Age ; 21 ans Groupe ; Whisky Coca Métier ; Vendeuse en produits cosmétique. D'accord ça fait pas gagner des millions, mais t'en que ça me fait survivre. Qualités - défauts ; ambitieuse - généreuse - souriante - drôle - déjantée - rancunière - perfectionniste - gourmande. Hobbies ; La lecture. J'ai toujours plein de livre sur mon bureau, une vraie invasion ! Les sorties en tout genre, c'est également mon truc. Je n'aime pas rester sans rien faire, j'ai l'impression de perdre mon temps. La musique est un de mes passe-temps favoris. Et puis écrire des histoires toute plus folles les unes que les autres. Rien de tel pour se vider l'esprit. Situation familiale ; Je vis avec ma petite soeur. Mes parents ? N'en parlons pas. Comment le prendriez vous si les vôtres jetaient votre soeur dans les bras en vous disant "occupe-toi bien de la petite, nous avons envie de vivre". Bon, ils l'ont peut-être pas dit comme ça, mais c'est tout comme. Maintenant ? Ils sont je ne sais où sur la terre, nous envoyant des cartes postales tous les six mois. Et encore. Orientation sexuelle; Hétérosexuelle Avatar ; Kristen Stewart
C'est la mienne, c'est mon histoire ...
Ma vie ? C'est loin d'être un conte de fées. Non je ne suis pas née dans un immense château luxueux avec des servantes et tout le toutim. Je ne suis pas née non plus au fin fond d'une ferme reculée dans la cambrousse. Non, je suis née par « un beau matin d’hiver » - comme on le dirait si on veut être poétique – à Dallas, au Texas, le 21 février 1989. J’ai été le petit ange tombé du ciel par mes grands-parents, celle qui allait peut-être pouvoir sauver le couple de mes parents pour ces derniers, avant de devenir une source d’ennuis, toujours selon eux. Quoi de plus normal quand un bébé pleure la nuit parce qu’il fait ses dents ou parce qu’il a terriblement faim ? Ben pour mes parents, c’était affreux. Malgré tout, contre toute attente, ils ont tenu bon et sont restés ensemble, mais regrettant bien vite leurs fêtes à répétitions dans les boites les plus branchées de la ville avec leurs amis populaire. Oui, ma mère et mon père avaient respectivement 17 et 18 ans. Ils imaginaient tout sauf devoir s’occuper d’un bébé à cet âge là. Mais ils m’ont gardés, je ne vois même pas pourquoi d’ailleurs. Sans doute qu’ils se disaient « on a rien à craindre, les grands-parents seront toujours là pour faire du baby-sitting avec Maybee quand on fera la fête ! ». Et c’était vrai. C’étaient mon grand-père et ma grand-mère qui surveillaient mon éducation de près, car ils n’avaient pas confiance en mes fêtards de parents. Je les comprends. J’ai donc grandi entre deux maisons. Celle de mes parents où je passais la semaine, et le week-end c’était chez papi et mamie, ce qui ne me posait aucun problème.
Bientôt, une nouvelle venue prit exactement le même chemin que moi. Une petite sœur était née. Oui, je vous le jure, mes parents avaient remis ça. Ben quoi, ils élevaient bien leur fille quand elle ne passait pas tout son temps à l’école ou avec la baby-sitter ! Dès le premier regard, bien que je n’aie que deux ans, je savais que j’allais devoir faire tout mon possible pour rendre ce petit être heureux. C’est ce que je fis, et ce que je continue encore aujourd’hui. Nous nous sommes beaucoup rapprochées elle et moi, durant toute notre enfance où je jouais un peu sur tous les tableaux. Grande sœur protectrice, je passais rapidement au rôle de la maman quand on était à la maison, m’amusant à grimper en équilibre instable sur les lavabos pour essayer d’attraper le bocal de pâte à tartiner dans le placard. J’étais aussi la confidente dont elle avait besoin. Bref, tout ce dont on peut rêver d’une relation entre sœurs. Nous étudions toute deux scolarisés dans les mêmes écoles, passions notre temps ensemble et avec nos amies communes, on peut dire que nous faisions bien la paire. Mais à partir du moment où nous étions au collège, cela devint quelque peu différent. Elle, elle trainait avec les gens populaires, regardait parfois les gens de haut – ce qui ne manquait pas de m’énerver d’ailleurs – et avec sa bouille d’ange, était du genre à être le chouchou des profs. Moi, j’étais avec mes amis impopulaires, faisant coups sur coups aux surveillants et travaillant pour avoir les meilleures notes. Mais à la maison, notre lien était exactement comme avant. Oui, je pense qu’à l’époque, je faisais un peu tâche sur le tableau à l’école. Comment une fille aussi belle et populaire pouvait-elle suivre sa sœur limite rebelle et invisible aux yeux de tous ? Mais cela ne me dérangeait pas plus que ça. Tant qu’elle restait elle-même à la maison, tout allait pour le mieux.
C’est quand j’arrivai au lycée que tout devint, comment dire, plus compliqué. Vous voyez, à part ma sœur, les gens de « l’élite » me répugnaient. Ces gens qui se croient supérieur parce qu’ils ont une belle voiture, qui se croyaient tout permis, je ne les supportais pas. Surtout l’un d’entre eux. Luke Aaron Anderson. Lui, c’est le riche par excellence. Depuis l’école primaire je ne peux le supporter, et encore à présent. Toujours à nous lancer des piques – quand il a conscience de mon existence du moins – être amis nous semble aux limites du possible. Pourquoi le destin est-il aussi cruel ? Pourquoi a-t-il fallu que ma petite sœur tombe amoureuse de lui depuis le collège ? Ca, je n’aurai sans doute jamais la réponse, ou peut-être sur mon lit de mort. C’est l’un des aspects les plus désagréables de ma situation. Attendez de voir la suite.
Charleston, 2009. Maybee soupira. Assise à son bureau, presque endormie, elle remerciait le ciel que sa journée de travail se soit enfin terminée pour de bon. Elle ne savait pas ce qu’avaient les femmes aujourd’hui, mais c’était un réel troupeau qui était arrivé durant toute l’après-midi, lui demandant des conseils à droite et à gauche, elle qui est censé tout savoir sur le maquillage et soins du visage. Le temps était devenu interminable et les clientes s’agglutinaient de plus en plus au fil des heures. A présent, elle n’aspirait qu’à une seule chose : regarder des DVD toute la soirée en mangeant toute sorte de produits tous plus sucrés les uns que les autres. Tant pis pour sa ligne. Elle se leva, s’étira longuement pour ensuite se diriger à pas lourd vers sa cuisine, attrapa une cuillère et fouilla dans le congélateur les seuls personnes sur cette pauvre terre qui la comprenaient vraiment : Ben et Jerry et leurs célèbres glaces. Ayant eut ce qu’elle désirait, elle se rendit dans son salon, alluma la télé et ouvrit son pot de glace, saveur pâte à cookie. Ce n’était pas son préféré – étant chocolat et noix de macadamia – mais cela suffisait amplement à la réconforter d’une longue journée telle que celle qu’elle venait de vivre. Elle mit une chaine de télévision au hasard et tomba sur la série « FRIENDS ». Pourquoi pas. Au moins, elle était certaine de rigoler un bon coup.
Le pot de glace était à présent à moitié plein quand Maybee entendit la porte de l’appartement s’ouvrir, et le rire de sa sœur combla le silence qui régnait dans l’entrée. La brunette ne put s’empêcher de sourire, un large sourire franc et enchanté d’avoir l’occasion de pouvoir passer la soirée avec sa sœur. Ce dont elle ne se rendit pas tout de suite compte, c’était qu’il y avait d’autres bruits de pas que les talons de sa sœur. N’ayant pas fait attention, elle continua de regarder Joey et Chandler faire les abrutis comme à leur habitudes. Soudain, sa sœur apparu à l’entrée du salon, et sa joie du jour surpris Maybee. Non qu’en temps normal elle ne soit presque dépressive, mais c’est que normalement elle ne dégage pas une telle bonne humeur. Bientôt, elle allait comprendre. En la voyant, la jeune fille s’arrêta net, son sourire s’effaçant quelque peu dut à la surprise de voir sa sœur déjà rentrée, puis elle retrouva ce sourire, comme si quelque chose d’exceptionnel était arrivé durant sa journée. Elle semblait même amusée par la situation. Et pour cause.
« Je ne m’attendais pas du tout à te voir ici », avoua-t-elle, toujours ce sourire amusé collé aux lèvres. « C’est l’impression que ça donnait. Mais qu’est-ce qui t’arrives ? On dirait que la chance t’a sourit et que tu as gagné à la loterie ! » « C’est bien mieux que ça. »
Elle se tourna derrière elle, comme pour vérifier que ce qu’elle avait à ses côté ne c’était pas évanoui dans la nature, puis se tourna à nouveau vers Maybee.
« Bon, je pensais que ça allait se passer autrement, mais ce n’est pas grave après tout. Maybee… J’ai un petit ami. »
L’envie de Maybee de lui répondre « encore ?! » lui vint à l’esprit et failli jaillir de ses lèvres, mais elle se retint au dernier moment, ne voulant absolument pas vexer sa sœur. Elle se contenta donc de sourire, espérant que cette fois ci sera la bonne pour elle. Mais son sourire s’effaça bien vite lorsqu’elle vit qui était cet inconnu qui était censé la rendre heureuse. La chevelure est la première chose qu’elle reconnu. Puis, son regard descendit vers le visage du jeune homme, et là, elle n’en cru pas ses yeux. Lui aussi semblait amusé par la réaction de la brunette. Luke Aaron Anderson se tenait à côté de sa sœur. « Ben merde alors… »
« Maybee, je te présente… » « Nous nous connaissons déjà », la coupa Luke. « Malheureusement. »
Elle souhaita se réveiller. C’est vrai quoi, cette journée de travail ne pouvait être réel, tellement les clientes étaient nombreuses. Cette situation ne pouvait être vraie. Impossible. Mais bien vite elle se rendit compte que la fraicheur que lui procurait le pot Ben & Jerry’s, posé sur sa cuisse, ne pouvait être un élément de son imagination. Ou alors elle était terriblement… réelle.
Charleston, 2010. tally youngblood dit : mais qu’il me tape sur le système ! justme dit : qui ça ? tally youngblood dit : mais le copain de ma sœur ! Je ne peux vraiment plus le supporter ! justme dit : respire. Respire. Pas encore de meurtre aujourd’hui, reste zeeeeen. tally youngblood dit : LOL tes conseils sont vraiment sages x) justme dit : oh mais je sais (h) J’en ai plein d’autres encore. Genre « la bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe » ! tally youngblood dit : je suis quoi moi ? Le crapaud ? :p justme dit : idiote >< tally youngblood dit : oh mais moi aussi je t’aime, si tu savais :’) justme dit : c’est ça, essayes de te rattraper comme tu peux u___u tally youngblood dit : (a) justme dit : ah, ma copine veut qu’on aille au cinéma :( tally youngblood dit : naaaaaaaaaan, que vais-je faire moi sans toi moi ? :( justme dit : je te promet que je reviens après, promis promis promis <3 tally youngblood dit : tu as intérêt à ramener tes fesses alors hein ! :p justme dit : pas de soucis, MA COLOMBE :p Bisous <3 tally youngblood dit : okii à plus tard <3
Maybee regarda l’icône de « justme » s’effacer progressivement, signe qu’il se déconnectait. Elle soupira. Pourquoi le seul garçon avec qui elle s’entend très bien était-il déjà prit ? Elle se déconnecta à son tour de msn, puis sortit de sa chambre.
« Maybee ! »
Elle se retourna, et vit sa sœur prête à partir venir vers elle.
« Je sors ce soir, ça te pose pas de problème ? » « Pourquoi ça m’en poserai un aujourd’hui ? » « Je ne sais pas. Au fait, je t’entendais rire jusque dans la salle de bain. Tu étais avec « justme » ? » « Oui. » « Et pourquoi tu es ici alors ? » « Il est partit avec sa copine. » « Oh… »
Sa petite sœur se rendit compte qu’elle avait fait une petite boulette. Mais la brunette ne pouvait lui en vouloir.
« Dis lui un de ces quatre. » « Alors là tu rêves. »
Elle se dirigea vers la cuisine, et comme un automatisme attrapa un bol pour le remplir de lait et de céréales au chocolat. Sa sœur l’avait suivit tout en agrippant son sac.
« Ca ne peut te faire que tu bien. C’est ce qui est arrivé avec Lu… enfin, tu sais qui. » « Oui mais toi tu étais certaine de ton coup. »
L’intéressée roula des yeux, puis regarda l’heure accroché au dessus du réfrigérateur.
« Ecoutes je me serais bien lancée dans une discussion philosophique avec toi, mais je commence à être vraiment en retard. On reparlera de ça plus tard. »
Elle se dirigea vers sa sœur, et l’embrassa sur la joue. L’odeur de vanille et de noix de coco qu’elle dégageait fit du bien à Maybee, et elle la regarda partir vers la porte. Cette dernière s’ouvrit, et se referma tout de suite après. Bon, programme de ce soir : plateau télé devant « Life Unexpected ». Ainsi, elle pourra réfléchir pleinement sur l’amour qu’elle ressent pour ce garçon qu’elle a rencontré sur internet, dont elle ne connait ni l’identité, ni le visage, mais dont elle sait qu’il a déjà une petite amie. Elle perdra de toute manière. Pourquoi s’accrocher comme à une bouée de sauvetage ? C’est peut-être ça, l’amour. S’accrocher pendant qu’il y a encore de l’espoir.
Dernière édition par Maybee B. Cassidy le Lun 14 Juin - 18:23, édité 19 fois
Maybee B. Cassidy
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♦ âge du perso : 21 ans ♦ fonction : vendeuse en produit cosmétique ♦ situation amoureuse : célibataire
Tu sais quoi ? Je dors tout le temps avec mon doudou, même si c’est démodé. Ouai, c’est mon vilain secret, j’en ai pas honte… Mais et toi, t’as bien un secret, non ? T’inquiète pas, je le repérerais à personne. Ta réponse : Tu veux vraiment savoir ? « Oui ! » D'accord. Alors voilà, tu te souviens de la salle de chimie qui a prit feu au lycée ? « Hum... oui. » Et bien c'est moi qui a mit le feu. Un sale pari comme les autres qui s'est transformé en carnage. En fait, mes amis de l'époque avaient pariés que je ne serais pas capable d'aller dans la salle de classe et de tout mélanger les produits. Tu me connais, faut pas me le dire deux fois. Bon, mes rares connaissances dans cette matière m'ont comme qui dirait sauvé la vie puisque j'ai bien éviter tout les produits toxiques trop dangereux. Mais ces connaissances ne m'ont pas permis d'éviter de mélange deux produits qu'il ne fallait pas. J'ai juste eu le temps de fuir la salle avant que ça ne prenne totalement feu. Certains disent même qu'il y a eu une explosion, mais je ne pense pas que ça soit arrivé. Mes amis et moi avons juré de ne rien dire à personne, et on retrouva jamais le réel coupable. L'administration avait conclue que le professeur avait fait une maladresse, mais il fut tout de même sanctionné. Fort heureusement, c'était lors de ma dernière année de lycée et les grandes vacances approchaient à grands pas... Je te préviens, ne répète ça à personne, compris ?!
Tu ne devinera jamais, qui est mon super-héros ? Batman ? Nah. Winnie ? Mais t’es nul. Dis dis, tu veux le savoir ? Et ben enfaite, tu vois, le super-héros que je vénère c’est… Mickael Jackson. Quoi, c’est pas un super-héro ? Bien sur que si - c’est le roi de la pop, je te signale -. Pff, t’es vraiment naze mec’. Si tu ose te croire plus intelligent que moi, éclaire moi ma lanterne, et dis-moi, qui a toujours été ton modèle * pff, m’en fiche, le mien est le plus redoutable, de tous * Ta réponse : Mes parents. Non, je rigole. En fait, il n'y a pas vraiment de personnes que j'admire... Peut-être ceux qui sont atteint d'une maladie grave, du genre cancer ou autres, et qui arrivent pourtant à tenir bon et vivre leur vie comme ils le peuvent. Il a aussi tout ceux qui sont différents de la "norme". Homosexuels, obèses, petits etc. Je les trouve vraiment courageux de s'afficher tel qu'ils sont, tel qu'ils veulent être. Je ne sais pas si moi j'aurais ce courage si un jour tout basculait. Je trouve qu'eux, sont vraiment des super-héros.
J’ai toujours été le modèle de tout le monde. Si si, je t’assure - ne sois pas jaloux, ca ne te va pas bien -, quoique. J’ai toujours été entouré de gens cool, aussi intelligent et sportif que moi. On étais toujours invité aux fêtes - montrant par là, qu’on était des gens cool - et on buvais, buvais beaucoup de l’alcool. Tu veux savoir quel alcool, je consommais ? Le cidre… QUOI ? Bien sur, que si y a beaucoup d’alcool dedans… a ouai ? Dis-moi quel genre de personne que tu es et quel boisson alcoolisé que tu raffole, si tu l’ose * pff, comme si, le cidre n’avait pas d’alcool dedans * Ta réponse : Enfin tu peux dire ce que tu veux, le cidre n'arriverait même pas à rendre quelqu'un qui ne tient pas du tout l'alcool bourré, même après des dizaines de verres. « Bon, répond à ma question ! » D'accord d'accord t'énerve pas ! Bon... quel genre de personne je suis... ben déjà pas comme toi. Moi tu vois, je profite de la vie comme elle vient, et non en me retrouvant à toute les fêtes les plus populaires. Je suis plutôt du genre fan des soirées cinéma ou télévisé avec mes amis les plus proches. « Donc tu es loin d'être populaire ? » Exactement. Et puis, je trouve que le résultat de ce genre de fêtes à laquelle tu participes n'est pas vraiment beau à voir. Enfin après c'est mon avis. Je suis aussi une personne très franche, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds sans rien dire et très, mais alors très très rancunière. Tu as fait quelque chose dans le seul but de me blesser ? Je ne l'oublierai pas de si tôt, c'est moi qui te le dit. Comme tu as pu le voir, je suis également le genre de filles qui relève tout les défis, tant que ça ne touche pas à ma sœur. Protectrice ? Oh que oui, je le suis. Je crois que ça me perdra un jour d'ailleurs. « Et tes soirées alors ? » Si jamais mes amis ne sont pas disponible, alors je me regarde soit un bon film - plutôt comédie ou comédie romantique - ou quelques épisodes d'une de mes séries favorites. Ou si je sais vraiment pas quoi regarder, alors je regarde des dessins animés. Quand je suis triste par contre, j'ai la fâcheuse habitude de m'enfoncer encore plus dans la déprime en regarde « A walk to remember ». Par contre, je refuserai de voir un ami le regarder, car ça signifierait qu'il est déprimé, et je déteste ça. Je ferai tout pour lui remonter le moral, quitte à me payer la pire honte de ma vie pour le voir sourire. Oui, je suis une amie dévouée et prête à tout pour rendre mes amis heureux. Confidente, je garde tout les secrets, les plus beaux comme les plus affreux, et je suis toujours là pour épauler mes amis en cas de problèmes. « Bon... et ton alcool favoris ? » Je ne suis pas du genre à boire que de l'alcool toute la journée - bonjour la gueule de bois après, et connaissant ça j'ai rarement envie de l'avoir à nouveau - mais je dois avouer que j'ai un petit faible pour un bon cocktail alcoolisé au fruit de la passion. « Attends, comment ça "connaissant ça" ? » Tu crois vraiment que dans mon adolescence j'étais du genre à passer mes soirées à faire du tricot ? Oui, j'ai eu une période rebelle où je fumais et je buvais à volonté. Mais dans mes propres soirées, avec mes amis et quelques invités si ils le voulaient. Je ne me suis jamais retrouvé avec une centaine de personnes chez moi, mais c'était tout comme, il y avait même plus d'alcool pour nous. « Je pensais vraiment pas ça de toi. » Il y a des tas de choses que tu ne sais pas sur moi. Bon, tu as fini avec ton interrogatoire ? Non parce que là je dois y aller. « Hum... non j'ai plus de question. » Parfait, bon à plus !
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Prénom , pseudo ; Aline / mag' Age ; 17 ans Où avez-vous connu le forum ; Par Isobel <3 Remarques ; Le forum est supermégagénialdelamortquitue <3 Niveau activité et rp ; Vu que les examens approchent, je ne serai pas très présente la semaine prochaine et celle d'après, mais après je pense que je serai ici régulièrement (: Code du règlement ; OK by kassy.
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Dernière édition par Maybee B. Cassidy le Lun 14 Juin - 18:10, édité 19 fois
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Sujet: Maybee Brooklynn Cassidy • 
Lun 14 Juin - 14:02
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Ta réponse : Tu veux vraiment savoir ? « Oui ! » D'accord. Alors voilà, tu te souviens de la salle de chimie qui a prit feu au lycée ? « Hum... oui. » Et bien c'est moi qui a mit le feu. Un sale pari comme les autres qui s'est transformé en carnage. En fait, mes amis de l'époque avaient pariés que je ne serais pas capable d'aller dans la salle de classe et de tout mélanger les produits. Tu me connais, faut pas me le dire deux fois. Bon, mes rares connaissances dans cette matière m'ont comme qui dirait sauvé la vie puisque j'ai bien éviter tout les produits toxiques trop dangereux. Mais ces connaissances ne m'ont pas permis d'éviter de mélange deux produits qu'il ne fallait pas. J'ai juste eu le temps de fuir la salle avant que ça ne prenne totalement feu. Certains disent même qu'il y a eu une explosion, mais je ne pense pas que ça soit arrivé. Mes amis et moi avons juré de ne rien dire à personne, et on retrouva jamais le réel coupable. L'administration avait conclue que le professeur avait fait une maladresse, mais il fut tout de même sanctionné. Fort heureusement, c'était lors de ma dernière année de lycée et les grandes vacances approchaient à grands pas... Je te préviens, ne répète ça à personne, compris ?!
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