• Aphrodisia&Connor ▬ « Hait moi, autant que je t'aime. »
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S. Aphrodisia Jeckins
admin' ♠ ▬ « Et le lion s'éprit de l'agneau … »
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♦ âge du perso : 24,5 year old ♦ fonction : Chirurgienne interne section plastique - mère de Caelan. ♦ situation amoureuse : En procédure de divorce avec Connor - contre son gré -
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Sujet: • Aphrodisia&Connor ▬ « Hait moi, autant que je t'aime. » Mar 15 Juin - 15:34
DISPUTE HARMONIEUSE… ___________________
MONTRE MOI TA FACON DE ME DETESTER ET JE TE REPONDERAIS AVEC LA FORCE DE MON AMOUR CAR C‘EST LA SEULE CHOSE QUI ME RESTE A FAIRE POUR VOUS PROTEGER. ALORS HAIT MOI MON AMOUR, CAR JE PREFERE CELA A L‘IGNORANCE.
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Savait-vous que quand quelqu’un d’aussi populaire, qu’elle était, que le moindre geste était connu du grand public. Bon nombre aurait préférer ne jamais être célèbre alors que d’autre rêvait justement de cela. Aphrodisia était une de ses personnes célèbre, qu’on connaissait presque tout à Charleston, où elle aurait préférer ne pas l’être. Car comment vivre une journée calme quand tous Charleston savait que vous allez vous divorcer, à l’homme dont vous aimer mais que le destin en avait décider autrement ? Impossible, et cela l’adulte était tout a fait d’accord, surtout que les gens de Charleston ne cachaient pas qu’ils savaient, rendant encore plus triste A car elle savait qu’elle ne pourra jamais passer inaperçu envers eux. C’est surement pourquoi, elle gardait un masque ne laissant passer aucun émotions, montrant que tout allait bien, alors qu’au fond de son être, elle savait que tout n’allait pas bien. Sa vie se brisait peu a peu où elle ne pouvait rien faire pour changer cela car si il y avait une chose, au monde qu’elle aimait au point de souffrir, était sa famille.
Famille qui allait être protégé quand elle saura entièrement divorcer de son époux, car le chantage dont lui avait fait part son ex - et pire cauchemar - résumait a cela. Alors oui, la jeune femme préférant souffrir que voir sa famille souffrir par sa faute, car c’était son rôle d’adulte, de femme et de mère de protéger sa famille. Et cela, personne ne le savait et ne le saura jamais.
THE WOOLDEN’S COFFEE » 10h00
C’était une de ses nouvelles journées où la chance changeait de destinataire, comme A qui changeait de vêtement. Cette dernière s’était réveiller seule et calmement après un doux rêve qui s’était transformer peu a peu en un cauchemar. Voila une chose, qui revenait souvent : les cauchemars où elle savait que la seule chose pour les faire disparaitre, était d’ouvrir les yeux sur le monde brisé qui était le sien, et de s’occuper. C’était ainsi, qu’elle était sortie du lit pour allez ensuite, dans sa salle de bain adjacent à sa chambre, pour se préparer. Il ne lui fallut qu’une demie heure pour être prête et avoir manger son petit déjeuné où le silence de chez elle, lui confirma ce qu’elle douta : elle était seule. Jetant un regard à l’horloge, un fin sourire apparut sur son visage, quand la pensée qu’elle allait revoir une personne qu’elle aimait beaucoup apparaissait. Fourrant ses clés dans son sac, et portant une veste en cuir noire, c’est ainsi que Charleston accueillit, une demi-heure plus tard, Aphrodisia Jeckins au Wooden’s coffee, endroit où elle allait prendre son café avec son meilleur ami de toujours : Noah Wilson. Noah qui lui servait aussi d’avocat, même si ce dernier faisait tout pour la rendre coupable et lui faire cracher le morceau, car il n’était pas idiot : quelque chose ou quelqu’un lui faisait du chantage, car il savait mieux que quiconque - Atheyna comprise - qu’Aphrodisia était heureuse avec Connor et que le divorce ne devait pas être. C’est ainsi, que déroula sa matinée, entre son meilleur ami qui essayait de lui faire cracher le morceau et elle, qui changeait de discutions a chaque fois, savant qu’un jour au l’autre, Noah aura ce qu’il voulait. Il n’y avait pas plus déterminé que lui, vu la lueur qui avait illuminé son visage quand il lui parlait et cherchait a comprendre, pourquoi elle divorçait à l’homme qui lui était destiné. Et pour son plus grand malheur du monde, elle se dit que seul la patience la perdra car, Aphrodisia sentait peu a peu, ses forces disparaitre - chose qu’elle n’avait pas connu depuis le collège -, pour son plus grand malheur.
HOPITAL » 14h58
Hôpital. Lieu au couleur blanchâtre, où seul les personnes étant blessé, ou encore la vie et la mort, ou voulant changer quelque chose dans leur corps, s’y égarait. Ce lieu n’était surement pas le lieux que les habitants de Charleston aimait, vu que pour la plupart du temps, certain y restaient pour de bon. L’hôpital était aussi, le signe de l’espoir car même si Charleston n’était pas une grande ville comme New York, elle avait de bon chirurgien qui feront tout ce qui est, pour rendre votre vie meilleure. C’est ainsi qu’Aphrodisia avait découvert que le monde médicale pourrait être bien, et lui servir à racheter sa faute. A s’était toujours dit, qu’elle devait une dette à l’hôpital car sans cela, elle ne serait plus de ce monde. Alors, elle avait fait des études médicale, même si aucun de sa famille comprenait son choix, et elle s’en fichait éperdument, car elle aimait son boulot. Un boulot où l’ennui n’y était pas où le calme y était maitre dans les corps qui faisaient ce métier. C’est ainsi donc, que Charleston découvrit Aphrodisia comme chirurgienne interne, section plastique, et non directrice d’une grande entreprise comme toute sa famille étaient passé avant elle. Et puis, la blouse blanche lui allait a ravir, fut les regards désireux que certains passant lui adressait même si ils savaient tous, qu’elle était mariée et heureuse, ayant trouver son âme sœur. Ame sœur qui la haïssait a présent, le rappelons le, où elle soupira quand elle sentit que les pensées noires venaient à son encontre. Heureusement pour elle, autre chose la fit sortir de cela, quand elle entendit une voix masculine l’appeler, alors qu’elle marchait d’un pas sur et certain, vers une chambre voulant prendre des nouvelles d’un énième passant qui était venu la voir, pour corriger quelque chose. C’était surement pour cette raison qu’elle aimait son métier, car corriger quelque chose du corps humain, d’un humain, lui disait qu’elle avait rendu heureux d’autre qu’elle. Certes, elle aurait put allez dans d’autre section, telle la neurologie ou encore le service cardiologue mais c’était le plastique, qu’elle aimait où elle se débrouillant a merveille. Tournant la tête pour voir qui l’avait appeler, un sourire se dessina quand elle reconnu, un autre des chirurgien interne qui était charger, comme elle, de former des nouveaux. Nouveaux qui pour certains était désespérant, au point qu’elle avait eu envie de les gifler voir les tuer, pour la non connaissance qu’ils avaient. L’adulte ne fut donc pas surprise, quand elle entendu la conversation que son collègue voulait lui parler.
MARK — Je me demande pourquoi, le patron les a engager comme chirurgien interne. Franchement, il n’y a pas plus bête qu’eux. poussa-t-il avec un soupire de lassitude, montrant bien qu’il était a bout. Se retenant de rire, elle lui répondit, tout en marchant dans l’un des nombreux couloirs de l’hôpital dont il s travaillaient tous les deux. APHRODISIA — Qu‘est-ce qu‘il t‘ont fait, aujourd‘hui ? Seul sont sourire amusé disait qu’elle se retenait de rire où elle se dit, qu’elle avait eu beaucoup de chance, de ne pas avoir les chirurgiens interne qu’avait Mark. MARK — Tu ne devinera jamais ils m’ont fait quoi. Mark, habitué au drame, lui raconta ce que ses pauvres chirurgiens internes lui avaient osaient faire, pendant la journée. L’un ne sait pas faire la différence entre de la morphine et de la vitamine C - alors que c’est écrit sur l’emballage -. Y en a un, qui m’a coupée avec un Scalpel - heureusement pour moi, c’était un nouveau et non contaminé-. Mark lui jeta alors un regard suppliant, même si elle ne vit plus qu‘elle entendu, une des phrases qu‘elle entendait souvent, faisant référence à une phrase dragueuse, où le sous-entendu se laissaient sentir. D’ailleurs, tu ne pourra pas me soigner ça ? Fait-il en montrant sa main où elle garda pour elle, que le scalpel l’avait complètement rater, vu la taille de sa blessure. APHRODISIA — Je ne crois pas, qu’il faut une grande opération pour le petit bout de chair qu’il t’ont enlever, Mark. Crut bon de lui signaler, alors que la blessure avait la taille d’un point. Très petite au point qu’elle ne l’avait pas vu. Lui adressant un sourire, elle arriva devant la chambre qu’elle voulait allez, montrant par là, au chirurgien interne, que la discutions était close.
Oui, la blouse blanche lui allait à merveille, vu les sous entendu que pas mal crut bon de lui dire, alors qu’ils savaient tous qu’elle était mariée - car qui ne connaissait pas son mariage en ville ? -. Elle poussa un soupire alors qu’un sourire professionnelle s’installa sur son visage quand elle vit son patient, se disant que les sous-entendu allaient venir en grand nombre depuis l’annonce de son divorce avec Connor. Divorce qui la rendit malheureuse sans que personne ne le sachent - étant une bonne comédienne - où elle attendait avec une grande patience dissimuler des yeux de tous, la fin de son service, sans penser une seule seconde qu’elle aurait mieux fallut qu’elle fasse des heures supplémentaires aujourd’hui, vu la dispute qui n’allait pas tarder à venir.
MANOIR JECKINS - salle de musique » 16h25
Si il y avais bien une chose, qu’Aphrodisia Jeckins appréciait au plus haut point - après sa famille, ses amis et sont travail - s’était le violon. Etant née d’une famille où l’art devait être inclus dans l’éducation des héritiers, la jeune femme avait choisit la musique, car pour elle, seul cela la réconfortait. Elle trouvait la peinture superficielle, et le dessin moqueurs - a part les dessins de sa fille, il valait de soi qu’elle les adoraient -, elle avait trouver en la musique, l’art qui la protégeait contre le monde qui la détruisait chaque jour. Et en bonne mère, elle avait donner son don pour la musique à sa fille, Caelan, âgée de sept ans. On peut dire que de ne plus toucher un seul instrument depuis des années, vous ferra perdre ce don que vous avez apprécier et garder toute votre enfance et votre adolescence. Et pourtant, ce ne fut pas le cas pour Aphrodisia, n’ayant jamais retoucher le violon depuis ses dix neuf ans - et elle en avait vingt quatre et demie aujourd’hui -. Jouer d’un instrument, a l’air simple mais quand il s’agit d’un instrument aussi pur, que le violon, soyez sur que même le plus doué des hommes, n’arrivera pas à jouer une mélodie harmonieuse le premier coup. Elle-même avait du apprendre sans relâche, pour être qu’un avec le violon, où la seule manière où A avait fait surgir une mélodie gracieuse de son instrument, était quand elle était calme et que personne ne la dérangeait. Encore une chose qu’elle détestait dans la vie : être déranger. Bon nombre vous dira, que commettre ce crime - parce que c’en était un - vous enverra directement sous terre, si les yeux d’A avait été des revolvers, vous saurez mort à la seconde même où vous avez fait du bruit. C’est surement pour cette raison, qu’A était rarement déranger, sauf quand il s’agissait de son travail, car travailler à l’hôpital n’était pas ennuyeux du tout, au point que vous n’avez aucune pause pendant la journée. C’est surement cette raison, pour laquelle, Aphrodisia était chez elle et non à l’hôpital, ayant finit ses quelques heures de travail, étant du matin.
Aphrodisia avait donner daigner enlever sa blouse blanche, pour faire ressortir ses vêtements que sa cousine Atheyna avait créer pour elle - étant la première fan des collections que sa cousine faisait - et qu’elle avait enlever ses chaussures à talon quand elle avait poser ses pieds sur le seuil de sa maison. Maison qui se trouva être un Manoir, silencieux prouvant que personne n’était là - pour sa plus grande joie d’ailleurs, ne voulant pas se disputer avec son mari -. Un voile de tristesse traversa ses iris chocolat à cette pensée, où elle partit vers l’une des salles où elle allait que pour écouter sa fille : la salle de musique. Salle de musique qui regroupait un piano a queue, ainsi que deux violons. Violon qui appartenait à Caelan et Aphrodisia, même si cette dernière ne l’avait pas toucher depuis des années. Elle ne sut pourquoi, ses pas l’avaient emmener là, mais un sourire franchisa ses lèvres quand ses mains toucha le couvercle qui cacha son instrument. Instrument qui fut dans son champs de vision, où elle resta un moment sans bouger. Certes, A n’avait pas peur car elle savait qu’un don comme le sien, ne se perdait pas avec l’âge, mais elle trouvait toujours qu’elle devait attendre un moment avant de prendre son instrument, permettant ainsi de faire qu’un avec l’instrument qui avait toute son attention. Retirant ainsi l’objet de sa convoitise, un sourire se dessina sur son visage alors qu’elle le portait sur son épaule.
Quiconque l’aurait vu dans ce moment là, vous dira pourquoi, on l’a qualifiait d’ange. Car seul avec son instrument, son masque qu’elle porta depuis toujours - se protégeant ainsi - disparaissait, pour un visage calme et gracieux. Seul un sourire se dessinait sur ses lèvres alors que ses yeux se fermèrent, laissant l’archet faire l’amour avec les cordes du violon, créant ainsi une mélodie douce et harmonieuse. Elle sentit directement le calme rependre dans son être où tous ses soucis disparaissaient, un a un. Seule la musique raisonna dans la pièce, alors que la jeune femme trouva le réconfort qui lui avait tant manquée. Aphrodisia aimait jouer et cela se voyait par la musique qui laissa exprimer ses émotions les plus profonde. Tristesse, violence, la musique partit dans une mélodie que seul Aphrodisia connaissait les touches, laissant ainsi libre à ses pensées qui partirent une a une, tant la musique la protégeait d’elles. Aphrodisia ne sut combien de temps elle jouait, peut être une demie heure voir une heure - c’était toujours ainsi, le temps passait extrêmement vite quand elle jouait - mais elle sut que la fin allait bientôt finir quand un son désagréable se fit entendre. Son qui n’avait rien de gracieux et de reposant et qui venait briser le silence qu’elle avait apprécier. Continuant sur sa lancée, où elle chassa la lourde colère qui monta en elle, comme toute les fois que quelqu’un la dérangeait. Mais la dérangée dans ce moment là, était surement la pire chose que quelqu’un pouvait lui faire, faire, où le grimacement de la porte lui confirma ce qu’elle avait pensée : Connor cherchait quelque chose ou la cherchait, vu le bruit assourdissement qu’il avait fait depuis de nombreuses minutes. Un bruit encore plus atroce se fit entendre dans la salle de musique quand l’archet fit un mauvais mouvement, faisant briser la mélodie qui avait prit lieu, dans la pièce quelque minutes plus tôt.
Se retenant avec force pour ne pas tuer son mari - bientôt ex -, elle poussa un soupire de mécontentement alors qu’elle ouvrait les yeux, brisant ainsi l’image ange et reposante qu’elle avait prit, pour laisser paraitre celle qu’on connaissait tous. Ses yeux s’ouvrirent donc sur ce monde qui l’anéantissait peu a peu, laissant les pensées noires se bousculer dans sa vie, alors que ses iris rencontrèrent celle de Connor, lui disait que le calme qui avait régner dans la pièce, allait disparaitre pour laisser entrer une dispute. Elle eut la vague pensée, que la chance lui avait sourit, car les deux ne se disputaient jamais assez fort quand leur fille était présente. Fille qui devaient être à l’école, vu qu’elle ne l’avait pas vue quand elle était entrée chez elle. Aphrodisia ne prit même pas la peine, de montrer son mécontentement, où elle le fusilla du regard. Même regard qui lui fut adresser en retour où elle se permit de répondre la première, vu que c’était elle qui était dérangée.
APHRODISIA — Qu’est-ce que tu veux ? dit-elle le fusillant encore du regard, lui montrant que sa venue n’était pas apprécier. Fermant les yeux, elle se tourna quelque secondes pour poser son violon et son archet dans sa boite, pour plus de sécurité car même si ils ne sont jamais venu au main - préférant d’autre corps a corps - elle sut que la dispute allait être grande. A se permit donc d’ajouter quelque seconde, alors que ses pas partirent vers le piano où elle avait poser sa bouteille d’eau qu’A avait prise avant d’allez dans la salle de musique. Je n’ai pas toute ma journée alors dis moi ce que tu veux, et fiche le camps. A chassa le sentiment de tristesse qui venait apparaitre, avant de retirer le bouchon de sa bouteille d’eau, pour en boire quelque gorgée de son contenu.
Si elle avait su, qu’elle finirait par ce disputer avec Connor, a peine quelque minutes après son boulot, elle se dit qu’elle aurait mieux fait de faire des heures supplémentaires ou d’allez chez un ami pour passer le temps. Soupirant, elle se dit que le monde lui en voulait beaucoup, vu a quel point ses journées étaient banale, dangereuse et destructrice - pour son cœur -.
Connor M. Jeckins
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Sujet: Re: • Aphrodisia&Connor ▬ « Hait moi, autant que je t'aime. » Mer 16 Juin - 17:08
« Et ne voyais-tu pas dans mes emportements, Que mon cœur démentait ma bouche à tout moment ? »
C'est drôle de voir comme une simple phrase peut changer une vie. Une proposition de mariage. La réponse à un million de dollar d'un jeu télévisé. L'insulte faite à son patron. La dispute avec son fils. La demande d'achat de préservatif sur la liste de course. Tant de simples petites phrases qui peuvent influer sur l'existence de quelqu'un. Certaines sont positives, d'autres peuvent vous gâcher l'existence. Prenons par exemple la révélation faite par Aphrodisia Jeckins il y a quelques semaines à son mari, Connor. En couple depuis huit ans, parent d'une petite fille depuis presque autant de temps, aucune ombre au tableau. Tout semblait leur sourire. Ils étaient la petite famille parfaite. Jusqu'à cette fameuse révélation. Cette toute petite phrase qui allait détruire les Jeckins. Vous êtes curieux de savoir de quoi il s'agit n'est-ce pas ? La curiosité est un vilain défaut. Mais tout le monde a ses défauts. Personne ne peut vous en vouloir. Pour en revenir à ce qui a provoqué la rupture d'une famille, réfléchissez un instant à ce qui peut bien y contribuer. Allez. Réfléchissez. Vous y êtes ? C'est bien. Vous êtes donc tous arrivés à la conclusion que l'adultère était la raison la plus flagrante pour la destruction de cette famille. Si ce n'est pas le cas, vous pouvez arrêter la réflexion, vous êtes inutiles. Sortez. Quant à notre histoire, un mystère reste entier : qui a trompé qui ? Aphrodisia annonce-t-elle qu'elle est au courant de la liaison qu'a pu avoir Connor selon elle ? Ou est-ce plutôt elle même qui annonce avoir trompé son époux ? Là, vous ne pouvez pas deviner. Découvrez donc la simple petite phrase qui vient de briser la famille Jeckins : « J'ai couché avec ton frère. ».
The Woolden's Coffee – 14h28
C'est l'esprit envahie de tant de questions que Connor entra dans son café fétiche. Il avait rendez vous avec son éditeur d'ici quelques minutes pour lui parler de son dernier livre écrit. Il l'avait fini la veille, il était parfait. Selon lui, il n'avait besoin d'aucune retouche. Mais son éditeur ne serait surement pas du même avis vu comme il était pointilleux. Déjà que Connor l'était extrêmement, imaginez son boss. Ce dernier ouvrage avait été écrit en deux semaines. Il l'avait débuté après la dispute et la ''révélation'' de sa femme concernant sa tromperie. Autant dire que cet événement l'avait inspiré. Peut être abordait il le thème de l'adultère, de la trahison, ou de tout autre sujet du même genre. Parfait, c'était donc ainsi que l'homme voyait son futur best-seller. Le seul truc qui manquait était le titre, et surtout l'avis d'Aphrodisia. Depuis qu'il avait commencé à écrire, Connor avait un rituel. Lorsqu'il terminait son roman, sa femme était la première à le lire, et c'est à elle que revenait la tache de lui trouver un titre. Son rituel semblait être brisé. Tout comme l'était son mariage. Son mariage... Une de plus grande fierté de sa vie réduit en miette pour une histoire de sexe. Comme c'est triste.
En général quand on vous annonce une telle nouvelle, celle d'une tromperie, on réagit de façon excessive. On crie, on pleure, on casse des meubles. Pour Connor ça avait été différent. Les circonstances l'étaient elles aussi. Car c'est avec son frère que la femme de C avait décidé de le tromper. Son frère. Soit la seule personne au monde qu'il détestait, en plus de son père. En parlant de lui, vous voulez savoir la raison de cette haine ? Il y a plus de dix ans, avant que Connor vienne vivre aux États Unis, ses parents avaient divorcé après que son père ait trompé sa mère. Cette traitrise avait tué sa famille et l'image que le fils avait pour son père. Vous comprenez donc pourquoi le jeune auteur avait été si affecté par la propre trahison de sa femme avec un membre de sa famille. Le plus ironique, c'est que lui même était persuadé qu'il serait le premier à aller voir ailleurs. C'était dans ses gênes. Il ressemblait déjà tellement à son paternel : même physique, même caractère, même métier, même passion. La caractéristique d'époux infidèle semblait devoir s'ajouter à toutes ces ressemblances. Et pourtant. Il avait lutté, résisté, failli succomber, mais au final il avait toujours tellement aimé sa femme et sa fille qu'il ne leur avait jamais fait de mal. Quel homme exemplaire n'est-ce pas ? Après qu'il eut appris ce qu'Aphrodisia lui cachait, on peut imaginer que la première réaction de Connor serait la colère, l'envie de meurtre, ou toute autre réaction tintée de violence. Et bien... vous n'êtes pas loin. Après s'être disputé, après avoir crié, après avoir tout fait pour comprendre, il était parti. Il avait claqué la porte et s'était enfui pendant quelques jours. C'est durant ces quelques jours qu'il avait trouvé l'inspiration et qu'il avait écrit son roman. Du moins le début. C'était son échappatoire. Son purgatoire. Rien de tel que l'écriture pour vous calmer un homme. Et ça avait marché. Lorsqu'il était revenu, il était plus serein, prêt à affronter la réalité et à comprendre ce qui avait poussé sa femme tant aimée à agir ainsi. Mais il avait beau lui demander, elle ne trouvait pas d'explication valable. C'est pourquoi toutes les conversations finissaient en dispute. Quand l'un ouvrait la bouche, peu importe en était la raison, la discussion déviait tellement qu'ils se disputaient. C'était systématique. À l'exception des fois où ils faisaient face à leur fille, Caelan. Ils avaient beau toujours se crier dessus, ils étaient d'accord sur un point : la petite ne devait pas en souffrir, il fallait continuer à jouer au couple parfait devant elle.
S'avançant vers le centre du café, Connor fut sorti de ses pensées concernant sa famille par son éditeur qui se trouvait déjà là. Vu comme sa tasse était déjà bien vide, il semblerait qu'il attendait depuis longtemps. L'auteur était pourtant lui même en avance. Son ami était donc tellement pressé d'avoir une discussion avec sa poule aux œufs d'or qu'il était arrivé si tôt ? Car il fallait bien l'avouer, ces 5 dernières années, Connor était devenu l'écrivain le plus célèbre, le plus lu, et le plus rentable du pays, voire du monde. Auteur de trois best seller, tout ce qui portait son nom se transformait en or. Connor Jeckins avait dépassé son père en terme de gloire dans la littérature. Rien d'autre ne pouvait lui faire plus plaisir que de surpasser son traitre de père.
EDITEUR — « Connor, j'ai failli attendre. » Dit-il à son intention lorsqu'il se dirigea vers sa table. « Content de te voir l'ami. » Un peu qu'il était content. Si le rendez vous se déroulait comme il l'avait prévu, d'ici quelques minutes il aurait déjà les projets de sa mine d'or et pourrait déjà contacter les imprimeurs pour faire chauffer les planches. Il aura d'ailleurs peut être à la faire plus tôt que prévu... CONNOR — « Je suis en avance. Ça sert à rien que tu arrives trente minutes plus tôt. » Répondit le jeune homme calmement en venant s'asseoir à sa table. « Bref. T'as reçu la première ébauche du bouquin ? » Demanda-t-il juste avant d'appeler la serveur pour lui demander un café crème qu'elle apporta presque aussitôt. On ne fait pas attendre Connor Jeckins. EDITEUR — « Quoi ? Quel bouquin ? » Il semblait vraiment sous le choc. Comme si on venait de lui annoncer que la lune était tombée et que personne n'avait pensé à le prévenir. « T'as déjà fini un bouquin ? Je croyais qu'on était là pour parler de tes futurs projets. Pas de ceux que tu as déjà terminé dans mon dos. » Expliqua-t-il en parlant à une vitesse impressionnante. Il avait été pris de court et ne savait pas quoi répondre à son interlocuteur. CONNOR — « Je pensais t'en avoir parlé. » Mais il avait été tellement perturbé ces derniers temps qu'il ne savait plus réellement ce qu'il faisait. C'est ça d'avoir tant de questions en tête et d'idées qui filent dans son esprit. « J'ai étrangement été très inspiré récemment... » Ça a peut être un rapport avec une certaine annonce de divorce dont tout le monde dans la ville a déjà entendu parler. « Je t'ai envoyé un mail avec le bouquin en pièce jointe. » Encore une fois, encore fallait-il qu'il se souvienne vraiment de tout ce qu'il faisait ou ne faisait pas en ce moment. EDITEUR — « J'ai reçu aucun mail. » dit-il en vérifiant sa boite de réception grâce à son téléphone portable. La magie de la technologie. CONNOR — « Tu es sûr ? ». Il alla lui même vérifier sur son portable les mails qu'il avait envoyé dernièrement, et en effet, aucun ne contenant son roman sans nom. « Mh.. j'ai dû oublier de le faire finalement. Je te l'envoie dès que je rentre chez moi. » Et c'est ce qu'il comptait faire, aussitôt qu'il aurait raconté sa vie à son ami, et en quoi elle avait influé sur l'élaboration d'un livre en si peu de temps. La malheur des uns fait le bonheur des autres.
C'est pendant un peu plus d'une heure que les deux hommes avaient parlé ensemble de leur vie, et de leurs projets. Projet d'écriture pour l'un, projet de vente pour l'autre. Ils se complétaient bien et avaient le même état d'esprit. C'est surement pour ça qu'en plus du caractère professionnel de leur relation, les deux hommes étaient en plus amis et confidents. Toutes leurs rencontrent ne concernaient pas que le boulot. Il n'était pas rare qu'ils se voient pour boire un coup dans un bar et draguer les filles sans chercher à rien faire d'autre que de prouver qu'ils pouvaient encore charmer, même s'ils étaient tout les deux en couple et engagés dans de vraies relations. Enfin... ce n'était vrai que pour l'un d'eux désormais.
Devant le manoir Jeckins – 15h53
Après avoir réalisé qu'il n'avait pas envoyé son livre comme promis, Connor rentra au manoir pour chercher son ordinateur portable, où se trouvait le dossier. À cette heure ci, il était probable que la maison soit vide. À vrai dire, il espérait. Seulement, l'horloge avançait vite. Connor n'aurait probablement pas le temps d'aller chercher Caelan à l'école un peu plus tard dans la journée. Il lui avait dit ce matin qu'il le ferait pourtant, mais elle comprendrait. Le père de la petite n'était pas du genre à revenir sur ses paroles fréquemment. Une fois de temps en temps, elle le comprenait. Du haut de ses sept ans, Caelan était déjà très intelligente. Elle avait du hériter ça de son père, qui possédait le QI d'un génie sans que quiconque soit au courant. Lorsque les gens l'apprennent, il est difficile de se justifier sur ses choix de métier. « Mais avec un QI pareil, pourquoi tu n'as pas fait des études pour devenir scientifique ? ». Réponse ? « Je déteste les sciences. ». La littérature et les clubs sont tellement plus intéressants pour Connor. Ce qui n'empêche qu'il peut résoudre n'importe quel problème de maths sans le moindre effort, et que les lois de la physique n'ont aucun secret pour lui. Ces sciences n'ont beau pas l'intéresser, le jeune homme est assez curieux pour les avoir étudiés par lui même. Tout ça pour dire que les gênes avaient été du côté de Caelan et que la jeune fille était assez intelligente pour comprendre que son père pouvait revenir sur ses paroles. Mais il fallait tout de même que quelqu'un aille la chercher pour lui et la ramener au manoir. Par chance, l'auteur de génie comptait pour meilleure amie – outre Atheyna, cousine d'Aphoridisia qui faisait tout pour faire annuler leur divorce – l'institutrice de sa fille. Un mot de lui, et elle pourrait surement se charger Caelan. Arrivant devant son chez lui, Connor sortit son portable et appela donc Jeensen.
CONNOR — « Jeensen ? Excuse moi de te déranger, j'ai un empêchement cette après midi, tu pourrais ramener Caelan au manoir après l'école s'il te plait ? » Il sortit les clés de sa poche au même moment afin d'ouvrir la porte d'entrée. Son interlocutrice posa une question, et sans réellement savoir la réponse, Connor reprit : « Non elle peut pas non plus. Enfin j'en sais rien. » Dit-il sans aucune certitude en refermant la porte derrière lui une fois rentré. « Tu peux me rendre ce service alors ? » Il avait dit ça sur un tel ton, qu'on ne pouvait rien lui refuser. Et ce n'était surtout pas elle qui arriverait à lui refuser quelque chose un jour. « Merci. Je te revaudrai ça. » C'est ce qu'il faisait toujours.
Ça sert à ça les amis. S'entraider dans n'importe quelle situation. Se rendre des services. En espérer d'autres en retour. L'amitié est complémentaire. On n'a rien sans rien. Comme dans toutes les relations à vrai dire. En ce moment, disons depuis qu'il avait demandé le divorce, les personnes sur qui Connor comptait le plus étaient ses amis. C'était eux qui le soutenaient dans son choix ou lui disaient que c'était la pire connerie de sa vie. Bizarrement, tout le monde lui disait que c'était une erreur. Sauf les très rares personnes à qui il avait expliqué les raisons de leur séparation. Et contre toute attente, ce n'était pas ses plus proches amis qui étaient au courant. Allez savoir pourquoi. Bref. Une fois dans la maison, il était temps de se mettre à chercher le fameux ordinateur qui le retardait tant dans sa journée.
Manoir Jeckins – 16h25
Pourquoi fallait il que Connor soit aussi perturbé en ce moment ? S'il était lui même, il aurait vraiment pensé à envoyer ce mail. Remarquez, s'il était lui même il n'aurait surement jamais écrit ce bouquin. Un mal pour un bien comme on dit. Même si là, il aurait surement préféré que ce « mal » ne soit jamais arrivé. Qu'est ce qui est le plus difficile ? Vivre dans l'ignorance et passer pour un imbécile que sa femme trompe sans qu'il soit au courant ; ou savoir la vérité mais gâcher huit ans de relation ? Difficile comme choix, n'est ce pas ? Heureusement pour lui, Connor n'avait jamais eu à le faire. Il n'avait pas eu le choix, on l'avait mis devant le fait accompli. C'était peut être pas plus mal comme ça. Mais ça restait triste. Il avait été impuissant face à la situation. Il n'avait rien pu faire. Rien. Rien. Rien. Il ne pouvait pas arranger les choses.
Une fois à l'intérieur du manoir, Connor remarqua que les affaires de sa femme s'y trouvait. Elle devait donc se trouver quelque part dedans. Il pria intérieurement de ne pas la croiser et de vite trouver ce pour quoi il était. S'il la voyait, il se passerait plusieurs choses. Premièrement, ça lui briserait le cœur. À chaque fois qu'il la voyait il avait à la fois envie de l'embrasser et de la tuer pour lui avoir fait tant de mal. Deuxièmement, ils se disputeraient. Comme toujours à chaque fois qu'ils se retrouvaient seuls. Et troisièmement, il aurait à nouveau envie de fuir. Ce n'est pas forcément un acte lâche. Lorsqu'il l'avait fait la première fois, ça avait été la seule issue possible pour aller mieux. Il avait eu besoin d'air, de s'éloigner de sa vie quotidienne dont Aphrodisia faisait parti. Il n'aurait pas pu réfléchir posément à la situation s'il avait du faire face à des lieux ou des situations où il pouvait l'imaginer.
Au salon. C'est là bas que devait se trouver son ordinateur. C'est là bas qu'il l'avait laissé la dernière fois qu'il l'avait utilisé. Il en était certain. Et pourtant, il n'y était pas. Connor retourna toute la pièce. Tous les coussins, tous les meubles. L'homme vérifia en dessous de tout ce qui pouvait le cacher, mais il n'était pas là. Trente minutes. Il passa une demie heure à chercher, allant même jusqu'à vérifier dans toutes les autres pièces près du salon au cas où il perdrait vraiment l'esprit. Mais il n'avait pas rêvé, son ordinateur n'était plus là. Se dirigeant vers la salle de musique, dernier endroit où il n'avait pas regardé, il entendit le son d'un violon. C'était donc là que se cachait Aphrodisia. Dire qu'il ne l'avait pas entendu jouer depuis des années, et que c'était maintenant qu'ils divorçaient que Connor l'entendait à nouveau. La musique était une passion qu'ils partageaient tous les deux et qu'ils avaient transmis à leur fille qui jouait elle aussi du violon à merveille. Encore une fois, une histoire de gênes. Alors qu'il apparut dans l'encadrement de la porte, Connor n'eut même pas encore ouvert la bouche qu'il se fit attaquer verbalement.
APHRODISIA — « Qu'est ce que tu veux ? » dit-elle en le fusillant du regard. La conversation s'annonçait bien... Elle posa son violon et son archet après avoir parlé. C'était surement ce qu'il y avait de plus sûr pour l'instrument. « Je n'ai pas toute la journée alors dis moi ce que tu veux, et fiche le camp. » reprit-elle en débouchant une bouteille qu'elle avait pris au préalable en main. CONNOR — « Bien le bonjour à toi aussi. » dit-il avec sarcasme. Il avait l'impression que leur relation était revenue au source de leur rencontre. Les premières fois qu'ils s'étaient vus et que Connor avait tant lutté pour la faire succomber à ses charmes. Il avait d'ailleurs fini par réussir. Même si la finalité de l'histoire n'était pas des plus gaie vu la nature de leur relation en ce moment. « Qu'est ce que tu as fait de mon ordinateur portable ? Je l'ai laissé dans le salon hier soir, et il n'y est plus. » Jouant la carte de l'époux énervé lui aussi, Connor avait parlé avec une pointe de colère dans la voix. Elle lui avait tellement fait de coup bas récemment que ça ne faisait plus aucun doute pour lui, elle était fautive dans cette histoire de disparition.
Elle essayait surement de lui gâcher la vie encore un peu plus. Après tout, maintenant qu'elle est lancée, autant aller jusqu'au bout. Brisons lui le cœur, et brisons lui sa carrière d'écrivain aussi. C'est probablement ce à quoi elle pensait. Enfin, ça c'était l'idée de Connor. Car quand on savait vraiment tout ce qui se passait entre ces deux là, on aurait pu dire que ce qu'avait fait Aphrodisia était la plus belle preuve d'amour qui puisse exister. Cependant, personne ne savait la vérité. Tout le monde agissait aveuglément. Et surtout Connor.
S. Aphrodisia Jeckins
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♦ âge du perso : 24,5 year old ♦ fonction : Chirurgienne interne section plastique - mère de Caelan. ♦ situation amoureuse : En procédure de divorce avec Connor - contre son gré -
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Sujet: Re: • Aphrodisia&Connor ▬ « Hait moi, autant que je t'aime. » Jeu 17 Juin - 21:30
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« Ne crois-pas tout ce que je dis car ca serait comme si, ses huit années n‘ont pas exister. Ouvre les yeux, et ne regarde pas ce que tu veux voir. »
Avez-vous déjà imaginer, un seul instant, quel évènements auraient-vous voulu changer ? Si un génie aurait sortit d’une lampe et vous aurez donner comme vœux, de retourner dans le passé, quelle sera la chose que vous changerez ? Certaines personnes vous diront, qu’ils feront tout leur possible pour faire gagner au loto, leur famille pour pouvoir vivre heureux. D’autres passeront du temps avec une personne qui aurait disparu dans leur présent, et qu’ils leur manquerait beaucoup. D’autres enlèveront leur addiction au tabac ou à la drogue car c’était en partit a cause de cela, que leur vie n’était pas parfaite. Et il y a d’autre comme Aphrodisia Jeckins, qui si quelqu’un lui permettrait de revenir dans son passé, elle aurait changer une seule chose : son couple avec Daemon Taylor, personne qu’elle aurait voulu faire disparaitre d’un claquement de doigt, et qui sans lui, sa vie aurait parfaite. Malheureusement pour elle, aucun génie lui avait demander de faire des vœux, mais si il existait sur Terre, quelqu’un qui aurait put faire changer son passé, elle aurait donner tout leur du monde, pour y revenir et donner un passé sain, et non un passé lourd qu’elle cachait au point de mentir certain aspects de sa vie. Elle eut la vague pensée, que c’était peut être ce mystère - et son caractère fort - qui avait séduit Connor, et que sans son passé lourd, elle ne serait jamais en couple avec ce dernier. La vie était belle faite mais Aphrodisia se promit une chose : sa famille ne prendra pas les conséquences de son passé, si il revenait un jour.
Il y a quelque temps, son passé était revenu alors qu’elle aurait jurer que sa journée allait être parfaite. Passé au doux don de Daemon Taylor, qui au caractère rancunier et a la lueur déterminé, lui avait fait promettre une chose : l’enfer serait sa vie. Elle n’avait pas cru bon de se moquer de lui, croyant qu’il la taquinait juste. Ce fut quand il avait sortit une phrase qu’elle avait vu sa vie parfaite disparaitre. « Divorce avec ton mari ou voient ta famille souffrir. » Un dilemme dangereux mais elle avait vite fait son choix. Se sacrifier elle, était surement la plus belle preuve d’amour qu’elle aurait put donner à quelqu’un, mais pour elle, ce n’était que le rôle d’une épouse et d’une mère, de protéger sa famille. Alors, le plus naturellement du monde, elle avait reprit une de ses habitudes qu’elle avait chasser de son être quand elle avait commencer a sortir avec Connor : mentir très bien. Elle se rappelait très bien de ce moment là, qui avait été marquer sur son cœur, où chaque fois qu’elle s’en souvenait, elle se retenait de pleurer et de tout dire la vérité à Connor. Pleurer. Signe de faiblesse absolu dans sa famille, où après quelque punitions, s’était jurer de ne plus pleurer car elle préférait oublier ses émotions, que de décevoir sa famille. Famille qui maintenant, se prenait un malin plaisir de les décevoir et les envoyer au diable, quand l’occasion se présentait. Alors, le plus naturellement du monde, elle ferma les yeux, fermant ainsi ses émotions alors que les pensées noires revenaient dans son esprit lui montrant une fois encore, la phrase qui avait tout changer.
FLASH BACK » Salon du Manoir, deux semaines plus tôt
Quiconque aurait dit, que la journée d’aujourd’hui allait être parfaite. Le soleil brillait de mille feux, les enfants jouaient entre eux, certains couples s’embrassaient au pied d’un arbre au parc de la ville. Oui, la journée était parfaite et c’est surement pour cette raison, que personne n’imagina que le couple, le plus en vue de Charleston, alias Connor & Aphrodisia Jeckins, allait se divorcer. Seul l’un deux était au courant où Aphrodisia, assise sur l’un des canapé du salon blanc, faisait tout son possible pour rester calme, et non tout dire à son Mari. Mari qui arriva, parlant d’un sujet intéressant avec Caelan, en juger par les rires de l’enfant. Enfant qui remarqua la présence de sa mère d’un seul coup d’œil, envers de partir vers elle l’enlacer, leur rituel. Rituel qui n’alla pas jusqu’au bout, quand l’adulte après l’avoir enlacer, lui parla.
APHRODISIA — Caelan, est-ce que tu pourrais aller dans ta chambre s’il te plait ? J’ai a parler à ton père. Le sourire qu’elle adressa à Caelan fut assuré, même si au plus profond de son être, tout été bouleversé. Sa fille la regarda avec un sourire innocent ne se doutant pas que ses parents n’allait pas tarder à faire quelque chose, qu’aucun habitant de la famille imaginerons : divorcer. Après s’être assurée que Caelan était partit du salon, elle avait face à Connor, qui était rester debout devant l’échange et qui venait la rejoindre. Si il y avait une chose qui aurait put briser ses barrières, s’était bien les baiser de son mari. Ce fut pour cette raison, qu’elle tourna la tête au moment même où Connor allait l’embrasser, sous la surprise de ce dernier. Il faut qu’on parle. Une phrase type que quelque chose n’allait pas où elle reprit la parole quelque secondes, tournant autour du pot. Il faut que je t’avoue quelque chose. Baissant la tête, elle entendu les paroles de son mari où elle ferma les yeux, ne voulant pas entendre sa raison, lui dire de tout raconter à Connor, et non lui mentir comme elle allait le faire, d’un instant à un autre. CONNOR — Qu’est-ce qu’il y a ? Une main masculine allait entrer en contact avec la joue de la jeune femme. Jeune femme qui se leva, ne le regardant pas. Alors que ce dernier allait reprendre, elle se tourna et prenant son courage a deux mains, et sentant que son cœur allait se briser, elle menta, de la meilleure façon qu’il soit, savant son mari, allait la croire. APHRODISIA — J‘ai coucher avec ton frère.. Coucher avec son frère, était surement la pire chose qu‘elle aurait put faire, et cela Aphrodisia le savait et avait cru bon de mettre Spencer, l‘ainé des Jeckins, sur le sujet car aveugle par la haine, il n‘aurait pas vu ses manies comme quoi, elle mentait.
Et ce fut dans cette journée parfaite, qu’une petite fille âgée de sept ans, ayant la ressemblance d’Aphrodisia mais au caractère de Connor, entendit ses paroles se disputer au rez-de-chaussée. Une dispute violente qui s’était suivit par une porte claquée, lui fit comprendre que l’un de ses parents étaient partit. Et loin du bonheur des habitants de Charleston, une jeune femme avait vu sa vie se transformer en cauchemar, cachant ses larmes silencieuse aux yeux du monde, qui aurait vite apprit la nouvelle, le lendemain de l’échange.
FLASH-BACK TERMINE
A L’ENTREE DE L’HOPITAL » 14h00
Un souvenir. Une douleur au cœur. S’en était trop pour Aphrodisia qui était occupé a rangée un quelconque dossier dans un énième classeur. Elle fit la seule chose possible, dans ses moments là : aller dans les vestiaires pour chercher quelque chose qui l’aurait calmer. Partant d’un pas serein vers les vestiaires, une pensée lui fit rappeler, que ce qu’elle avait vraiment besoin, se trouvait chez elle, dans la salle de musique. Pensée qu’elle chassa, quand elle ouvrit son cassier et qu’elle fouilla dans ses affaires. Un soupire de soulagement franchisa ses lèvres alors qu’une boite avait recouvert sa main, montrant à ses iris chocolat, une chose qu’elle aurait jamais imaginer : un paquet de cigarette. Jadis, Aphrodisia fumait, et naïve comme elle avait été, elle n’avait pas vit, que le monde qui était devant ses yeux, n’était pas un monde sain. C’était pourquoi, quand elle avait rompu avec Daemon, elle avait tout fait pour changer ses habitudes, et fumer était parti. Fumer une cigarette, lui donnait assez de force pour rester calme et même si cela, provoquerait quelque chose dans son corps, elle s’en fichait éperdument. Enlevant sa blouse et prenant paquet et briquet en main, la jeune femme était partit dehors, ne voulant pas être dérangée. Cigarette allumée en bouche, A s’était adosser à l’un des murets de l’hôpital, laissant la nicotine lui faire du bien. Elle avait reprit depuis peu, depuis deuxième semaine, jour où elle avait mentit à son mari, pour le protéger lui et leur fille. Et cela, personne ne savait qu’elle fumait dans son passé, et qu’elle refumait depuis peu, car seul la cigarette pouvait lui donner du courage, pour faire face à sa vie. Vie qui était un véritable enfer, où elle pria quelconque saint et dieu lui-même, qu’elle ne verra pas Connor en rentrant de chez elle, car même si elle l’aimait plus que sa propre vie, elle ne pourrait pas faire face, a une énième dispute surtout, en sachant que si l’odeur de la cigarette n’aurait pas partit, son mari lui en voudrait aussi pour cela.
Seule au monde, quiconque l’aurait vu, aurait été surpris, de voir son masque disparaitre, laissant une grande tristesse à la place, laissant la fumée sortir de ses lèvres. Elle aurait put être un ange déchu, a cet instant présent, mais seul le soleil qui brillait dans le ciel, ainsi que le vent qui enlevant l’halo de fumée qui sortait de sa bouche auraient été témoin, de la chute d’Aphrodisia Jeckins, elle qui possédait une vie que beaucoup de monde, aurait envier d’avoir.
MANOIR JECKINS - salon » 15h40
Après avoir consumé sa cigarette, Aphrodisia était repartit travailler, avant de repartir chez elle une heure et demie plus tard, ayant finit son service. Son métier était peut être une chose qu’elle adorait mais si il y avait une chose qu’elle aimait plus que son travail, s’était chez elle. Chez elle, qui se trouva être un Manoir, au bord d’une des plages de Charleston, où le silence lui fit comprendre que ni sa fille, et ni son mari n’était arrivé. Cela n’était guère une surprise, car l’un et l’autre était chacun à leur occupation, et vu la conversation du matin qu’elle avait eu avec sa fille, c’était Connor qui devait allez chercher Caelan, à l’école aujourd’hui. Elle ne sut comment et pourquoi, ses pas arrivèrent là, mais la blancheur et la beauté des meubles lui fit comprendre, qu’elle était au salon. Salon en ordre qui avait son lot de souvenirs heureux tout comme les pires souvenirs qui lui revenait souvent, en forme de cauchemar. Elle ne se prit pas la peine de garder une apparence calme, se laissant tombé dans l’un des canapé du salon, portant un regard posé sur chaque environ de la pièce. Si on lui demandait de se souvenir, de ce qu’elle avait put faire dans son salon, elle vous les dira sans hésiter. Ses iris voyagèrent de meuble en meuble, gardant ou pas les souvenirs qui s’y trouvait. Elle se rappelait la première fois, où elle s’était installer sur le canapé qui se trouvait en face d’elle. Canapé qui avait été victime des débats passionnel de Connor et d’Aphrodisia alors qu’ils revenaient de noce et qu’elle venait de lui dire, qu’elle était enceinte. Le tapis en forme d’ours, avait été l’un des moments où elle regardait sa fille - haut de ses deux ans - jouée sous le regard admiratifs de ses parents. C’était sur le canapé dont elle s’était installer, qu’elle lisait les livres de son mari, trouvant le titre pour le conclure. Les hauts meubles quand a eux, laissaient voir des centaines de photos heureux, d’eux ou de leur famille. L’un des fauteuils avait été victime d’une scène de chatouille entre la mère et la fille âgée de sept ans ou cette dernière lui avait demander quand elle était tombé amoureux de son père. Et A lui avait répondu, le plus simplement du monde et a voix basse - car son mari était à la pièce d’a côté - lui disant qu’elle était tombée amoureuse de Connor, quand ce dernier lui avait sourit, un des vrai sourire qu’il donnait au rare personnes de sa confiance. Des souvenirs heureux prenaient place dans chaque mètre carré de l’habitat, montrant qu’en huit ans de mariage tout avait été parfait. La seule chose qui lui rappela qu’il n’y avait pas eu que des souvenirs dans ce salon, fut le canapé qui se trouvait a quelque mètres de la bibliothèque. Canapé qui avait été le témoin du mensonge d’Aphrodisia à l’adresse de Connor, pour qu’ils divorce, alors que quelque minutes plus tard, ce canapé avait accueillit les larmes silencieuses qui étaient tombée sur son visage, si tourmenté.
Ce fut cela, qui fit sortir de sa rêverie, la chirurgienne, alors que les minutes passèrent. Un soupire fut le seul bruit que le salon connu, alors que la jeune femme se leva, partant vers un endroit où elle mettait les pieds que pour sa fille, ayant l’intention de faire une chose qu’elle avait arrêter depuis des années : jouer du violon. Poussant la porte de la salle de musique, un silence reposant l’accueillit alors que ses prunelles encrèrent vers l’emplacement où reposait son instrument pour partir le rejoindre, laissant la porte se refermer doucement, chassant ainsi les pensées noires qui l’avait suivit jusqu’à là.
MANOIR JECKINS - salle de musique » 16h26
Beaucoup disent que la musique adoucie les mœurs. Un moyen de détente après une dur charger de travail. D’autres vous diront que la musique, est qu’un passe temps, pour ne pas s’ennuyer dans la journée. Et peu de personne vous diront, que finalement la musique, ne sert pas a grand-chose. Chacun avait son avis, sa méthode pour se détendre mais pouvoir se détendre en étant dérangée, vous rendrais plus en colère que détendu. Et cela, ce n’est pas Aphrodisia Jeckins qui va vous dire le contraire, détestant qu’on la dérange dans n’importe quelle situation mais surtout quand elle fait de la musique. Musique qu’elle avait arrêter des années plus tôt et qu’elle recommençait depuis peu, car pour elle, sa musique était une grande histoire, qu’elle avait raconter qu’a peu de personnes, car c’était son jardin secret. Son endroit privé, où personne ne pourrait y entrer. La musique était sa plus grande passion, mais surtout sa plus grande confidente. Confidente qu’elle avait perdu depuis qu’elle année, pour une question de travail trop chargée, et de bonheur pur. Bonheur pur qui disparaissait de jour en jour.
Chacun avait sa méthode pour de détendre. Certaines personnes fumeront cigarettes sur cigarettes, enlevant le stresse qu’ils avaient eu. D’autres liront, pouvant ainsi évader son esprit de tous ses problèmes noirs. Peu de personnes iront boire au point de sa saouler, cherchant a disparaître un moment de la vie noire qu’ils avaient. Chacun sa méthode, et Aphrodisia avait la sienne. La musique. Musique qu’elle partageait avec Connor, au point de l’avoir donner à leur fille Caelan. Ce ne fut pas rare de voir l’un de parents jouer de la musique avec leur enfant, montrant ainsi la perfection de leur vie. Et il était très rare qu’Aphrodisia y jouait où elle prétextait souvent que son don pour la musique, avait disparu, pour le plus grand malheur de sa fille, qui avait eu des éloges du don de violon de sa mère. Alors imaginez sa surprise, quand l’envie de prendre son instrument l’avait tenté au point d’en jouer ? Aphrodisia avait donc jouer, laissant son instrument la réconforter, l’aimer et lui dire que ses problèmes allaient s’en aller. La musique était cela pour elle, un moment précieux et privé, que personne ne devrait rompre. Et alors qu’elle allait donner une nouvelle cadence, un bruit lui arriva. Bruit qui fut suivit d’un autre, et d’un autre montrant par là que quelqu’un cherchait quelque chose. Et la seule personne qui aurait put être la, était Connor où un son désagréable se fit entendre dans la salle de musique, quand son archet rencontra une mauvaise corde, au même moment où la porte de la salle de musique s’ouvrit laissant passer son mari. Et la seule chose qu’A put faire dans ses moments là, était de l’attaquer sans prendre la peine de le saluer. - ce qui fit Connor, à sa manière -.
CONNOR — Bien le bonjour à toi aussi dit-il avec sarcasme. Une impression de déjà vu s’installa dans son esprit, quand les premières paroles de son mari lui arriva. La seule chose qu’elle fit, pour chasser ses pensées là, était de les fusiller du regard. Regard noir qui s’adressa directement à Connor alors qu’elle reposa avec délicatesse son instrument. Qu'est ce que tu as fait de mon ordinateur portable ? Je l'ai laissé dans le salon hier soir, et il n'y est plus. Alors qu’elle s’apprêtait a boire, la question de Connor la prit au dépourvu, au point qu’elle ne but aucune gorgée d’eau. APHRODISIA — Ton ordinateur portable ? Ses sourcils s‘arquèrent où seul ce petit geste montrait l‘étonnement. Qu‘est-ce qu‘elle aurait fait avec l‘ordinateur portable de son mari alors qu‘elle avait un ? Qu’est-ce je ferais avec ton putain d‘ordinateur portable ? cracha-t-elle en le fusillant du regard. Un pincement au cœur lui arriva alors qu’elle se souvenait toute les fois où elle regardais l’ordinateur en question, pour livre les livres de son mari. Elle chassa ses pensées, et pour ne pas montrer son trouble, elle but quelque gorgée d’eau, pour se reprendre. Il ne fallait pas qu’elle ressente des sentiments triste, a ce moment, car elle savait que ce n’était qu’une question de volonté, pour pas qu’elle dise toute la vérité à Connor. Et mieux vaut pas lui dire la vérité, si elle voulait qu’il reste vivant avec sa fille. T’as du surement le mettre autre part que le salon, car je ne l’ai pas vu, ni touché. Reprenait-elle avec une pointe de lassitude. Lassitude qui disparu par un regard noir, alors qu’elle se tourna voulant clore leur conversation. Maintenant, si tu n’a plus rien a me dire, laisse-moi, j’ai besoin de concentration. Besoin de concentration ? Excuse bidon où elle savait une chose : la conversation n’était pas fini, elle venait juste de commencée.
Soupirant, elle se permit d’avaler une gorgée d’eau, avant de partir s’assoir sur le banc qui se trouvait en face du piano a queux, de façon a voir son mari. Ce n’était pas une position de faiblesse, ils le savaient tous les deux. La dernière pensée qu’elle eut avant de se remettre dans la dispute, était qu’elle aurait du mieux rester au travail car chaque dispute, lui compressait le cœur au point qu’elle aurait pleurer. Pleurer, une émotion que personne n’avait vu chez elle - même pas Connor - mais une de ses émotions qu’un jour au l’autre, n’allait pas tarder de faire, montrant ses véritables émotions qu’elle cachait derrière un masque glaciale.
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Sujet: Re: • Aphrodisia&Connor ▬ « Hait moi, autant que je t'aime. »
• Aphrodisia&Connor ▬ « Hait moi, autant que je t'aime. »
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