait, se droguait et couchait avec son petit ami. Elle était devenu un reflet de Daemon et il ne fallut pas des jours, pour que sa mère lui pique une crise quand elle avait découvert sa fille, a moitié nu, embrassant un Daemon a moitié nu dans son lit. Les choses avaient empirer, au point qu’elle été partit de chez elle pour dormir chez son copain. Personne ne pouvait l’arrêter dans sa descendre en enfer, jusqu’à elle fut le malheur de prendre trop de drogue d’un coup. Il n’avait pas fait un geste pour la sauvé, et ce fut grâce à Noah - qui devenait son meilleur ami - qu’elle survécut à l’overdose qui l’avait attraper. Suite a cela, elle avait rompu avec Daemon, le jour où il quittait le collège pour le lycée. Ils ne s’était jamais revu après cela, car elle déménagea à Charleston, pour suivre une desintox et suivre sa vie. Et le plus naturellement du monde, elle avait cacher son passé aux habitants de Charleston, changeant son caractère en celui qu’on connaissait aujourd’hui. Elle avait crut qu’elle ne reverrait plus son ex, jusqu’à sa rencontre deux semaines plus tôt, au parc où il lui avait promit que sa chute en enfer sera pour la vie, et non de passage. Ce fut ses paroles qui lui fit avouer que Daemon Taylor était et sera toujours, son pire cauchemar.
Soupirant, la jeune femme revenait a elle, alors qu’elle s’aperçut qu’elle regardait toujours le même endroit, cet endroit qui était le sien avec Connor. Fermant les yeux, elle apprécia les rayons du soleil sur son visage, ainsi que le vent doux qui dansait avec grâce avec ses cheveux. Quiconque l’aurait vu, vous aura affirmer avoir vu un ange déchu, ange qui souffrait. Sa pâleur aurait put faire imaginer qu’elle revenait d’une soirée très arrosé avec alcool et drogue à volonté, mais personne ne s’imagina cela car Charleston savait qu’elle haïssait la drogue et tenait parfaitement l’alcool. Ses yeux restèrent fermer alors qu’elle entendait les rires des enfants qui jouait a l’aire de jeux, sous le regard bienveillant de leur parents. Elle ne se retourna pas quand elle entendit un rire cristallin fut faisant comprendre que sa fille s’amusait et était heureuse d’être la, car elle avait l’avait tant de fois écouter son rire, qu’elle le connaissait parfaitement. Un sourire naquit sur son visage alors que ses iris refaisait surface, alors qu’elle fixait un point quelconque. Elle pouvait rester des heures ici, si quelqu’un ne l’avait pas sortit de ses pensées. Quelqu’un, qu’elle aurait aimer ne plus voir, surtout aujourd’hui.
DAEMON — Toujours défoncée à cette heure-ci? Tu deviens pire que moi, Silver. Une voix la sortit de ses pensées alors qu’elle regardait le paysage que lui offrait le parc. Et seul une personne l’appelait Silver et elle jura intérieurement, contre le quelconque saint qui a voulu, qu’elle tombe sur lui. Lui qui désigna Daemon Taylor, son ex mais surtout son pire cauchemar. APHRODISIA — Personne ne peut être pire que toi, Jules. dit-elle comme si elle énonçait une évidence et s’en était bien une. Elle fit la sourde oreille quand la pensée de fuir lui arriva à l’esprit. Mais elle ne pouvait pas le faire sa, savant qu’il sera encore plus en colère qu’il ne l’était déjà avec elle.
Jules, premier prénom de Daemon où elle savait de ce dernier, qu’il détestait le prénom que ses parents lui avait donner. Seul elle et peu de personne, savaient cela où elle en jouait, se fichant pas mal que ca ne lui plaisait pas, puisque ce dernier en faisait de même. Une peur sourde lui arriva alors que ce dernier la regardait d’un mauvais œil avant de s’installer à ses côtés, sans qu’il lui demande son avis. Elle pria quiconque pour que Daemon ne remarque pas, la présence de sa fille a plusieurs mètres d’eux, entrain de jouer avec certains de ses camarades de classe, à l’aire de jeux que disposa le parc. Elle ne fit aucun geste pour montrer qu’elle n’était pas venu seul car elle savait, que si Daemon voyait sa fille, plusieurs pensées mauvaise auraient prit son esprit, brisant encore plus Aphrodisia qu’elle ne l’était déjà. Ses yeux prirent une teinte noire et perdu quand il recommence a parler, faisait tout son possible pour ne pas montrer qu’elle avait peur de ce dernier. Elle préférait mourir que de le faire savoir, c’est pour dire qu’elle en avait quelque peu honte, de cette peur que lui seul, pouvait lui donner depuis qu’elle avait rompu avec lui, plusieurs années plus tôt. Année qu’elle préférait chasser de son esprit.
DAEMON — Silver il prit place à ses côtés. Tu fais bien de passer ta journée ici. Ton teint cadavérique en ferait presque peur. Remédies-y au plus vite sinon tu peux dire au revoir à Connor Il aimait la faire souffrir, et cela Aphrodisia le savait très bien, gardant en elle le sentiment de tristesse qui l’avait envahit a l’annonce du prénom de son mari. Mais la pensée qu’elle voulait le voir heureux avec sa fille lui arriva, lui donnant assez de courage pour répondre à Daemon, lui faisant bien comprendre que son caractère trempé était toujours là, malgré la vision qu’elle pouvait lui donner, en ce moment. Oui elle aimait sa famille, et elle préférait souffrir que de les voir souffrir par sa faute. APHRODISIA — Et toi, tu empeste l’alcool et la drogue en plein nez. Crut bon de lui dire, alors qu’une grimace apparut sur son visage. Il devait surement revenir d’une soirée bien arrosé, se dit elle, alors qu’elle reprit la conversation, laissant le doux vent s’amuser avec ses cheveux ondulés. Remédie-y avant que Charleston voit ton vrai visage et que tu perd tout tes précieux clients. Car c‘était bien la, le problème. Personne a part elle, savait que Daemon n‘était pas le restaurateur ange que tout personne de la ville connaissait. Il n‘était pas un ange, et cela Aphrodisia le savait très bien, ayant trop joué avec le diable qui régna en maître dans le corps de l‘adulte assis, a ses côtés.
Oui, Daemon Taylor était le diable en personne, et malheureusement pour elle, il s’était éprit de sa personne, alors que cette dernière faisait tout pour ne pas le voir. Peine perdu, puisqu’après des années où ils ne s’étaient pas vu, il l’avait retrouvé dans cette ville, paisible et calme qu’elle avait aimer vivre heureuse. Heureux, elle ne le sera jamais a cause de ce restaurateur, qui faisait tout pour la faire tomber de son trône. Et il ne lui fallait pas longtemps, pour tomber vu la souffrance qui régnait en maitre dans son corps, sans que personne - ni même sa famille et ses amis - le savaient. Alors qu’elle regardait le parc, elle se maudit car c’était bien elle, qui avait décider de ce promener ce matin, au parc avec sa fille et non Caelan, où elle garda, en elle, le soupire qui aurait été le bienvenue en ce moment.
« Il y a des jours avec, d'autres sans. » [PV]
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