• Aphrodisia&Edward ▬ « Le fast-food a du bon, finalement. »
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S. Aphrodisia Jeckins
admin' ♠ ▬ « Et le lion s'éprit de l'agneau … »
♣ posts : 590 ♣ âge : 32 ♣ here since : 02/06/2010
♦ âge du perso : 24,5 year old ♦ fonction : Chirurgienne interne section plastique - mère de Caelan. ♦ situation amoureuse : En procédure de divorce avec Connor - contre son gré -
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Sujet: • Aphrodisia&Edward ▬ « Le fast-food a du bon, finalement. » Lun 14 Juin - 22:42
UNE DISPUTE GASTRONOMIQUE … ___________________
SI IL Y A BIEN UNE CHOSE DONT ON EST D‘ACCORD TOUT LES DEUX, C‘EST QU‘ON PEUT PAS S‘ENCADRER. ET POURTANT, POURQUOI AI-JE CETTE IMPRESSION DE TE CONNAÎTRE SUR LE BOUT DES DOIGTS ?
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Avez-vous déjà réaliser que le monde où vous viviez depuis des années, pourrait d’une seconde à un autre, basculer ? Un monde où vous avez fait une place, après des années d’essai et de combat, pour finalement revenir a la situation de départ. Vraiment exaspérant, vraiment triste. Cela, peu de monde avait vécut ou vit cela, et bon nombre de personnes les jalousaient pour avoir une vie si simple. Une vie simple, banale mais qui aurait fait rêver plus d’un, a commencer par Aphrodisia Jeckins, qui voyait son monde qu’elle avait construite en partant de rien - sans parler de l’argent de ses parents - s’écrouler a chaque seconde, qu’elle respirait. Seule elle, voyait la chose comme cela, gardant pour elle, les raisons qui poussa son monde a la faire souffrir… à l’a anéantir. Chaque seconde compte dit-on, et croyez le ou non, Aphrodisia le savait mieux que quiconque, même si elle n’était pas atteinte d’une quelconque maladie dangereuse - ou elle aurait d’ailleurs préférer attraper un cancer, que de vivre ce qu’elle vit depuis deux semaines déjà -.
Et c’est le plus naturellement du monde, qu’elle vit le soleil se coucher laissant place à sa rivale, qu’est la nuit, fermant les yeux sur un monde, qui la chassait de son trône si durement acquis. Trône qu’elle aurait préféré donnée et remplacer par une vie simple et heureuse. Mais on sait tous une chose : une vie simple et heureuse, ne faisait pas partie du contexte, qu’était la vie d’Aphrodisia Jeckins, héritière de sa famille, et complétement chamboulée par les évènements qu’ils venaient et entraient chez elle, comme une porte ouverte.
MANOIR JECKINS » 7h25 du matin
Une nouvelle journée commençait, dans la petite ville américaine et pourtant chaleureuse qu’était Charleston. Ses habitants pouvaient entendre les oiseaux chantées, faisant signe d’un magnifique temps dans les heures à venir. Certains étaient déjà en route au boulot, maudissant leur patron de leur avait donner un temps emploi du temps, et jalousant les personnes qui n’étaient pas sortie de la couette. On pouvait voir des boutiques s’ouvrir, et ce n’étaient pas rare, de voir des femmes chercher leur pain frais, pour un futur déjeuné. Tout le monde étaient à ses occupés, et comme tout adulte qui se respectent, Aphrodisia Jeckins, ouvraient les yeux. Yeux qui se posèrent sur le plafond, unique chose qu’elle regardaient depuis deux semaines. Un simple regard vers la gauche, lui confirma une chose : elle n’avait pas rêver, Connor et elle allait divorcer. Fermant les yeux, et essayant en vain de chasser les pensées noires, un fin soupire franchisa ses douces lèvres. Quiconque la voyait, auraient juré qu’elle dormait dans un profond sommeil, faisant montrer un visage calme et de toute trace de sarcasme. Un léger bruit brisa la situation ensorcelante qui se passait dans la chambre de l’adulte, quittant son fin repos pour ouvrir les yeux sur son monde. Un monde qu’elle auraient temps aimer revenir en arrière, et changer. Sortant un bras de sa couette de soie, elle le posa sur le réveil qui venait de sonner, faisant clairement comprendre que c’était l’heure de se lever. C’était une chose nouvelle : se réveiller dix minutes avant l’heure qu’elle devait se lever. Grimaçant contre le froid qu’elle avait habitude de ressentir depuis deux semaines, elle quitta ses couettes partant d’un pas léger vers la pièce qui se trouvait être la salle de bain. Il lui fallut un quart d’heure pour se laver, où elle ressortit habiller de son peignoir, partant chercher quelconque vêtement qui feront affaire. Jetant un regard vers le réveil, elle ferma le dernier bouton de son haut, avant de partir d’un pas gracieux vers la chambre de sa fille, ayant l’intention de se réveiller. C’était toujours comme ca. Elle était la première réveillée, s’en suivit de Caelan et de Connor. Rien n’avait changer dans leur habitudes, où elle appréciait cela, même si elle aurait préférée se réveiller au côté de son époux - futur ex-époux - que de se réveiller dans une chambre vide, de vie et de souvenir.
Quelque minutes plus tard, un sourire franchit ses lèvres - sourire qu’elle ne quittait pas depuis deux semaines, ne voulant pas que sa fille s’inquiète pour quelque chose et pour lui montrer que tout allait bien, malgré le divorce qui se faisait petit a petit entre Connor et elle -. Fermant le placard, elle posa le petit déjeuné sur table, laissant sa main voyager dans la chevelure de sa fille, dans une fine caresse avant de partir s’installer sur sa chaise, ayant l’intention de prendre son petit déjeuné. Petit déjeuné qui n’allait pas duré très longtemps, car elle avait prit l’habitude de partir cinq minutes avant l’entrée de Connor, ne voulant pas se disputer avec, de si bon matin. Une petite voix brisa, le calme qui avait prit place dans la grande cuisine, qu’ils possédait, où ses iris chocolat se posèrent dans celle de sa fille. Fille qui ressemblaient de plus en plus en son père, même si pas mal de monde, aurait juré dire le contraire.
CAELAN — Maman, tu viens toujours me chercher à midi ? Demanda-t-elle avec un fin sourire qui fit passé dans ses yeux, une lueur de tristesse. Sa fille avait le même sourire que Connor, et malheureusement pour elle, elle ne le verra plus jamais. APHRODISIA — Bien sur, et on ira manger à Mc Donald, comme je te l‘avais promis hier. répondit-elle gardant son sourire en coin, que les personnes aimaient tant. Buvant une gorgée de son cappuccino, un fin sourire naquit sur ses lèvres quand sa fille, reprit la parole après avoir avaler une cuillère de ses céréales, qu’elle aimait tant. CAELAN — Car une Jeckins, tien toujours ses promesses . Fière à son âge ? Le portrait cracher de Connor Jeckins, et c’était une de ses raisons, qu’elle vénérait sa fille, plus qu’elle ne se vénérait, elle. APHRODISIA — Tu as tout compris. dit-elle en se levant, lui faisant un de ses vrai sourires, que peu de personne connaissait, avant de partir ranger ses affaires.
Et le plus naturellement du monde, Caelan vit Aphrodisia partir de la cuisine, pour laisser la place à Connor, son père. Marchant d’un pas assurée, A montât les escaliers, cherchant les affaires dont elle avait besoin pour son travail. Attrapant son collier, elle soupira en l’enfilant, le cachant par la fine veste qu’elle avait enfiler, quelque seconde plus tard. Partant de sa chambre, elle partit en direction de l’entrée, embrassant au passage Caelan qui avait l’intention de regarder la télé avant de s’habiller, tradition qu’elle respectait à la lettre près, avant de partir de chez elle, commençant une nouvelle journée de travail. Faite chirurgienne interne section plastique, avait du bon.
HOPITAL » 10h52
Si il y avait bien une chose que les habitants savaient, est que l’hôpital se trouve être l’endroit le plus rythme de Charleston, même si le calme devait y rester maitre. Et c’était vrai, l’hôpital se trouvait être le lieu, qui accueillaient des personnes aux caractères différents, mais ce n’était pas eux, qui faisaient autant de bruit. Si il y avait une journée sans les cliquetis que créait les mines de crayon sur les papiers se faisaient entendre, et ses ordres, ce jour là saurait marquer sur une pierre blanche, tellement les habitants avaient l’habitude de les entendre. Habitude qu’ils avaient apprise depuis quelque années, quand Aphrodisia avait été accepté à l’hôpital, comme chirurgienne interne section plastique où elle deviendra une grande chirurgienne dans les années plus tard. A aimait donner des ordres, surtout depuis que les nouveaux internes avaient été pris, où en tant qu’ancienne chirurgienne, elle était classé comme patronne de ses internes jusqu’à nouvelle ordres. Et cela, croyez le ou non, elle adorait, créant le malheur envers ses internes, même si ils savaient tous, que c’étaient pour leur bien, qu’elle faisait cela. Donc personne ne furent surpris, quand des ordres claquèrent, a même pas onze heures, dans une pièce blanche, entrouverte, faisant entendre envers les patients qui attendaient leur soin.
APHRODISIA — Vous, vous allez en salle 201, pour rendre ce rapport au chirurgien Lockan. Un ordre. Un dossier qui changea de main, avant qu’un interne se rangea dans le groupe des internes, ayant bénit un quelconque sain, d’avoir eu une tache facile. — Allez me chercher de la morphine, pour le patient en chambre 20. Je la veux pour cinq minutes. Deuxième ordre, acquiescement d’une femme qui regardait avec fascination, la femme qui lui avait donner sa charge du jour. — Vous allez en chirurgie pédiatrique, on a besoin de quelqu‘un pour ranimer un père, qui est tombé dans les vannes quand sa femme allait sortir son gamin. Troisième ordre. Acquiescement où l’homme se dit, que la journée commençait très mal. Un simple regard de sa « patronne » lui fit clairement dire, qu’il ne pouvait pas changer avec quelqu’un, pour son plus grand malheur d’ailleurs. — Qu‘est-ce que vous faite encore là ? Regard quelque peu apeuré, une porte.qui s‘ouvre, laissant l‘équipe d‘Aphrodisia Jeckins, partirent presque en courant, dans la direction qu‘elle leur avait donner.
Et tout savaient qui se trouvaient donnant où personne ne furent surpris quand les ordres tombèrent, un a un, créant une course rythmé dans les secondes qui suivirent l’échange. C’était ainsi que l’hôpital était connu, et pas mal de monde aurait bénit leur parents de ne pas leur avoir poussé dans une carrière de chirurgien car avec un patron pareil, mieux valait rester chez soi. Poussant un soupire, Aphrodisia sortit de son bureau, habillé d’une blouse blanche qui lui moulait parfaitement le corps, chassant une mèche qui avait oser barré son visage, regardant d’un œil blessé, ses internes partirent a un quart de tour, vers l’endroit où elle les avaient chassé. Un simple coup d’œil vers la pendule, lui donna leur sourire, et c’est dans un mouvement gracieux, faisant quelque peu tourné sa blouse blanche, qu’A partit vers son patient en chambre 822, pour prendre des nouvelles suite à l’opération qui s’était passé avec succès, la veille au soir. Oui, être chirurgienne interne plastique avait du bon, quelque chose et cela, peu de monde aurait approuvé ses dires.
MC DONALD’S » 12h25
Mc Donald. Le fast-food le plus connu du monde, créer par les frères américain Donald. Ce fast-food était connu pour être le principalement restaurant, où Charleston y allaient, n’ayant pas une grande pause pour manger en famille. Les enfants y allèrent comme si ils avaient reçut LE cadeau qu’ils avaient toujours voulu. Contrairement a eux, les adultes y allaient à contre cœur, même si de voir le sourire de leur enfant, les faisaient moins coupable de leur non joie, d’entrer dans cet endroit. Pas mal de monde auraient été surpris, de constaté que même les grandes personnes - connu pour être très riches - y venaient, mais souvent accompagné d’un enfant. Enfant qui les avaient poussé a y venir, montrant a tous, la manipulation innocente qu’ils avaient. Donc, personne ne furent surpris quand les portes se poussèrent, laissant place à une enfant de sept ans, connu pour être l’enfant DU couple, avec à ses côtés sa mère : Aphrodisia Jeckins. Cette dernière regardait le fast-food d’un mauvais œil, même si elle se plaisait à venir. Si ses parents savaient que leur fille venait manger là, ils auraient eu une crise cardiaque, où elle se promit d’essayer cette stratégie quand elle les verra. Elle, garce ? Pas du tout ou si peu. Sortant de ses pensées, par une main qui tira la sienne, elle suivit sa fille vers l’emplacement où ils devaient prendre leur menu. Menu qui se trouvait être composé de beaucoup de protéines et de gras, mais elle s’en fichait comme sa première chemise.
Ce fut seulement un quart d’heure plus tard, que les deux Jeckins s’installèrent à une table, où elles posèrent leur menu qu’elles avaient choisit. Menu qui se trouvaient être un Happy Meals pour Caelan, et une salade composé pour Aphrodisia. Les deux jeunes femmes eurent un sourire, car c’était rare les moments où A pouvait diner avec sa fille, ayant un emploi du temps très chargé. Et cela, la petite fille le savait très bien, ayant l’habitude de prendre son diner avec son mère Connor. Leur diner se passèrent bien, ponctué par des phrases innocentes, où quiconque les voyaient, savaient directement leur lien car comment ne pas voir l’amour que portait une mère à son enfant, quand elles étaient sous leur nez ?
CAELAN — J‘ai apprit plein de chose aujourd‘hui. Tu savais que les contes avaient vraiment exister, autrefois. C‘est ma maitresse qui me l‘as dit, quand je lui es raconter l‘histoire que tu m‘avait lue hier. Sa fille lui ressemblait beaucoup, mentalement. Ce fut sa première pensée, quand elle écouta sa fille lui raconter sa journée, où elle se rappela qu’elle n’avait jamais eu ce privilège envers ses propres parents. Ce fut sans doute pourquoi, elle aimait ses moments où sa fille lui racontait sa journée et ses nouvelles trouvailles où elle lui répondit avec un sourire, tout en sortant la fourchette de l’emballage, pour la mettre ensuite dans sa salade composé. .APHRODISIA — Je ne savais pas, non. Vous avez parler des contes aujourd‘hui ? Les contes. Une bonne chose pour les enfants, même si elle savait que tôt au tard, sa fille ne les croyait plus. La vie n’était pas un conte, mais Connor et elle, faisait tout pour Caelan vit comme un conte de fée, où ils y arrivèrent, ou presque. CAELAN — Oui et j‘ai dit, à ma maitresse que ton conte préférée c‘était La Belle au bois dormant . Un conte qu’elle avait beaucoup apprécier, surtout quand elle avait faillit mourir. Elle avait toujours vénérer ce conte, où peu de personne savait pourquoi. La raison était simple : elle ne voulait pas mourir. Mais sa surprise était tout autre. APHRODISIA — Qui te l‘a dit ? lui demanda-t-elle après avoir avaler une petite portion de salade. Car sa surprise était bien là :peu de personne savait quel conte elle adorait, enfant où elle ne fut pas surprise quand Caelan s’exclama après avoir manger ses frites et avoir sortit son cadeau qu’elle avait eu. CAELAN — Papa qui me l’a dit, quand je lui est demander quel conte tu aimais . lui répondit-elle avec un sourire teinté d‘innocence où elle sut, qu‘un jour au l‘autre, sa fille fera jalouser d‘envie les autres filles, car comment ne pas être sous le charme de la fille de Connor ? Impossible, car elle-même n‘avait pas résister à ce dernier, malgré les mois de charmes qu‘il lui avait fait. Un jour au l‘autre, elle savait que Caelan demanderais comment son père et elle s‘était rencontrer, où elle se dit, que finalement sa rencontre avec Connor, était digne d‘un conte de fée.
Souriant à sa fille, les minutes s‘écoulèrent lentement dans un silence religieux et teinté d‘amour. Ce fut, seulement dix minutes plus tard, qu‘une des Jeckins se leva où Caelan après avoir dit à sa mère qu‘elle allait s‘amuser avec les autres jeunes de la vie, aux yeux disposé par le fast-food partit, laissant Aphrodisia, seule à sa table, entrain de boire son ice-tea qu‘elle avait commandée. Elle ne sut jamais, qu‘elle ne le finira jamais, étant trop occupée à regarder sa fille s‘amuser, pour voir qu‘une personne qu‘elle connaissait bien, venait en sa direction, pour troublé le silence calme et reposant qu‘elle aimait tant.
Edward J. Lancoln
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Sujet: Re: • Aphrodisia&Edward ▬ « Le fast-food a du bon, finalement. » Mar 15 Juin - 12:56
UNE DISPUTE GASTRONOMIQUE … ___________________
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Je rêve. En ce moment, c'est toujours ce même rêve qui me revient. Je suis là au milieu de nul part et d'un seul coup le visage d'une petite fille m'arrive à la figure. J'ai du mal à me rappeler de ce visage mais il me dit horriblement quelque chose. Un joli minois entouré de cheveux bruns et ondulés qui lui tombent sur les épaules. Son sourire narquois et pourtant si mignon me défit. Et lorsque je tente de la suivre, elle s'en va à toute allure et me laisse tomber dans un trou sans fond. Alors, je me réveille en sursaut, les yeux complètement écarquillés, trempé de chaud. Et cette nuit, ce rêve ne m'a pas épargné. Alors que j'allais me coucher à minuit environ, Atheyna déjà profondément endormie, je commençai à me demander si ce rêve reviendrais me hanté. Et ça n'a pas manqué. Alors que je fermais les yeux, mon cœur se mit à battre la chamade. Mes membres se contractèrent à fond et mon corps se mit à trembler légèrement. Je rêvais de cette douce enfant et puis.. Le trou et enfin, mon sursaut. Je sortis du lit, me dirigea vers la salle de bain où le dégotai un gant que je plongeai sous l'eau froide avant de me le passer sur le visage. Je me regardai dans la glace. Mes yeux étaient minuscules, je manquais horriblement de sommeil. Je revins ensuite doucement dans le lit, tentant de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller ma douce Atheyna.. Et merde.
ATHEYNA - "Edward ? Mais qu'est-ce que tu fais encore de bout à cette heure-ci ?" Me dit-elle encore toute endormie. EDWARD - "Ne t'inquiètes pas chérie, ce n'est rien." Lui répondis-je doucement passant une main sur sa joue. Elle se releva doucement, s'assit dans le lit et me regarda. Je savais très bien que ces yeux me posaient milles et une question. EDWARD - "Je fais des cauchemars en ce moment.. Mais ça va je t'assure." ATHEYNA - "Mon pauvre Edward, allez vient près de moi et essais de te rendormir.."
Nous nous couchâmes donc l'un près de l'autre et je réussis enfin à m'endormir paisiblement. Ce matin en me réveillant, mon premier réflex fut de regarder à côté de moi, afin de voir si Atheyna était encore ici. Bien évidemment non. La demoiselle était bien trop occupée avec sa boîte de mode. Je soupirai puis me levai doucement et me dirigeai vers la salle de bain. C'était mon premier réflex du matin. Me regarder dans une glace et puis me rendre un peu plus potable. Qui a dit que seules les filles aimaient prendre soins d'elles ? Le me fis donc couler un bain brulant puis m'installai, les écouteurs dans les oreilles. L'odeur du bain moussant me relaxant, je m'assoupis. Quand enfin je me réveillai, ma peau était complètement rabougrie. Je ris puis sortit de là, enfilai un boxer noir et me baladai comme ça jusqu'à l'armoire de ma chambre. Je n'étais pas très difficile en matière de vêtements et donc, j'enfilai vite un jean et un tee-shirt noir brodé de dessins incompréhensibles. Puis enfin, je descendis pour prendre un petit déjeuné à la vas vite. C'était tous les matins pareil. Je me levai sans avoir fin et le seul fait de voir de la nourriture me répugnais et me donnais un mal de ventre horrible. Je buvais donc simplement un jus d'orange. Et aujourd'hui ne manqua pas à la règle.
Je sortis un verre du placard, le jus d'orange du frigo et maudissais gentillement Atheyna de m'en avoir laisser qu'un fond. Mais pas envie de descendre à la cave pour aller rechercher une bouteille. Je rangeai donc le verre dans le lave-vaisselle puis remontai chercher mon appareil, le fourrai dans son étui et sortit de la maison en prenant soins de la fermer. Charleston avait beau être une ville plus que paisible, nous n'étions pas à l'abri d'un cambrioleur par-ci par-là. Aujourd'hui je n'avais aucun destination prédéfinie dans la tête. J'avais plus l'intention de me balader et prendre en photo ce qui était bon à prendre. Je ne travaillais pas, mon patron était débordé d'article et n'avais pour l'instant pas besoin de clichés pour illustrer le tout. Tout en continuant de marcher, mes pensées se perdirent sur cette petite fille qui hantait mes rêve. Je pris quelques photos de fleurs, de passants amoureux et d'un homme entrain de faire la manche. La misère du mon était partout et j'avais la bonne intention de la montrer et l'exposer au monde afin que les grands, les riches, tentent d'intervenir, ce qui, en sois n'était pas gagné. Je lui donnai un simple billet de cinq dollar. Il me fallait tout de même un peu d'argent pour manger. Cette réflexion peut passer pour égoïste mais après tout j'avais fait un geste et ce monsieur, me priant de reprendre mes sous me fit bien grande peine. Je m'agenouillai donc vers lui, lui expliquant la situation. Je partais donc dans des délires philosophiques incompréhensibles afin de lui expliquer qu'il avait besoin de cet argent et que moi, en échange j'avais besoin de quelques photos. Tout réjouis mon petit homme se mit à poser face à mon objectif sans aucune pudeur. Un grand merci, une bonne poignée de main et me revoilà partit à travers Charleston.
Alors que les douze coups de midi sonnèrent, mon ventre se mit à sonner lui aussi. JE sourit tout seul, les gens me prirent certainement pour un fou mais tant pis. Je passais justement devant le Mac Donald cet endroit si fréquenté. Les fast food n'avais jamais réellement été mon fort, toute cette graisse me répugne et je sais très bien que leurs boissons sont coupées à l'eau. Mais bon, je n'avais pas envie de marcher trois kilomètres en plus pour un malheureux sandwich qui me couterais autant qu'un menu entier ici. J'entrai donc et me dirigeai directement à la caisse pour passer commande. Je pris un menu simple, juste un hamburger, et une boisson. Mon plateau à la main, je cherchai des yeux une place quand une fillette qui me disais bien quelque chose passa entre mes jambes pour rejoindre le jeux au fond de la salle. C'était la fille d'Aphrodisia cette peste que je ne pouvais pas me voir. Tiens donc, je l'apercevais, mangeant sa salade comme une pauvre anorexique. Je m'approchai donc, m'assis près d'elle sans rien demander.
EDWARD - "Ben alors Aphrodisia tu fais un régime? Il était temps vu la taille de ton cul" dis-je fièrement, complètement fier de ma connerie.
S. Aphrodisia Jeckins
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Sujet: Re: • Aphrodisia&Edward ▬ « Le fast-food a du bon, finalement. » Mer 16 Juin - 15:46
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Les cauchemars, ont leur source de vérité.
Les cauchemars. Vous savez, ces rêves qui vous apportent que de la souffrance et du mal, alors que vous aurez voulu un sommeil sans rêve, après la journée épuisante que vous avez eux. Il existe deux types de rêves. Les rêves qui vous apportent du bien et ceux qui apportent du mal. Les rêves sont une source de bonheur, créant un monde où vous seul, être le héros de l’histoire que vous avez créer. Certains disent, que les rêves sont les fruits d’une vérité que vous avez nié et cela pouvait être vrai. Par contre, peu de monde voulait tomber sur un cauchemar, où la seule chose que vous avez retenu dans l’histoire, à votre réveil, est la peur ainsi que la souffrance qu’il vous a fait. Généralement, on ne souvient plus des rêves mais certains passent la frontière entre le rêve et l’éveil et cela, peu de monde envierait les personnes qui se souvenait, dans les moindres détails, du cauchemar qui avait prit possession de leur être, cette nuit là. On dit que pour ce réveiller d’un cauchemar, il fallait juste ouvre les yeux, mais comment ouvrir les yeux quand le monde dont vous vivier, commence a devenir un véritable cauchemar ? Petit, vous serez allez vers vos parents, pour qu’ils vous chassent les dragons et les monstres qui se cachaient sous votre lit, car a vos yeux, ils existaient vraiment où seul vos parents, étaient assez courageux, fort pour les combattre. Mais quand un cauchemar vous prend, étant adulte, il restait qu’une chose a faire : se réveiller et chasser les images qui défilaient dans votre esprit et non se demander, pourquoi, vous avez fait ce cauchemar, aujourd’hui.
Certains esprit philosophiques, vous affirmeront que faire le même cauchemar cache une vérité que vous nié ou que vous essayer en vain, de vous en souvenir. Peu de personne vous diront, qu’elles sont d’accord avec cette théorie, car faire des cauchemars n’étaient pas une source de plaisir, loin de là. C’est peut être pourquoi, bon nombre de personnes, victime de cauchemar - voir le même cauchemar depuis plusieurs jours - n’essayeront pas de chercher la source de vérité, qu’il y avait dedans, ayant trop peur de faire revenir ce cauchemar. Ils étaient loin des personnes courageuses, mais comment les blâmer ? Impossible et pourtant, un seul geste de courage pourront les faire souvenir d’évènement qu’ils auraient rêver de s’en souvenir. Et cela, c’était le cas, de la jeune femme qu’était Aphrodisia Jeckins, marié depuis huit ans avec Connor, en pleine procédure de divorce avec ce dernier, et mère d’une petite fille de sept ans, qui par moment attendait des drôles de bruit dans la chambre de sa mère, lui disant que sa mère était partit dans un monde, où les monstres et les dragons, y était. Et malheureusement pour A, elle aurait préférer être victime de monstres et dragons en tout genre, que voir les personnes qu’elles aimaient, la détestaient ou de se souvenir de choses, qu’elle n’arrivaient pas à mettre un visage et un nom dessus.
MANOIR JECKINS » 5h00 du matin
Un rire. Des bruits de course. « Attrap’ moi, si tu peux.» . Une fillette essayait d’attraper le petit garçon qui venait de lui lancer, qu’elle ne pourra pas le rattraper. Des bruits de course, où des paroles teintés d’innocence se faisaient entendre, en ce beau jour où le soleil fut le seul témoin, de la course poursuite des deux amis. « Tu vas voir.» Deux amis qui rêvaient déjà être grand, sans savoir que le monde des grands n’était pas facile comme ils le pensaient. Deux petits enfants, qui devaient avoir que quatre voir cinq ans chacun étaient les seuls personnes présente au parc. Leur vêtements crut bon leur rappeler que courir dans un temps pareil, les rendant transpirant, mais ce ne fut pas cela, qui fit arrêter leur dispute. « Je t’ai eu’» . Un petit garçon, au cheveux brun et aux yeux vert et au sourire narquois et pourtant si mignon, se retrouva allongé sur l’herbe fraiche tondu du parc, alors qu’une petite fille, plus petite que ce dernier au cheveux mi-long ondulé châtain, laissant voir deux iris chocolat accompagné d’un sourire fier se retrouvait à califourchon sur ce dernier. « tu crois ca ? » . Un retournement de situation, où des rires fusèrent, montrant par là, que la fillette était sensible au chatouilles. Une scène mignonne, que tous un jour, avait déjà vécu cette scène. Ils montraient a tous, que leur amitié existait, étant dans leur bulle où personne - même pas les montres pouvaient y entrer-. Ils jouaient sans savoir, que ce fut la dernière fois, qu’ils se reverront, avant de longue années.
Un rêve teinté d’un cauchemar, où une jeune femme endormit, dans son lit de soie, laissant voir un calme reposant teinté de questions, faisait. Ce rêve qu’elle faisait toujours avec ce petit garçon, au visage inconnu qui lui donna une protection qu’elle cherchait. Et ce ne fut pas aujourd’hui, qu’Aphrodisia mettrait un nom et un visage, sur ce petit garçon qu’elle connaissait portant très bien mais que le passé faisait tout, pour qu’elle ne trouve pas ses réponses à ses questions. Alors, elle fit la seule chose qui resterait à faire dans ses moments : elle continua de rêver.
CAFETERIA DE L’HOPITAL » 9h19
Après avoir franchit les portes de l’hôpital, endroit où travaillait l’adulte, ses pas l’emmenèrent d’un pas décider vers les vestiaires où elle rangea tout affaire non voulu, pour ensuite enfiler sa blouse blanche. Quiconque l’aurait regarder dans ce moment là, vous dira qu’elle est en ce moment tourmenté par quelque chose. Tourmenté au point, de commencer doucement, a ne plus rien manger car comment manger, quand sa vie se transformait en cauchemar ? Impossible, et ce n’était pas elle, Aphrodisia qui vous dira le contraire. Chassant ses pensées noires, elle jeta un coup d’œil au miroir, replaçant une mèche de cheveux laissant deux bracelets de perles descendre sur son poignet. Voila encore une chose, qu’elle trouva étrange. Pour tout le monde, ses bracelets en perles lui étaient offert et fabriqué par sa fille Caelan, certes l’un était d’elle, mais l’autre. Comme toute les fois où elle le regardait, ses sourcils se froncèrent alors qu’un sourire en coin s’était installer sur son visage. Elle se rappela la fois où son mari Connor l’avait vu, où elle lui avait seulement dit, qu’un vieil ami lui avait offert quand elle était gamine où elle lui avait toujours promit de garder son bracelet. Mais ce fut, sa fille qui fut la plus contrarié car seul les bijoux qu’elle devait porter, devait être fait par Caelan, ou offert par son père Connor. Alors, elle avait simplement enfiler avec une grande joie, le bracelet au multiple couleur, que lui avait créer un jour Caelan, sur son autre poignet, montrant ainsi son amour d’une mère a sa fille. Aphrodisia aurait put rester immobile et perdu dans ses pensées pendant longtemps, si une autre chirurgienne interne n’était pas venu dans le vestiaire, pour se changer. Chassant ses dites pensée, elle avait inscrit un sourire en coin sur son visage avant de partir vers son bureau, donnant ses ordres aux chirurgien internes qu’elle devait se charger, avant de regarder son emploi du temps de la journée.
Un sourire ravis s’installa sur son visage, quand elle remarquèrent que sa journée se finissait à onze où elle se dit, que ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas été voir Atheyna, sa cousine. Un tapotement à sa porte, la fit lever ses yeux de sa feuille vers celle-ci, où prenant une voix calme, demanda à la personne de rentré. Personne qui se trouva être Noah Wilson, meilleur ami de cette dernière où un seul coup d’œil de ce dernier, lui fit dire qu’elle avait oublier quelque chose. Quelque chose qui signifia être un petit déjeuné en la compagnie de ce dernier, avant qu’il parte au palais de justice, faire son travail d’avocat. Poussant un soupire, elle se leva et partirent ensemble, vers la cafeteria de l’hôpital, parlant de chose et d’autre, en chemin.
NOAH — Tu devrais manger A. dit-il en la regardant boire un verre de jus d’orange, sans toucher à sa nourriture qui constituait son petit dejeuné. L’inquiétude se lisait sur son visage, où elle lui répondit le plus simplement du monde, ne faisant pas gaffe, au mot qu’elle employait. APHRODISIA — Je n’ai pas très faim, aujourd’hui. Et n’essaye pas de me sortir, que je tombe dans l’anorexie Noah, car c’est la dernière chose qui pourra me couper l’appétit. Elle aurait put lui dire, qu’elle avait déjeuné - même si elle n’avait put qu’un café, et prit qu’une tartine - mais elle connaissait trop son meilleur ami, pour savoir que ce dernier, ne prendrait cela, comme de bonne excuse. NOAH — Et qu’est-ce qui te coupe l’appétit, alors ? Toujours la même question. Et il eu la même réponse. APHRODISIA — Laisse tomber, et mange. Elle crut voir la lueur déterminé passé dans les iris de Noah, où elle soupira intérieurement laissant sa main partirent sur le verre de jus d‘orange qu‘elle buvait, cachant ses précieux bijoux hors de la vue du monde.
Elle ne lui restait peu de temps avant la fin de son service, où elle soupira de soulagement d’avoir, pour une fois, une journée courte. Il ne fallut qu’un quart d’heure aux deux amis, de prendre leur petit déjeuné, avant qu’ils partent chacun de leur côté, organisant un nouveau futur petit déjeuné, leur tradition a eux.
ATHEYNA’S HEART » 11h12
ATHEYNA — Tu ne devinera jamais, qui est venu dans mon magasin aujourd’hui ! fut la première chose, qu’elle entendu quand elle entra dans la boutique de sa cousine, souriant à l’assistante de cette dernière, une certaine Poppy, avant de voir Atheyna se précipiter vers elle, comme si Noël était aujourd’hui. APHRODISIA — Tes parents ? crut-elle bon de dire, avant de se faire emmener vers le bureau d’Atheyna, pour être ensuite installer sur une chaise confortable et pour l’entendre lui répondre. ATHEYNA — Tu sais très bien, que mes parents ont autre chose a faire, que voir ma boutique. Aphrodisia savait que les parents d’A était trop occupé dans leur travail - surtout le père d’Atheyna, maire de la ville et accessoirement le parrain d’Aphrodisia - . Atheyna ne lui laissa pas un moment de répit avant de lui dire la bonne nouvelle, qui constituait a . Y a les journalistes de la ville, qui est venu pour me demander si ils pourraient faire un article sur mon magasin. Voila une chose qu‘Atheyna aimait : se faire connaître, même si c‘était un journal local. Et la seule chose qu‘Aphrodisia, put faire, fut de lui dire ses félicitations et de lui sourire, lui cachant beaucoup de chose.
Les deux cousines continuèrent a parler, de tout et de rien, même si elles s’évitaient de parler du copain d’Atheyna - savant qu’Aphrodisia le détestait pour x raison - et le divorce d’Aphrodisia - car Atheyna était totalement contre ce divorce -. Des sujets tabous, qui furent dispensé, dans les rires qui raisonnèrent dans la pièce avant que des clients viennent dans le magasin. Jetant un regard à sa montre, elle se leva et partit avec sa cousine, dans le hall où les vêtements remplissaient les armoires, avant de lui dire qu’elle devait allez chercher sa fille, pour un diner en tête a tête, à Mc Donald. Elle n’eut qu’un geste a faire, que sa cousine rigola, savant très bien, que si il y avait un endroit, où Aphrodisia aurait jamais mit les pieds, était bien ce fast-food. Comme quoi, les enfants - surtout celle de Connor et d’elle - étaient de loin, des êtres manipulateurs, pour osé embarquer et faire promettre a leur dit parents, des choses qu’ils auraient jamais mit les pieds avec quelqu’un d’autre.
MC DONALD’S » 12h30
Mc Donald. Fast-food où les seuls éléments qui n’avait pas de graisse, était les salades. C’était surement une de ses raisons, qui poussait les parents d’Aphrodisia, a ne jamais emmener leur fille dans un tel restaurant, préférant de loin, les restaurant quatre étoiles, au fast-food naturel. Et pourtant, pendant l’adolescence, elle ne put résoudre a faire autrement, quand une de ses amis l’embarqua ici, quand elle lui avait dit qu’elle n’avait jamais mit les pieds dans un Mc Donald. Et soyez sur une chose, son amie l’avait remarquer bouche bée avant de l’embarquant dedans, malgré les protestations d’A qui ne voulait pas y mettre les pieds. Les autres occasions pour allez dans ce fast-food était très rare car ses proches, savaient qu’elle n’aimait pas y allez. Et pourtant, une seule personne avait put la faire emmener, au moins un jour de la semaine : sa fille. Une perle rare, teinté d’innocence mais à la manipulation de maître - donner par ses deux parents, tout deux manipulateurs - qui l’avait mener au Mc Donald. Une petite fille qui la menait au bout de son nez ? Probablement, même si elle voyait de ses yeux, que Caelan faisait cela avec toute les personnes de Charleston. Alors, en personne forte, Aphrodisia lui avait promit qu’elles allaient au Mc Donald en jour, et lui avait même promit car, Caelan, savait une chose sur sa mère : elle tenait ses promesses. Promesse qui fut tenu quand les deux Jeckins été rentrée dans le fast-food pour ensuite se diriger a une table, menu en main. Une longue conversation était faite entre la mère et la fille, avant que cette dernière demanda la permission de sa mère pour sortir, s’amuser avec les jeux qu’avait le fast-food. Permission accordée, quand on dit Aphrodisia seule, a sa table mangeant, petit a petit, sa salade composé, buvant son grand verre d’ice tea, par petite gorgée, prenant son temps.
Elle était seule au monde, mais ce ne fit pas cela qui la dérangea, car comme toute mère qui se respecte, elle surveillait sa fille, d’un œil aimant et protecteur. Elle bénit un quelconque saint, de voir sa fille s’amuser, sans se blesser - encore une occasion de se disputer avec Connor, si elle revenait avec sa fille, robe déchirée -, s’amusant sans pensé au monde des grands. A ne se l’avoua jamais, mais elle jalousa sa fille, d’être encore innocente, où elle se promit de la faire rester innocent pendant encore quelque années, car le monde des adultes étaient de loin, un monde compliquée. Seul ses gestes, prouva qu’elle était vivante, où personne n’osait la dérangée. Personne ? Un seul homme pouvait la dérangé dans un moment aussi calme et reposant que celui-ci, et cet homme était : le cher et tendre de sa cousine Atheyna, Edward Lancoln, alias la personne que détesta Aphrodisia sans trop savoir pourquoi. Donc perdu dans ses pensées, elle ne le vit pas arriver, et s’installer à la place de sa fille, trop occupée a regarder cette dernière, s’amuser comme tout enfant à cet âge.
EDWARD — Ben alors Aphrodisia tu fais un régime? Il était temps vu la taille de ton cul. Une voix fit sortir de ses pensées, la belle Aphrodisia, trop occupée a regarder sa fille s’amuser avec les autres enfants de son âge, pour voir l’homme qui s’était installer en face d’elle, comme si de rien n’était. Homme qui fut identifier comme Edward Lancoln quand ses iris entrèrent en contact, avec celle de son interlocuteur. Interlocuteur qui était fier de sa remarque, vu le sourire qui s’était installer sur son visage. Buvant une gorgée de son ice tea qu’elle avait commandé, elle le regarda d’un sourcil osé et d’un air prétentieux, pour lui répondre, le plus simplement du monde. APHRODISIA — Cul que tu rêverais de posséder, vu le regard que tu m’as lancée quand t’es venu voir Atheyna. Jugea-t-elle de préciser, même si ce n’était pas une des meilleures de ses répliques sanglantes. Regardant ce qu’il avait commandé, une grimace de dégout passa sur son visage, alors qu’elle ajouta quelque mots, montrant bien son dégout, a l’encontre du jeune homme qui s’était installé sans lui demander son avis. Et toi, encore envie de t’engraisser ? Tu devrais penser à faire un régime Edward avant que la seule chose qui passera le restant de ta vie, sera ton misérable appareil photo de pacotille. Quiconque serait passer vers eux, auraient été partit en courant, car la tension qui régnaient entre eux, étaient si grisâtre de colère, que quiconque aurait sut leur relation.
Relation qui était très simple : ils se détestaient. Aphrodisia ne savait pas pourquoi, elle détestait celui-ci malgré qu’elle avait vu de ses propres yeux, l’amour qu’il pouvait porter à sa cousine Atheyna. Peut être est-ce son assurance ou sa confiance en soi, qu’elle détestait où l’appareil photo qu’il trimballait tout le temps, étant photographe, mais en tout cas une chose est sur, ils ne pouvaient pas se voir en peinture. Et heureusement pour elle, cette haine était réciproque. Alors pourquoi, chaque fois qu’elle le voyait, elle sentit un sentiment qu’elle ne devait pas sentir a l’encontre de ce dernier. Un sentiment de déjà vu, comme quoi, elle aurait put jurer le connaître par cœur. Mais c’était impossible, car en trois ans, les seuls conversations civilisé qu’ils avaient eu - par respect à Atheyna, rien de plus - ne pouvaient pas les faire se connaître par cœur. Et pourtant, au creux de son cœur, elle avait ce sentiment sans qu’elle sache pourquoi elle le ressentit, où elle faisait toujours la même chose pour le chasser : elle attaqua. Lui jetant un regard noir, son regard se tourna vers les jeux, cherchant sa fille, comme toute mère qui voulait protéger son enfant, pour ensuite mettre en bouche, une poigné de salade, seule chose qui pouvaient passer dans son estomac, snobant et ignorant Edward qui se trouvait en face d’elle. Faut-il dire qu’elle espérait, qu’il allait s’en allez ? Mais on sait tous une chose : Edward aimait faire les choses contraire ce que voulais Aphrodisia, et cela, elle le sut quand il resta à sa place, et attaquant à son tour, comme bon ennemi qu’ils étaient.
Edward J. Lancoln
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Sujet: Re: • Aphrodisia&Edward ▬ « Le fast-food a du bon, finalement. » Jeu 17 Juin - 12:06
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Affalé devant cette peste d'Aphrodisia, ma boisson à la main, bizarrement, mon cauchemars me revint. Je ne comprenais pas pourquoi "maintenant" en regardant ses iris chocolat qui me faisait bizarrement retomber en enfance. Cette sensation bizarre, je la ressentais à chaque fois que je croisais la cousine d'Atheyna. C'était horrible à s'avouer et a ressentir sachant que je ne pouvais pas me voir en peinture cette pauvre fille. Mais mes pensées s'en allèrent.. Bien loin des iris chocolats d'Aphrodisia, bien loin des jeux du Mc Donalds, bien loin de Charleston, il y a bien des années...
Un après midi ensoleillé, je me vois assis sur un banc, un bracelet à la main. Mais qu'est-ce que je fais avec ça ? Je suis petit, je dois avoir seulement quatre ou cinq ans et mes yeux son déjà d'un bleu flamboyant. Je tripote ce bracelet dans tout les sens, je crois que je suis pire que stressé. Et mes yeux bleus sont fixés sur une petite filles au iris chocolat qui joue à la poupée dans le sable du parc. Je crois qu'elle ne sait pas que je suis là et elle si occupée avec son poney qu'elle ne me remarque même pas. Je suis en l'air et je me vois.. Quelle sensation bizarre que ce souvenir! Je me lève, mes petites jambes se mettent à marcher et je sens que mon cœur bat la chamade. Est-ce cette fille qui me fait cet effet? Je suis tout près d'elle et elle ne sens même pas ma présence. J'ai envie de crier de lui hurler de se retourner car je passe pour un débile là mais de toute manière ce n'est qu'un souvenir, un rêve et personne ne m'entendrait. Moi petit lui tapote sur l'épaule. La petite se retourne et son visage me transperce le cœur. C'est la même que mes cauchemars! Tout prend un sens maintenant. Je lui offre le bracelet que je lui ai confectionné et elle m'embrasse. Nous nous promettons de nous aimer à vie et partons jouer, ailleurs, ensemble, amoureux.
Je reviens sur Terre, face à mon hamburger, ma boisson et la pauvre salade d'Aphrodisia. Je replonge mon regard dans le siens et ses iris chocolat me fendent le cœur. Je jette un vif coup d'œil à ses poignets mais son gilet les cachent. JE me sens affreusement débile à ce moment. Comment ais-je pu penser deux minutes que cette pauvre fille soit mon amoureuse d'enfance? J'ai envie de rire là, de me foutre de moi-même. C'est con hein?
Alors que je mord délicieusement dans mon sandwich, sans rien faire couler - nous n'avons pas les même valeurs-, Je tourne moi aussi mon regard vers les jeux du macdo et observe la petite fille d'Aphrodisia. Elle est si pure si innocente.. Il me vient des images de shoots à faire avec elle, vêtue comme une petite princesse. Mais je tente de chasser tout ça de ma tête sachant que la jolie brune devant moi (Aphrodisia) a, depuis bien longtemps l'envie de me casser mon reflex, de me le foutre sur la tête. Mais bon, que voulez-vous, la jalousie est partout !
Je repose ensuite mes yeux dans ceux d'Aphrodisia, sachant bien évidemment qu'elle répondra à ma réplique, ce qui ne tarde pas et me choque un peu.
APHRODISIA — Cul que tu rêverais de posséder, vu le regard que tu m’as lancée quand t’es venu voir Atheyna. Je ris à pleine bouche et en profite pour lui montrer tout ce que j'ai dans la bouche. JE sais que c'est horrible, ignoble mais là, il le fallait afin qu'elle sache que je me fiche éperdument de ce qu'elle dit. Elle ajoute ensuite, Et toi, encore envie de t’engraisser ? Tu devrais penser à faire un régime Edward avant que la seule chose qui passera le restant de ta vie, sera ton misérable appareil photo de pacotille. Je m'arrête de rire et lui souris très gentillement. La pauvre n'a que ça à se mettre sous la dent ? Je mange une fois de plus une bouchée de mon sandwich et lui répond calmement, C'est gentil de t'inquiéter pour moi Aphrodisia, mais ne t'inquiète pas, ma graisse va très bien et n'est pas encore trop apparente comparée à la tienne.
S. Aphrodisia Jeckins
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Sujet: Re: • Aphrodisia&Edward ▬ « Le fast-food a du bon, finalement. » Ven 18 Juin - 20:35
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On dit que les souvenirs doivent rester dans le passé. Moi je ne suis pas d‘accord, car comment pourrais-je, imaginer, un seul instant, ma vie sans toi ?
Les souvenirs. Evènements passés qu’on garde au plus profond de soi, ne voulant pas oublier, les personnes qu’on a aimer autrefois. Il existe des souvenirs où vous êtres heureux, ne pensant pas au lendemain et au conséquences de la vie qui viendront avec le temps. Il existent des souvenirs tristes, où vous avez perdu un être cher et vous vous rappeler du temps où il était encore vivant. Il existe des souvenirs de nostalgie, repensant a vos ex, imaginant même un instant quel serait votre vie avec eux. Mais les souvenirs que chaque être gardera sont les souvenirs de famille, se rappelant quand vous êtes tombé amoureux de la personne qui deviendra votre époux, mais surtout la naissance de votre enfant. Tout porte a croire, que les souvenirs sont bon, et sont fait là pour vous donner une vie parfaite. Et pourtant, il existe des souvenirs encré dans votre esprit, que vous aurez tout fait pour les oublier. Des souvenirs où quelqu’un vous avez fait du mal, une brisure au cœur ou bien un souvenir d’accident où vous avez risquer votre vie, ou bien la perte d’un ami que vous n’avez plus revus depuis longtemps n’ayant pas eu un mot quand vous avez déménager. Mais les souvenirs les plus terrible de l’être humain, sont ceux qui brise votre vie parfaite et que vous savez, que vous ne pourrez jamais enlever de votre esprit, malgré tout le mal que vous avez fait, pour les enlever. Bien sur, chaque souvenirs est différents de chaque être humain, mais il y a bien une chose, qui est commun : ils ne perdront pas leur souvenirs car la mémoire n’efface rien. C’était ainsi la vie, et pas mal de monde, aurait préférer faire leur tri, dans leur souvenir, même si ils savaient, que la douleur et la souffrance, les aidaient a avancer et ne pas commettre deux fois la même erreur. Et comme tout être humain, Aphrodisia Jeckins possédait son lot de souvenir, ayant tout fait pour en détruire certains car pour elle, ses souvenirs sont les pires que l’être humain pouvait créer sur Terre.
Si on aurait demander à Aphrodisia, de vous faire part de ses souvenirs, elle vous aurait dit, que personne sur Terre, ne pourrait comprendre certain de ses actes. Cette dernière se rappelait la première fois où sa mère l’avait punit, alors qu’elle ne s’était pas tenu droite a table. Elle se rappelait aussi, la lueur de fierté dans le regard dans sa mère quand cette dernière regardait sa cousine Atheyna - d’où la mini haine des cousines à l’époque -. Elle se rappelait la fois, où son parrain Jack l’avait réconforté, comme un père aurait fait avec sa fille où elle avait envier Atheyna d’avoir comme père ce dernier. Elle pouvait aussi se rappeler la fois, où elle avait découvert son don pour la musique et que son père avait été fier d’elle - une des fois, où il n’était pas en voyage d’affaire -. Sa mère n’avait rien dit, où Aphrodisia s’était toujours dit, que plus tard elle envoyer au diable sa mère. Petite fille, elle avait même fugger sa nourrice, au parc, et avait fait la rencontre d’un petit garçon qu’elle avait aimer. Elle avait trouver son premier amour d’enfant, amour qui fut enlever quand elle déménagea, car ses parents en avaient décider ainsi. Les pires souvenirs étaient le jour où elle avait rencontrer l’un de ses ex, où elle était devenu une vrai rebelle. Elle pourrait décrire a la seconde près, la sensation que procure une cigarette ou une drogue, et pouvait se rappeler toute sa vie, la fois où elle avait faillit mourir d’une overdose. Sa plus grande joie, fut quand elle rompit avec son ex, et déménagea pour Charleston, chez sa cousine pour suivre une cure de desintox. Cure fini, elle était rester à Charleston où elle avait connu ses plus beau jours de sa vie. Sa rencontre avec Connor fut surement le souvenir qu’elle aimait plus que tout, où comment elle était tombé amoureuse de ce Dom Juan qui avait cru l’avoir facilement. Si on lui demandait comment elle avait put tomber amoureux de ce Dom Juan, elle vous dira qu’elle était tombé amoureux de lui quand ce dernier lui avait sourit, d’un de vrai sourire qui ne réservait a peu de monde, et à sa détermination à l’avoir. Le jour où il avait demander sa main, sur le London Eye - une déclaration unique en son genre - restera graver dans sa mémoire, tout comme son mariage parfait, leur emménagement parfait ainsi que la naissance de leur petite fille. Elle ne vous racontera pas ses huit ans de vie commune, même si tout Charleston savait une chose : la famille Jeckins était très heureux, au point de passer pour le couple parfait. Par contre, elle vous jeter dehors quand les souvenirs de sa vie a présent lui arriva, se rappelant la fois où elle avait revu Daemon qui lui avait fait du chantage - divorcer ou voir sa famille souffrir - ainsi que son mensonge qu’avait cru Connor ayant touché un des points sensible, de son mari qui par une haine aveugle, n’avait pas vu qu’elle lui mentait. Et n’essayer pas de savoir les nouveaux souvenirs qu’elle s’était fait depuis l’annonce de son divorce, car c’était un sujet qu’elle tenait secret -même a la personne qu’elle comptait plus que tout, son mari -.
Des souvenirs. De simple souvenirs mais qui faisait toute une vie, et cela même la personne la plus froide ou la plus solitaire, vous le diront. Car vivre sans souvenir n’est pas vivre, même si on aurait tout fait pour chasser certains souvenirs, ou revenir dans son passé, régler les erreurs qui vous aurait emmener dans cette vie malheureuse et compliqué. Et certains de ses souvenirs, revenait sans cesse, et ne se laissait pas de partir. Et en bien et en mal, Aphrodisia le savait mieux que personne, se souvenant des choses passés, et qu’elle n’arrivait pas, pour certain, à un mettre un nom et visage dessus, pour son plus grand malheur d’ailleurs.
MANOIR JECKINS » 5h30 du matin
Des bruits de courses. « Silver, Silver.» . Une fillette se retourna, laissant voir deux iris chocolat et un sourire innocent sur ses lèvres. Un petit garçon aux yeux flamboyant courait vers elle, cachant quelque chose dans une de ses mains. « Brun.» Un mot innocent. Une bouche qui laissait sortir un rire cristallin alors que le petit garçon s‘asseyait en face d‘elle, laissant voir une mine boudeuse cachant un stresse évident.. « Je t‘ai déjà dis de ne pas m‘appeler comme ca.» . Ils étaient que des gamins, et pourtant ils faisaient comme les grand. Des bruits qui laissent penser que quelque se déplace. Une petite fille qui enlaça le petit garçon . Oui, ils faisaient comme les grandes personnes, malgré qu’ils n’avaient que quatre voir cinq ans. « Je plaisante. » . Deux petits rires, une étreinte qui ne s‘était pas arrêter. Quiconque les voyaient, vous diront que ces enfants avaient trouver leur premier amour. Ils étaient amoureux même si ils ne connaissaient pas encore le sens, exacte du mot amour. « C’est pour toi. » Une main qui se tend, laissant voir un bracelet en parle, un de ses colliers qu’on font les gamins de quatre ans. Un immense sourire sur les lèvres de la fillette, un baiser sur la joue, un bracelet qui se met autour du poignet. « Et moi, je te donne ça. Comme ca, tu te souviendra de moi, tout le temps. » . Une bague qui change de main, des sourires innocents alors qu’un petit malaise se faisait entre eux, car ils savaient que les jours étaient compté. « Je viendrais te chercher, Sil‘, te le promets. » Une promesse, teinté d’une déclaration. Même si le garçon était petit, il promettait mont et merveille, chassait les dragons qui auraient prit prisonnier, sa petite princesse qu’était la filleule au cheveux châtain. Et je t’attendrais, E….
Encore une de ses choses qui la frustrait. Les rêves d’A était tous les même et jamais, elle n’arrivait a ce souvenir du prénom du petit garçon, qui lui avait promit de venir la chercher, un jour. Car il n’y avait aucun doute, ce n’était pas qu’un rêve, mais des souvenirs de sa période où elle s’appelait Silver et non Aphrodisia. Et comme toujours, quand elle se réveillai, son regard se porta à son poignet gauche, laissant voir deux bracelets en perle - dont l’un était de sa fille et l’autre celui de son premier amour - alors que son anneau de mariage s’entillait. Anneau qui lui déchira le cœur comme toute les fois, où elle regardais, laissant ses yeux se refermer doucement savant que dans quelque minutes et heures, elle allait se réveillait en sueur, prise d’un énième cauchemar, qu’était sa vie.
HOPITAL » 10h06
Hôpital de Charleston. Endroit où travaillait Aphrodisia Jeckins depuis quelque temps déjà, où pas mal de monde vous dira, qu’elle deviendra une grande chirurgienne interne dans la section plastique, étant très habile avec ses mains et faisaient des miracles. Ce fut d’ailleurs pourquoi, elle était très apprécier à Charleston, car ce n’était pas rare qu’elle aperçoit un ancien patient, ou bien de la famille d’un patient hors de son lieu de travail. On aimait son calme, sa patiente, son talent et sa détermination a réussir, même si chaque habitant de la ville, savait qu’elle cachait un lourd passé et que depuis quelque temps, même si elle le cachait, rien n’allait plus dans sa vie. Car il ne fallait pas être idiot pour ne pas remarquer les cernes qui apparaissait sur le visage d’A ou les bâillements de cette dernière - chose qu’elle ne faisait jamais avant - pour savoir qu’elle était fatiguée. Peu de personne vous diront qu’ils avait vu dans ses iris chocolat, une infime tristesse et que ca lui arrivait de se perdre dans ses pensées mélancolique quand personne ne lui demandait quelque chose. Et rare étaient les personnes qui avaient remarquer, la légère tendance a ne plus manger - ou alors très peu - depuis l’annonce de son divorce. Certes, elle avait toujours été d’une corpulence mince, mais les habitants savaient que si un gros choc lui arrivait, elle tomberait. Elle était une ange déchu, et cela même le plus innocent des enfants le savaient car quiconque l’aurait vu depuis deux semaines, vous diront que sa vie n’avait rien de blanc et de parfait. Ce fut pour cette raison, que des sourires apparurent sur les visages des personnes étant à l’hôpital aujourd’hui, quand elle sortait du vestiaire en blouse blanche de travail. Un masque de calme et de tranquillité sur son visage cachait au monde, son désarroi et son trouble, essayant en vain de chercher des réponses qu’elle ne trouvait pas. Les personnes la laissait tranquille dans ses moments et quiconque l’aurait vu dans ses moments, vous diront que quelque chose la tourmente, sans qu’il sache quoi.
Ce fut seulement quinze minutes plus tard, que rare les personnes qui se trouvaient dans le champs de vision d’Aphrodisia Jeckins, et Jake Carter - étant au service d’A pour un stage que son professeur lui avait donner de faire - que la réponse sur son tourment arriva. Tourment qui aurait fait rire plus d’une personne, si ils ne connaissaient pas la famille dont elle venait.
JAKE — Qu‘est-ce que tu as ? Une voix la sortit de ses pensées, alors que ses iris regardèrent, sans lire, les feuilles d’un patient. Iris qui se levèrent après avoir soupiré d’un ton lasse. APHRODISIA — Rien. J‘imagine simplement, comment réagira ma mère, si je lui aurait dit, que je vais au Mc Donald au moins une fois par semaine. Était-ce de la joie ou de l’amertume dans sa voix ? En la connaissait soyez sur, que c’était de la joie détestait sa mère, comme personne. JAKE — Car ta mère n’est jamais mit les pieds dans ce fast-food ? Osa-t-il lui demander. La seule réponse fut un rire cristallin où quiconque l’ayant entendu, aurait surpris du beau son agréable et sans moquerie, qui sortait de la bouche de l’ange déchu qui avait pour l’habitude de critiquer, certaines personnes. APHRODISIA — Tu crois vraiment que ma mère s‘abaissera a manger dans un fast-food comme les mortels, alors qu‘il y a un restaurant quatre étoiles a côté ? Elle avait bien insister sur mortels, même si tout le monde savaient, qu’elle ne le disait pas péjorativement.
Car même si elle était née d’une famille très riche, où point d’être des aristocratiques, la jeune femme préférant le monde modeste, même si tout ce qu’elle possédait n’ayant rien de modeste. Continuant leur conversation, les deux jeunes adultes partirent chercher un énième patient, alors qu’A redoutait le moment d’entré dans un Mc Donald. Car même si elle aimait ce monde modeste, les habitudes étaient tenace, ayant toujours été formellement interdit dans sa jeunesse, de poser un pied sur un sol d’un fast-food. Alors imaginez sa détresse quelque heures plus tard, sourire le sourire innocent et l’esprit quelque peu manipulateur de sa fille Caelan, âgée de sept ans, qui avait sut tiré la promesse de sa mère, savant que jamais au grand jamais, sa mère ira briser une promesse. Car comme tout Jeckins et famille riche, une promesse est faite pour être tenu, même si plus tard, le cœur n’y est pas.
MC DONALD » 12h32
Si il y a bien une chose que le Mc Donald aurait été témoin, vu l’arrivé d’Aphrodisia en ses lieux - mort dans l’âme faut l’avouer - avec une petite fille fière d’avoir emmener sa mère dans le dit fast-food. Rare ont été les personnes surprise quand, ils retrouva Aphrodisia entrain d’insulter Edward Lancoln, car c’était bien connu : ils se détestaient mutuellement, sans réellement savoir pourquoi. Cette dernière d’ailleurs, hésitait entre partir - où sa fille lui en voudrait et qu’il croyait qu’elle était une lâche -, soit tuer l’homme en face d’elle - elle ne voulait pas allez en prison, donc la solution fut mis de côté -, soit rester là et répondre à ses attaques. Malheureusement avec eux, les disputes étaient nombreuses, où ils n’est pas rare qu’ils se finissent avec quelque chose sur leur vêtement qui ne devrait pas être présent - genre un verre de soda tomber maladroitement sur un sac, etc. - Alors Aphrodisia était rester, le regardant d’un œil purement hautain, mangeant sa salade, seul nourriture que son estomac avalait. Ses iris faisaient des aller retour, entre sa fille et Edward, et ce fut peut-être pour cela, qu’elle ne s’aperçut pas qu’Edward était partit dans ses pensées pour ensuite regarder son poignet, trop occupé a chercher sa fille des yeux. Alors qu’elle allait détourner les yeux pour observer Edward, une impression de déjà vu arriva en elle, quand elle vit sa fille Caelan, jouer avec un petit garçon. Elle se rappela le souvenir qui était venu la hanté le matin même, se voyant a la place de sa fille, parler avec son premier amour. Premier amour qu’elle ne se souvenait plus de son prénom - pour sa plus grande frustration - mais qu’elle gardait toujours précieusement, le bracelet qu’il lui avait offert au poignet. Bracelet qui s’y trouvait mais qui était caché par son gilet, qu’elle avait mit par la fraicheur de ce jour.
Chassant la dite pensée, elle s’était retournée, ensuite, vers Edward où moment où ce dernier lui avait lancé une insulte. Insulte qui donna une nouvelle insulte de sa part cette fois, où elle regarda d’un œil dégouté, le photographe rire, au point de montrer ce qui se trouvait dans sa bouche. Se fut d’ailleurs pour cette raison, qu’elle le fusilla du regard, alors que la paille de sa boisson était dans la bouche, la buvant a petite gorgée. Après s’être rafraichit, elle avait ouvert la bouche, pour parler d’une voix sec et dégouté, montrant bien par la, tout le dégout qu’elle avait pour cet homme, qui osait être le petit ami depuis trois ans, de sa cousine Atheyna. Elle se promit d’ailleurs de lui demander pourquoi, elle sortait avec ce « porc . » quand elle l’attaqua.
EDWARD — C'est gentil de t'inquiéter pour moi Aphrodisia, mais ne t'inquiète pas, ma graisse va très bien et n'est pas encore trop apparente comparée à la tienne.. Lui répondit-il calmement. APHRODISIA — Tu es dégoutant. Je ne vois pas ce que peut te trouver Atheyna attirant, dans ton aptitude. Oui, jamais Aphrodisia comprenait que sa cousine - qui avait un très beau mode de vie - pouvait trouver à celui-là. Certes, si elle ne le détestait pas, elle aurait avouer qu‘Edward était un homme très séduisant, malgré sa tendance a aimer trop son appareil photo. Mais elle le détestait, donc elle niera tout compliment, préférant le trouvant banal comme personne, au mode de vie médiocre, et au aptitudes dégoutants. Donc après avoir but une gorgée de son verre et après avoir entendu le rire d‘Edward se briser, un sourire narquois s‘inscrit à ses lèvres à l‘entente dela réponse du jeune homme. Homme qui lui disait quelque chose. Je préfère largement avoir de la grasse sur les os comme tu dis, que d‘être fou, ignoble, dégoutant tel que toi. Car il faut bien être fou, pour oser donner un nom à cette chose, qui te sert d’appareil photo. Attaquer. Voila une chose qu‘elle savait faire et pour le plus naturellement du monde, il réattaqua.
Bizarre de ce dire, que ses deux personnes aimaient une personne commune, tellement la lueur de noirceur qui les entouraient était la. Fermant les yeux un moment, elle tourna la tête pour regarder sa petite princesse comme elle l’appelait, mangeant sa salade, snobant royalement la personne qui était en face d’elle.
Edward J. Lancoln
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Sujet: Re: • Aphrodisia&Edward ▬ « Le fast-food a du bon, finalement. » Jeu 24 Juin - 14:43
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Cette fille me fait bien marrer. J'aime ses manières de petite bourgeoise coincée. On dirait une "Dame". Et j'aime l'embêter, la rendre folle. Alors faire le dégoûtant est le meilleur moyen pour moi de la faire rager. Ses remarques me font rire, ses manières de me regarder de haut aussi. Je l'observe, sans trop l'observer et.. discrètement disons. Ses vêtements doivent venir des plus grandes boutiques de la ville, ou alors elle les fait venir de très loin. Pauvre fille. Parfois j'éprouve même de la pitié pour elle. Heureusement qu'Atheyna n'est pas comme ça. Elle aime la mode et s'habiller correctement mais elle n'est pas si hautaine. Et c'est pour cela que je l'aime aussi, parmi touts les autres petits détails qui font que j'ai craqué.
Bref. Je mords une nouvelle fois dans mon hamburger avec la hargne d'un tyran puis je prends ma boisson et avale un grand coup de coca cola. Le gobelet est presque vide et je ris intérieurement du bruit que ma paille fait avec l'air et le peu de glaçon qu'il reste. Je pari que tout ça dégoûte encore plus la pauvre coincée en face de moi. Je la regarde avec un air tout à fait innocent et sain et je hausse les épaules. Eh quoi ?! Ce n'est pas ma faute.
Mais plus je regarde cette peste infâme et plus j'éprouve un certain haut-le-cœur. Non pas qu'elle me donne envie de vomir, quoique, non, je rigole. Mais ce visage, ces traits du visages, toutes ces petites mimiques me disent quelques chose, me troue le ventre et ma mémoire. Je n'arrive pas à savoir pourquoi son visage me dit quelque chose. C'est énervant de ne pas se souvenir. J'ai l'impression d'avoir un trou, d'avoir été frappé derrière la tête et de tout avoir oublier jusqu'à maintenant. Mais d'ailleurs, pourquoi cette fille ferait partie de ma vie ? C'est vrai ça, pourquoi est-ce que j'ai l'impression de la connaître par cœur ? Je me prends parfois à savoir ce qu'elle va dire avant qu'elle ne le dise, je sais qu'elle va hausser un sourcil quand je dirai ça.. C'est étrange, si étrange ...
Un jour d'hiver. Il fait froid. Des petites perles blanches recouvrent nos maisons. Les cheminées fument et tout le monde parait énorme dans de gros blousons. Au parc, un petit couple, tout petit puisqu'il n'ont qu'environ quatre petites années se battent à coup de boules de neige. " Hey pomme d'amour ! " crie le petit garçon à l'égard de son amie, " Tu as froid ? " , dit-il en s'approchant de la petite qui grelotte. Il enlève son écharpe et la lui enroule autour du coup. Elle est trempée la petite. Et lui aussi d'ailleurs. Moufle dans la moufle ils rentrent donc, afin de se réchauffer dans un bon bain chaud et un merveilleux chocolat.
"Pomme d'amour ... " Ce mot s'échappa de mes lèvres sans que je ne puisse rien faire. J'étais là, en face d'Aphrodisia et toutes mes questions prenait sens petit à petit. Je ne pouvais y croire, je ne voulais y croire. De toute manière, jamais cette pauvre fille ne pourrait être mon amour d'enfance. Elle était bien trop .. Trop tout. trop riche, trop caractérielle, trop ! J'effaçai tout ça de ma mémoire un petit moment, juste tout petit car je savais pertinemment qu'il reviendrait me hanter dans deux minutes, et je croquais à nouveau dans mon sandwich en écoutant Aphrodisia s'énerver. Je lui sourit et sortit simplement une chose, qui l'énerverai surement : " Moi, au moins, je ne suis pas en procédure de divorce. " Simple, net précis et.. efficace?
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• Aphrodisia&Edward ▬ « Le fast-food a du bon, finalement. »
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