Zephyr P. Ainsworth
♣ posts : 18 ♣ here since : 14/06/2010
♦ âge du perso : 22 ans. ♦ fonction : Etudiante en sciences - expressions corporelles. ♦ situation amoureuse : Célibataire.
| Sujet: Zephyr Persephonia Ainsworth ♦ U . C Lun 14 Juin - 0:21 | |
| ▬ ZEPHYR PERSEPHONIA ANISWORTH © XOXO. Sors ta carte d’identité ... Age ; 22 ans. Groupe ; Whisky Coca. Métier ; Étudiante en sciences - expressions corporelles & serveuse. Qualités - défauts ; Inventive, intelligente, réfléchie, observatrice, perspicace, minutieuse, franche, attentive, calme, classieuse, détachée, discrète, fine d'esprit, plus sensible qu'elle ne le laisse paraitre, fonceuse, déterminée, bornée ▬ Mystérieuse, sombre, lunatique, contradictoire, versatile, glaciale et torride à la fois, joueuse, lunatique, séductrice, un peu paranoïaque, volage, impassible, méfiante, peu expressive, calculatrice, manipulatrice, impatiente, possessive, jalouse, menaçante (mais n'utilise que très rarement les poings), provocante. Hobbies ; Sorties. Shopping. Violon. Cinéma. Nature. Rencontres. Modélisme. Dessin. Situation familiale ; Célibataire. Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle. Avatar ; Amber Heard. C'est la mienne, c'est mon histoire ... © Microwave. Un pièce close. Une méridienne. Une femme qu'elle ne connaissait pas. Des poissons rouges. Et le tic tac incessant d'une horloge trop proche. Le décor était planté. Qu'allait-il se passer exactement, ça, elle n'en avait aucune idée, mais elle priait pour que tout ceci prenne fin rapidement. Sous le choc, elle était sous le choc. Traumatisée. Des images des évènements précédents lui revenaient en tête comme un long cauchemar qui durerait un peu trop longtemps. Après un silence de quelques minutes, une voix calme résonna dans la pièce « Zephyr, je sais que tu n'as pas envie de parler, mais pourtant tu vas devoir me raconter ce qu'il s'est passé ce soir... ». Ce qu'il c'était passé... Elle aurait pu lui parler de tout sauf de ça. Elle ne voulait pas. Elle ne pouvait pas. Elle n'avait simplement pas le droit. Les larmes couraient sur ses joues comme la colère bouillonnait dans ses veines. Rage. Elle éprouvait de la rage, autant que de la peine. « Écoute... Tu ne peux pas garder un tel secret pour toi... Tu n'as que douze ans, tu ne pourras pas vivre toute ta vie dans le silence, ce n'est pas ce qu'aurait voulu ta mère... »... La colère planait au dessus de la fillette comme un gros nuage noir qui ne tarderait pas à gronder, hurler, crier, jusqu'à s'époumoner. Ses poings se serrèrent et son regard s'assombrit. Elle ne pouvait elle-même mettre un nom sur le sentiment exact qu'elle éprouvait. « Je vous interdis de parler de ma mère !! Vous entendez ?!! Elle est morte pas sa faute ! C'est lui qui l'a tuée ! ». Fuir. Elle voulait s'en aller de toutes ses forces, mais pour aller où ? Pour le moment elle n'en avait aucune idée, tout ce qu'elle savait, c'est qu'elle aurait probablement une nouvelle famille une fois l'enquête terminée. Elle n'en voulait pas, elle ne voulait pas revivre tout ça. La femme s'approcha de la fillette, lui prit doucement les mains dans le but de la rassurer « Je sais que tu es en colère et que tu éprouves aussi de la tristesse, tu en as tout à fait le droit, tout ce que je eux savoir c'est... Pourquoi ? Pourquoi est-ce que tu sembles tant détester ton père ? J'ai besoin que tu me le dise, je n'irais pas le répéter, je veux juste que tu m'expliques, pour que je comprenne... Aide-moi s'il te plait... ». Un profond soupir se fit entendre, marquant ainsi une lassitude certaine. « C'est trop dur à dire... Ça fait trop mal... ». Mal. Un mal psychologie plus que physique. « Mal ? Ton père t'a violenté ? ». La jeune fille tourna la tête, comme pour ne pas avoir à répondre, elle n'avait pas le droit d'en parler, il le lui avait interdit. « Apparemment oui... Est-ce qu'il t'a fait autre chose ? ». Elle se mordilla la lèvre inférieur, les yeux fermement clos, et sa bouche, amère, ne semblait toujours pas décidée à avouer. « Je vois... Tu sais, tu aurais pu appeler la police bien plus tôt, ils t'auraient trouvé une meilleure famille, tu aurais pu être heureuse, et peut être même que tu aurais eu des frères et sœurs... Mais maintenant, tu es toute seule... Toute seule avec ton secret... ». Le poids des mots se faisait sentir, elle commençait à flancher. Les larmes redoublaient d'intensité tandis qu'elle était prise de tremblements du aux sanglots. Puis finalement, sa langue se délia « Il buvait... Quand il rentrait le soir, il venait dans ma chambre et... il m'obligeait à faire des choses, et.... il me frappait parfois... Je lui disait que je ne voulais pas, mais il s'en fichait, il mettait une main sur ma bouche pour que je me taise et il continuait... Alors ce soir... J'ai voulu que ça arrête... J'étais au salon et puis il est arrivé... Il sentait l'alcool. Il s'est approché de moi, j'ai prit le chandelier et je l'ai cogné avec... Je ne savais pas que ça allait le tuer ! Même si... je l'ai souhaité... Docteur, est-ce que ça fait de moi un monstre ? ». Elle s'effondra en larmes. La femme, aussi étonnée que consternée, s'approcha de la fillette et la prise dans ses bras, chuchotant « C'est finit maintenant, c'est finit... Merci Zephyr... Tout ira bien maintenant... On se reverra dans dix ans... »... © Microwave.NEUF ANS PLUS TARD Les années avaient passé, de l'eau aussi sous les ponts. Zephyr avait bien grandit depuis sa dernière visite chez le docteur Foster. Elle n'allait jamais chez le psychologue outre mesure. Dix ans. Le docteur Foster était affiliée à l'état, elle ne faisait de psychothérapie (sauf dans le cas présent), juste des analyses sur les cas qu'on lui envoyait. Sa clientèle se composait essentiellement de "cas juridiques". Des époux qui voulaient divorcer chez qui il fallait vérifier la crédibilité de la demande, afin par exemple d'éviter les arnaques au fics. Des enfants qu'on voulait placer en famille d'accueil, envoyé a son cabinet par une assistante sociale, et bien d'autres. Zephyr avait donc fait partie de la seconde catégorie. Ce même divan, cette même personne. Tout était identique, inchangé. Quelques bonjour plus tard, la conversation s'engagea. « Que fais-tu maintenant Zephyr ? As-tu un emplois ? De la famille ? Des amis ? » La jeune femme affichait une expression complètement neutre, qui pouvait passer pour de l'ennui, du désintéressement. « Cela fait beaucoup de questions en une. Et bien...Je fais des études de science, sur les expressions corporelles et je travaille aussi dans un pub, pour arrondir mes fins de mois. C'est provisoire évidemment. J'ai été placée dans une bonne famille, sauf qu'ils ont toujours eu peur de moi... J'ai un "frère" aussi, nous nous entendons plutôt bien. Quand aux amis, je ne cherche pas tellement à en avoir, je n'aime pas les hypocrites. Les garçons sont faux, faibles, mais étrangement, je les aime, ils sont simple à comprendre, faciles, j'aime m'amuser avec, les manipuler, car je sais qu'ils aiment mon corps, qu'ils le désirent,mais ils ne sont pas à blâmer, ils ne peuvent juste pas lutter contre... et les filles sont d'une idiotie incommensurable. Vous aurez donc remarqué que, depuis notre première et dernière rencontre, j'ai quelque peu changé... ». La jeune femme croisa les jambes et joua délicatement avec une mèche de cheveux, tout en regardant la psychologue dont la stupéfaction était très clairement lisible. « Quoi ? Je vous choque docteur ? Allons, vous ne vous imaginiez tout de même pas que j'étais devenu une sainte... ». Son interlocutrice s'éclaircit la gorge « Et bien... Je ne m'attendais pas à cela... Je dois t'avouer que je n'imaginais pas que tu prendrais une telle direction, du moins je l'espérais. J'espérais que tu ne deviendrais pas comme ton père, que tu essaierais d'être même tout son contraire, mais il faut croire que les chiens ne font pas des chats... Mais dis-moi, l'amour dans tout ça, est-ce que tu fréquentes quelqu'un... ? ». Quelle question... « On peut dire ça... Je fréquente la gente masculine, mais je me lasse de toujours voir les même têtes... ». Ou comment ne pas paraitre vulgaire... « Je vois... Et, est-ce que tu es heureuse au moins, avec ton nouveau mode de fonctionnement ? ». La déception se lisait sur le visage de la femme, Zephyr n'avait pas été à la hauteur des espérances du docteur, elle le savait, seulement, cela n'avait aucune importance pour elle car après tout, elle ne se connaissaient pas. « Heureuse ? Je n'ai jamais vraiment été heureuse, et je ne le serais peut-être jamais, je m'y suis habituée maintenant. Je ne cours pas après le bonheur, j'attends qu'il me rattrape, s'il en est encore capable... ».Cette phrase sonnait comme un souhait, mais c'était seulement la partie visible d'un mince et hypothétique espoir. « Bien j'espère que tu rencontreras le bonheur un jour Zephyr, c'est tout le mal que je te souhaite... Je crois que nous avons à peu près fait le tour, pour ma part du moins. Si tu as autre chose dont tu voudrais me faire part, je suis à ton écoute. ». La blondinette dodelina de droite a gauche en guise de réponse. Non. Rien. Elle n'avait rien à ajouter. « Bien, je crois que nous en avons fini, n'hésite pas à me contacter si jamais tu as besoin de parler à quelqu'un... ». Une carte de visite et des au revoir plus tard, la jeune femme s'évapora dans la nature, telle un fantôme, sans avoir jamais à faire demi-tour, du moins, elle l'espérait...
C'est tout moi ça ...
Tu sais quoi ? Je dors tout le temps avec mon doudou, même si c’est démodé. Ouai, c’est mon vilain secret, j’en ai pas honte… Mais et toi, t’as bien un secret, non ? T’inquiète pas, je le repérerais à personne. Un secret ? Pourquoi partagerais-je mes secrets alors que par définition, il sont miens ? Bon bon. J'ai eu quelques ennuis avec mon père étant enfant... Ça remonte à loin, d'ailleurs je ne sais pas pourquoi j'en parle étant donné que c'est une partie tabou de ma vie. Et euh... Je suis insectophobe. Je n'y peux rien, mon corps s'affole à la vue d'une chenille ou d'une abeille. J'ignore d'où me vient cette "pathologie", mais je suis incapable de lutter contre... Sinon, je fume et bois de façon conséquente, pour la cigarette, c'est simplement le résultat d'un essai étant adolescente, je n'arrive pas à arrêter depuis, d'ailleurs je n'en ai pas la volonté très sincèrement. Quand à l'alcool... C'est le meilleur remède que j'ai trouvé à mes idées sombres. Qu'on se mette d'accord, je ne suis aucunement suicidaire, seulement... Je replonge trop facilement dans le passé... Enfin bref vous m'emmerdez avec vos questions...
Tu ne devinera jamais, qui est mon super-héros ? Batman ? Nah. Winnie ? Mais t’es nul. Dis dis, tu veux le savoir ? Et ben enfaite, tu vois, le super-héros que je vénère c’est… Mickael Jackson. Quoi, c’est pas un super-héro ? Bien sur que si - c’est le roi de la pop, je te signale -. Pff, t’es vraiment naze mec’. Si tu ose te croire plus intelligent que moi, éclaire moi ma lanterne, et dis-moi, qui a toujours été ton modèle * pff, m’en fiche, le mien est le plus redoutable, de tous * Mon model ? Me limiter à un seul serait pour moi impossible, déja parce que je suis incapable de dire lequel je préfère, mais aussi parce que je ne veux pas de faire de jalousie entre-eux... *débloque*. J'aime Sid Vicious pour son insouciance, le fait qu'il ait été complètement libre, sans règles pour venir lui barrer la route, bien qu'il ait eut un passé plutôt difficile. J'aime aussi Norma Jean (Marilyn Monroe), Pour son glamour, son décalage vis-à-vis des icones de sa génération, c'était une personnalité atypique, à tous les niveaux. Enfin, Baudelaire, cet écrivain dont les poèmes, les lignes, me troublent tant j'ai parfois l'impression qu'elles me sont destinées...
J’ai toujours été le modèle de tout le monde. Si si, je t’assure - ne sois pas jaloux, ca ne te va pas bien -, quoique. J’ai toujours été entouré de gens cool, aussi intelligent et sportif que moi. On étais toujours invité aux fêtes - montrant par là, qu’on était des gens cool - et on buvais, buvais beaucoup de l’alcool. Tu veux savoir quel alcool, je consommais ? Le cidre… QUOI ? Bien sur, que si y a beaucoup d’alcool dedans… a ouai ? Dis-moi quel genre de personne que tu es et quel boisson alcoolisé que tu raffole, si tu l’ose * pff, comme si, le cidre n’avait pas d’alcool dedans * Du cidre ? Chacun ses goûts. Je suis souvent invitée ici et là, mais je refuses pas mal d'occasions. Il faut que la personne qui m'invite m'intéresse un minimum pour que j'y aille, que le bar soit fourni, et qu'il n'y pas que des crétins bons à rien. A ces conditions, ma venue est envisageable. Je ne nie pas avoir quelques penchants alcooliques, d'ailleurs, je l'ai déjà évoqué il n'y a pas si longtemps que ça, de fait, aller à une fête où foisonnent Mister Coktail, jus de fruits et autres sirop ne me ressemble absolument pas. Quelle mascarade. Ce que je bois ? Oh à vrai dire, du moment que c'est fort, je m'en fiche, surtout si le verre m'est offert...
Mon vrai visage ... Prénom , pseudo ; Izzy Age ; Nineteen. Où avez-vous connu le forum ; Ulysse (L). Remarques ; Nope =O. Niveau activité et rp ; 7/7 niveau connexion, mais je ne poste pas à chaque fois. Code du règlement ; Le génie existe ?
Tous droits réservés. Modèle by Pauline&Morgane.
Dernière édition par Zephyr P. Ainsworth le Mar 15 Juin - 18:20, édité 23 fois |
|