« L'amusement est le besoin le plus criant et, bien entendu, le plus terrifiant de la nature humaine... » Quiconque réside sur terre assez longtemps pour s'approprier les mœurs de ses habitants comprendra à quel point l'esprit humain est d'une complexité inouïe. Chaque être humain est unique, particulier, distinct de ses semblables, et sa raison de vivre est tout aussi différente. Certaines personnes naissent dans le but de briller, d'autres de construire, tandis qu'une poignée d'entre elles foule le sol dans l'espoir de vivre assez pour surpasser la Mort. En aucun cas dans le but de lui résister, loin de là, chaque chose est éphémère et ce qui est aujourd'hui ne sera plus que souvenir demain, mais ces personnes existent pour exister. Cela peut paraître stupide mais la majorité des humains passent à côté de cela. Ils vivent seulement pour ne pas mourir. Ils survivent. Mais, fort heureusement, certains êtres vivent réellement, croquant la vie à pleines dents. Ils vivent à en crever...»


Mathias Lauridsen.

On dit qu'un cerveau reposé apprend et réfléchi mieux par lui-même. Mais quelque fois le sommeil se fait difficile à trouver, hanté par nos démons intérieurs. Daemon avait pourtant réussi à les exorciser, pour cette nuit là. La lumière environnante, faible puis intense, vint s'écraser dans une masse informe sur sa joue négligée d'une fine barbe brune claire. Les frissons nombreux, parcoururent son corps à la vitesse d'un éclair frappant un arbre, faisant légèrement hérisser ses poils au droit. Il avait froid. Son corps, fin, aux épaules larges, ou de légers abdominaux se dessinaient n'était recouvert que d'un drap de soie blanche se faufilant autour de sa taille. Ouvrant les yeux, il observait la pièce qu'il l'entourait, c'était une chambre, certes, mais ce n'était pas la sienne. Ces derniers mois cela arrivait de plus en plus régulièrement. Depuis cette fameuse soirée. Restant allongé dans le lit, tournant la tête vers la gauche, il remarqua une petit piece. Le jeune homme continuait d'observer la pièce sous toutes ses coutures. Des vêtements empilé sur une chaise, un bureau, une chaudière au milieu de la pièce. Ses iris se décrochèrent un instant des flammes qui se dégageait du chauffage central. Daemon crispa son visage, laissant apparaître un sourire malsain. Une de plus. Si le démon avait l'air satisfait au plus au point, à l'intérieur il brûlait d'un feu qui le rongeait un peu plus chaque jour. Chaque jour, il ne pensait cas elle, à sa vengeance. La jeune femme s'étira délicatement, passant ses bras autour des épaules du jeune homme, se collant à lui. Son souffle chaud frôlait sa nuque, ce qui aurait provoqué nombreux feux ardents chez certains hommes, mais pas chez Daemon. Il se retournait du côté de la jeune femme, se libérant de son emprise, l'observant comme on observe un tableau d'art. Il avait toujours eu bon goût en matière de femme. Il posa son regard grisâtre dans les iris de la poupée de verre qui s'était laissé brisée le temps d'une trop courte nuit. Approchant ses lèvres des siennes, il l'embrassa chastement, les retirant avec une vive rapidité. Ne pas se laisser emporter par le désir. Les femmes sont du poison. Un petit rictus, grave s'échappait de sa bouche. Elle ne comprenait pas, mais lui il comprenait tout. Maintenant qu'il s'était amusé, il allait anéantir tous les beaux rêves qu'elle avait pu imaginer. Daemon se levait, la nudité ne le gênait pas plus que ça dans ses moments là qui étaient les siens. Ses vêtements et ceux de sa proie étaient dispersés un peu partout dans la pièce - la nuit avait dû être torride, mais encore une fois il ne se souvenait de rien -. Enfilant son caleçon noir il observait une nouvelle fois la créature avec qui il avait partagé ses draps.

UNKNOW . « - Où tu vas? Tu ne vas pas partir après... après être venu en moi ? Je t'aime tu sais. » Elle renifle, elle se rend compte de son erreur.
DAEMON . « - C'est ce qu'elles disent toutes. Mais vous êtes toutes pareilles. Des sales chiennes qui ne méritent que ce qu'ils leur arrivent. » Il effectue une pause, prenant plaisir à voir la jeune femme pleurer dans les draps, tremblant de tout son être. « - Si ça peut te rassurer, tu es plutôt douée si je compte toutes celles qui sont passés avant toi, Babe. »

Un rire grave s'échappait d'entre ses lèvres en voyant la jeune fille éclater en sanglots, elle s'échappe, s'enfuyant de la piece entourée d'un drap. Pour Daemon c'est un plaisir si jouissif d'assouvir son feu intérieur et de pouvoir ensuite briser toute la beauté de cet acte.





Silver,

Je prends tout trop à cœur, je réagis trop violemment, trop excessivement. Ce n’est pas la solution, mais je n’en ai pas honte. Je suis comme cela; puisque les mots ne servent au final à rien, je préfère la violence, le sang, les larmes. Bien plus expressifs. J’aime voir, observer tel un pervers la souffrance sur le visage d’autrui, ça me fait sourire. Je dois être bien cruel de jouir de leur souffrance, mais je m’en fous. Je veux être libre, le plus libre possible, comme l’oiseau qui vole dans le ciel. Pas de contraintes, pas d’attaches. Mais il faut croire que ce serait trop facile. Je m’attache et je me fais baiser. Trop bon,trop con. Et tu m'as baissé. Mais une chose est sur je suis passée au dessus de toi. Je peux dire sans mentir que je t'ai oubliée. Que je ne ressens plus rien pour toi, que si je te revoyais je ne tomberais pas dans le panneau, que tu n'es rien pour moi, et tout ce que tu veux. Je te l'ai dis je réagis trop violemment et pendant ces années je ne pensais cas ma vengeance. Te détruire était devenu un défi pour moi. Je veux que tu tombe pour que jamais tu ne te relève. Tu étais ce genre de fille dite coincée, un brin naïve. Une proie facile. Effectivement, facilement tu étais tomber dans le cercle qui est une fatalité, on ne peut y échapper : tout le monde fume, tout le monde boit, s’en est même plus original. Ton caractère influençable et mystérieux me toucha. Je me suis attacher à toi. Mais tu es partie. Maintenant si tu savais à quel point je te hais. Si je te voyais je pense que je te lacèrerais la peau avec mes ongles, que je te briserais les côtes à coup de talon, que je te brulerais vif toi aussi. Je ne veux clairement plus te revoir, et pourtant j'espère ce moment tous les jours. Tous les jours je t'attend pour pouvoir te montrer tout le mal que tu m'as fait, et te le rendre au centuple. Parce que le divorce n'est que le début de tes peines.
Je te hais autant que je t'ai aimé. N'oublie jamais ça.

Taylor

Bienvenue & Merci de ton inscription,
Bonne Continuation =D

Merci Miss.

Bienvenue =)
Bon courage pour ta fiche

Merci. Il m'en faudra du courage. =P

MIAM. J'aime particulièrement Mischa et ton avatar est sublime.
Il faut s'attendre à tout quand on prend un scénario de Morgane ...

Merci A.
J'ai jamais honte Pis c'est toi qui devrais avoir honte, traumatisé et forcé une jeune fille ainsi !

Bienvenue ^^

MATT. <3
Welcome :)

Merci vous deux =D

Fini =P